L'acte photographique

C'était donc décidé, j'allais la rechercher. Mais réellement cette fois- ci, pour la revoir. Pas pour rêver ou me contenter d'une apparition chimérique. J'avais mieux à faire cette fois que de m'acharner sur ma mémoire ou de tenter de m'introduire par effraction dans un passé révolu. Quarante ans après, submergé par ses souvenirs, un homme se lance à la recherche de la jeune fille qui fut son premier amour. L'entreprise est désespérée, semée d'embûches et de désillusions. Luttant tout autant pour sonder sa mémoire défaillante que pour surmonter les nombreux obstacles qu'il trouve sur son chemin, Antoine se pose également de nombreuses questions : faut-il à tout prix s'attacher au passé ? Peut-on sans en payer le prix tenter de modifier ce que le sort nous a réservé ? Est-on maître de son existence ? L'enquête se double vite d'une quête personnelle, et ce qu'il trouvera au terme de sa recherche bouleversera sa vie. Nos vies sont des nuages est le premier roman de Philippe Dubois qui, après une formation en philosophie et une carrière dans les Ressources Humaines, se consacre aujourd'hui à sa passion : la littérature, moderne et ancienne.

Nos vies sont des nuages

Pour les hommes, les oiseaux marins sont à la fois proches et lointains. Proches, comme ces goélands qui animent les ports de leurs cris incessants et de leurs chamailleries permanentes. Ou comme ces petits échassiers qui se pressent sur les rochers en bord de côte, quand revient la marée haute. Mais aussi lointains, comme ces fous de Bassan qui accompagnent, très au large, le chalutier solitaire. Ou bien ces sternes, migrant en haute mer entre Arctique et Afrique, que l'on rencontre parfois en plein cœur du golfe de Gascogne. Puffins et océanites, mouettes et goélands, sternes et guillemots, et le peuple menu des bécasseaux, chevaliers et autres pluviers forment la grande assemblée des oiseaux des rivages, des côtes et des océans. Les oiseaux du bord de mer constituent à eux seuls un spectacle permanent et une source infinie d'observations. Ce petit guide est une introduction à leur vie et à leur biologie ; il donne surtout les clefs pour pouvoir les reconnaître dans la nature. En effet, quoi de plus approprié que le bord de mer pour s'initier à l'ornithologie ?

Petit atlas des oiseaux du bord de mer - 70 Oiseaux des rivages et océans

Notre pays possède de très nombreuses espèces d'arbres, ce dont il faut se réjouir. Toutefois, leur identification n'est pas toujours facile. Méthode et circonspection s'imposent. Cet ouvrage vous enseignera les trucs et astuces nécessaires pour devenir incollable lors de vos ballades en forêt. Vous saurez bientôt identifier les arbres grâce à leur feuillage, leur écorce, leurs fruits. Vous apprendrez également à distinguer les variantes d'une même espèce et à en connaître les caractéristiques. Plus de 40 espèces sont ici présentées à travers des notices claires, détaillées, richement illustrées, classées par ordre alphabétique. Restez à l'affût, observez la nature, ce manuel vous guidera lors de vos explorations en forêts.

Reconnaître les arbres

Géomancie - Pratiques et interprétations

Qui, des trois rivales : Athénaïs la noire, Paulette la blanche ou Roberte l'octavonne, va l'emporter pour devenir l'épouse de « Monsieur le Procureur de la République Romuald Sainte-Croix » qui « n'était préoccupé que d'avancer rapidement dans sa carrière et de se créer un foyer » ? D'un certain point de vue, Roberte partait avec une longueur d'avance : « sans conteste elle était plus belle que Paulette et qu'Athénaïs, plutôt grande, proportionnée à merveille, très élégante. elle était mieux que belle : troublante ». Décrochera-t-elle pour autant la timbale ?
Ce roman de 1924, situé à Fort-de-France en Martinique et dans les environs immédiats, met en scène, sous tous les angles, les effets du « préjugé de la race ».

« [.] moralement, physiquement, gens de couleur et blancs se valent. Et ils conçoivent des sentiments réciproques. Pour les unions entre blancs et gens de couleur, c'est affaires de convenances, simplement. Je veux dire : on se plaît ou non. »
Victor Gautrez, L'Octavonne

L’octavonne

Monographie rétrospective du photographe et cinéaste Paolo Gioli, membre actif de l'avant-garde italienne des années 1970 : une vue d'ensemble de son oeuvre, avec une dizaine d'essais, un entretien, les écrits de l'artiste et des notices détaillées sur chaque série de films, vidéos, photographies, dessins et peintures.
Infatigable bricoleur de dispositifs photographiques et filmiques, Paolo Gioli est l'une des figures les plus singulières issues de la scène artistiques italienne des années 1970. Unique au vu de son positionnement excentrique, mais également irrésistiblement double, c'est-à-dire scindé dans son analyse parallèle d'images fixes et en mouvement. Ce livre collectif considère, pour la première fois, l'ensemble de son travail, en empruntant les démarches complémentaires de l'esthétique des dispositifs et de l'archéologie des médias.

Paolo Gioli : impressions sauvages

Le temps déroulé - Rubans photographiques (1973/2013)

Depuis presque trente ans, je m'intéresse à la question de "la 
vidéo". J'en ai suivi l'histoire, à peu près intégralement, et en 
ai accompagné les formes, les oeuvres et les pensées, fort 
diverses. Longtemps j'ai songé qu'on pouvait essayer de 
répondre à la question ontologique "Qu'est-ce que la vidéo ?", 
comme on a pu le faire pour le cinéma ou la photographie. 
Mais aujourd'hui, cela ne me semble plus possible, 
théoriquement parlant. On en trouvera les raisons, ainsi que le 
cheminement de pensée, au fil des quinze textes ici 
rassemblés, que j'ai écrits au fil des années, et qui s'organisent 
en quatre parties successives: "Vidéo et théorie des images", 
"Cinéma et vidéo", "Jean-Luc Godard", "Vidéo et art 
contemporain". Je pars d'un postulat: malgré les apparences et 
les facilités d'usage, il n'y a pas vraiment de spécificité de la 
vidéo. Ni comme image ni comme dispositif. D'où la thèse qui 
en découle et sous-tend le livre: "la vidéo" n'est pas un objet 
(une chose en soi, un corps propre), elle est un état. Un état de 
l'image (en général). Un état-image, c'est-à-dire une forme qui 
pense (et qui permet de penser). La vidéo pense (ou permet de 
penser) ce que les images sont (ou font).Toutes les images. Et 
en particulier – c'est ce qui est ici développé – les images du 
cinéma. Et les images de l'art (contemporain).Au fil des textes, 
on verra se mettre en place cette idée que la vidéo est toujours 
un moyen d'interroger, de pratiquer l'expérience du regard, de 
faire de celle-ci un événement d'image. A ce titre, "la vidéo" 
est et reste, fondamentalement, une question, nullement une 
réponse.

L'acte photographique

Plus de livres de Philippe Dubois

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques