L'Autre et son double: Entretiens avec Marie-Francoise Allain

" Je crois que je n'ai jamais rien écrit de mieux ", a dit Graham Greene à propos de ses nouvelles.
Pour la première fois, les voici réunies intégralement en deux volumes.

Si Graham Greene a été acclamé pour ses romans, il fut un nouvelliste tout aussi virtuose. Ses nouvelles, écrites entre 1929 et 1990, ont été publiées dans divers recueils - " Un certain sens du réel ", " Pouvez-vous nous prêter votre mari ? ", " Seize nouvelles " - et à la suite de certains de ses romans, mais n'avaient jamais été réunies en une seule édition. La collection " Pavillons Poche " les rassemble donc pour la première fois en deux volumes et les présente dans l'ordre chronologique. Cette édition compte également les nouvelles inédites parues dans la collection " Bouquins " en 2011 dans La Chaise vide et autres récits inédits.
Dans ces quelque cinquante-deux textes, pareils à des instantanés photographiques collectés dans un album, Greene offre un tableau cynique et réaliste de la société qui l'entoure. Les sentiments humains y sont disséqués et décrits avec un humour féroce et parfois nostalgique. Trahison, obsession, ardeur, fantastique, rêve, peur, pitié, violence, déchéance... tels sont les nombreux thèmes abordés.
Dans " L'homme qui vola la tour Eiffel ", qui donne son titre au second recueil (le premier, Mr Lever court sa chance, a paru en avril 2013 dans la même collection), Greene montre la superficialité des hommes et leur indifférence à l'égard de ce qui les entoure : un homme, passionné par la tour Eiffel, la vole durant quelques jours pour l'emmener faire un tour à la campagne. Or, personne ne remarque l'absence du monument.

Nouvelles complètes - Tome 2, L'homme qui vola la tour Eiffel

Pour la première fois, des écrivains, des économistes, des sociologues, des biologistes, des médecins, des présidents de chaînes de télévision ou de radio, des universitaires, des metteurs en scène, des chefs d'État, ont décidé de réfléchir ensemble sur les processus de la création, et ses applications dans la société moderne. Des noms très importants - et venant d'horizons très différents - ont accepté, ensemble, de confronter leurs idées, et de rédiger chacun une contribution personnelle sur ce qu'ils pensent de l'apport de la création dans tous les domaines, pas seulement artistique, mais touchant à la production, à la vente, à la satisfaction des besoins des hommes. Cette contribution est essentielle.

Le complexe de Léonard - Ou La société de création. Rencontres internationales, Paris, la Sorbonne, février 1983

Officier de police dans un comptoir colonial de la Sierra Leone, marié à Louise, à laquelle il n'est plus lié que par la pitié, Scobie est un homme de foi catholique hanté par le devoir. Quand il fait la connaissance de la jeune veuve Hélène, il en tombe éperdument amoureux. Alors, la passion et l'intégrité cèdent la place au mensonge et au déshonneur, dans un tourbillon dont l'issue sera fatale. Sur fond de magnifiques paysages africains, Graham Greene, l'un des plus grands auteurs britanniques du XXe siècle, conjugue la foi et le doute, et touche au sublime. Un chef-d'oeuvre.

Le fond du problème

Le diagnostic du Herr Professor est formel : le malade a la lèpre et doit être hospitalisé. La loi interdit de le laisser en liberté, et un médecin de son standing ne viole pas la loi, même si cela équivaut à la mort de son client. Que fera Herr Professor quand on viendra ensuite lui emprunter sa maison pour la transformer en casino afin de satisfaire le goût pour le jeu d'un puissant pays ? La loi interdit aussi les jeux de hasard... C'est la leçon ironique et amère de Rêve d'un pays étrange, une des cinq nouvelles réunies sous le titre : « Un certain sens du réel ». Au fond, il est des accommodements auxquels la vie vous apprend - ou vous contraint - à vous soumettre...

Un certain sens du réél

"A story has no beginning or end: arbitrarily one chooses a moment of experience from which to look ahead..." "This is a record of hate far more than of love," writes Maurice Bendrix in the opening passages of The End of the Affair, and it is a strange hate indeed that compels him to set down the retrospective account of his adulterous affair with Sarah Miles. Now, a year after Sarah's death, Bendrix seeks to exorcise the persistence of his passion by retracing its course from obsessive love to love-hate. At first, he believes he hates Sarah and her husband, Henry. Yet as he delves further into his emotional outlook, Bendrix's hatred shifts to the God he feels has broken his life, but whose existence at last comes to recognize.

La fin d'une liaison

Graham Greene was always deeply interested in the role played by the subconscious in his writing, and the private world of his dreams was one that he nurtured carefully, recording it almost daily in his dream diaries.  Selecting from these dream diaries, he prepared this small treasure for publication just before his death in 1991—a last gift from a great writer to delight and entertain his readers.Graham Greene regarded dreams as central to his life and creativity, and between 1965 and 1989 he kept a dream diary. In this book, which contains his own selections from that diary, Greene gives us access to the private world of his dreams, a fascinating record of another 'sort of life'.'His life, his dreams and his fiction are equally exciting... These privileged experiences make his dreams paradoxically accessible: his portraits of the great, whether they offer strange pyschological insights (Andropov's withered right hand), vengeful irony ( W.H. Auden as a guerrilla fighter) or mere defacement (T. S. Eliot with a moustache), have the unusual effect of a sort of impartial satire' - Mick Imlah in the Independent on Sunday'This little book . . . honours what in so many other ways Greene honoured in his long lifetime of writing: the value of mystery. It is that . . . that lifts it from the personal and the particular to a universal level of interest' - William Trevor in the Spectator'Greene's dream-world is recognizably a version of the world of his novels or, to put it another way, this book might be seen as his last exercise, slight but graceful and fetching, in the art of fiction - which is not to suggest that as a record it is the least untruthful' - C. K. Stead in the London Review of Books'Enchanting, moving, touched by the remains of a faith that had pretty well vanished, but pervaded throughout by a compelling sense of fun' - John Preston in the Sunday Telegraph

Mon univers secret

" Je rencontrai ma tante Augusta pour la première fois en plus d'un demi-siècle aux obsèques de ma mère. Ma mère avait près de quatre-vingt-six ans à sa mort ; ma tante était sa cadette de quelque onze ou douze ans. Deux ans plus tôt j'avais quitté la banque avec une retraite suffisante et une agréable "enveloppe'. La Westminster nous avait absorbés et ma succursale faisait double emploi. De l'avis général, j'avais de la chance. Pour ma part, je trouvais le temps long. Je n'ai jamais pris femme ; j'ai toujours mené une existence paisible; sauf un penchant pour les dahlias je n'ai pas de violon d'Ingres. Autant de raisons qui ajoutaient aux obsèques de ma mère un brin de piquant nullement déplaisant. "

L'Orient-Express, Paris, Venise, Milan, Istanbul... Lorsque Tante Augusta fait irruption, tel un tourbillon, dans la vie d'Henry, celui-ci se laisse entraîner dans une folle poursuite à travers le monde. Un roman éblouissant, bijou d'humour et de cocasserie, de la première à la dernière page.

Voyages Avec Ma Tante

Mr Potter is a proud shopkeeper with a busy shop, until one day a big superstore opens across the street. The new store has a delivery service so Mr Potter employs an old little horse bus to deliver his wares.But when the superstore's delivery cart is stolen there is only one little horse bus to save the day!

L'Autre et son double: Entretiens avec Marie-Francoise Allain

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