An essay by a French civil servant about the rural area, north of Burgundy, where he was born and has worked for most of his life. The book is an hymn to various famous figures connected in one way or another with this area, including Joan of Arc, Charles de Gaulle, Maurice Genevois and Maurice Ravel.

La Tranchée de Calonne

Le Bon Coeur est le roman d'une voix, celle d'une paysanne de dix-sept ans qui retint le royaume de France sur le bord de l'abîme, le sauva et en mourut. Elle changea le cours de l'Histoire en réveillant dans le coeur usé des hommes la force de croire et d'aimer.Le Bon Coeur a reçu en 2018 les Prix du roman France Télévisions, Prix littéraire de la Ville d'Arcachon, Prix Michel Dard, Prix Louis Barthou de l'Académie française, Prix du roman historique des Rendez-vous de l'Histoire de Blois.

Le Bon Cœur

Dix-huit ans après la condamnation de Jeanne d'Arc au bûcher, les anglais sont presque tous « boutés hors de France ». Charles VII peut enfin engager le pays dans la voie de la reconstruction et apaiser les tensions en promettant l'amnistie générale. Cependant une poignée d'hommes travaillent en sous-main pour faire admettre au roi qu'il convient de réhabiliter Jeanne : d'abord ce n'est que justice car ce procès est une suite de mensonges à charge, les preuves sont là pour qui veut les voir, et ensuite, si la Pucelle n'est qu'une usurpatrice alors que vaut le couronnement que Charles VII lui doit ?        Prix littéraire Alexandre Vialatte 2020        Grand Prix catholique de littérature de 2020        Michel Bernard    , né en 1958 à Bar-le-Duc, est un écrivain et haut fonctionnaire français, officier de l'ordre des Arts et des Lettres. Ancien élève de l'École nationale d'administration (1990-1992), il fait une carrière dans le corps préfectoral et est actuellement en disponibilité

Le bon sens

Après la destruction de toutes villes, au cours d'une fuite infinie à travers plaines, montagnes, déserts, océans, les personnages d'une horde en déroute s'incarnent dans les héros de différentes fuites historiques. Le délire d'une déambulation perpétuelle, d'une apocalypse sans cesse recommencée, est paradoxalement aussi délire de bâtisseur autant que fête - celle, ultime, du feu, des eaux.

Mes Tours de France est le premier livre de Michel Bernard. Il nous tend ses pages comme un ami nous tend ses bras. On s'y régale. Il y a les souvenirs. Il y a quelques espérances personnelles jetées aux orties dans la bonne humeur. Il y a du plein-vent, d'enivrantes odeurs, du grand soleil. Il y a le goût des choses simples. Il y a le vélo et les regards mystiques dont on l'entoure. Il y a les coureurs cyclistes, ces êtres de chair et de sang qui brillent comme des astres. Il y a la langue d'un vrai écrivain. Sa sensibilité. La beauté, çà et là, emporte quelques victoires

Mes tours de France

Bernard Michel, né le 1er juillet 1943, a consacré la plupart de son activité professionnelle en entreprise à la formation continue des adultes après des études littéraires. Durant vingt ans il a exercé des fonctions d'élu municipal ; il a sillonné le Bénin, le Maroc, la Turquie et d'autres pays méditerranéens depuis une trentaine d'années. A la retraite depuis dix ans, il s'est formé en autodidacte à la micro-informatique et à la pratique d'internet, ce qui lui permet, entre autres, d'accéder à des ressources bibliographiques intéressantes et nécessaires à des recherches historiques. Habitant la rue Ferrachat d'Ambierle, il s'est interrogé sur l'origine de ce nom, réagissant à une tradition qui fait dériver du latin l'étymologie de ce toponyme. Le résultat de ses recherches lui a permis d'exposer des conclusions sur des propositions étroitement liées à la sémantique, à l'anthroponymie et à la toponymie. Après une présentation géographique et détaillée des différents toponymes recensés sur le territoire en 2008, avec une mention particulière pour Lyon qui autoriserait, à elle seule, une monographie sur sa rue Ferrachat, l'auteur établit une relation linguistique avec les différentes zones de parlers français. Ensuite il retrace l'histoire anthroponymique et toponymique de Ferrachat à travers les siècles. Ce tour d'horizon géographique et historique terminé, il aborde les variantes orthographiques ainsi que les étymologies possibles du nom.

En passant rue ferrachat

"Lorsque Claude Monet, quelques mois avant sa disparition, confirma à l’État le don des Nymphéas, pour qu’ils soient installés à l’Orangerie selon ses indications, il fit ajouter une ultime condition au contrat : l’État devait lui acheter un tableau peint soixante ans auparavant, Femmes au jardin, et l’exposer au Louvre. À cette exigence et au choix de ce tableau, il ne donna aucune explication. Deux remords de Claude Monet raconte l’histoire d’amour et de mort qui, du flanc méditerranéen des Cévennes au bord de la Manche, de Londres aux Pays-Bas, de l’Île-de-France à la Normandie, entre le siège de Paris en 1870 et la tragédie de la Grande Guerre, hanta le peintre jusqu’au bout."Michel Bernard.

Deux remords de Claude Monet

Les préjugés défavorables des premiers explorateurs ne permettaient sans doute pas d'envisager une rapide implantation commerciale en Australie, mais leur déception ouvre des perspectives pour une Angleterre angoissée par la hausse, réelle ou supposée, de sa criminalité. C'est donc contraints et forcés, sans idéal de liberté, à l'opposé du rêve porteur qui avait présidé au départ du Mayflower pour les côtes d'Amérique, que les convicts de la Première flotte, condamnés à l'exil au lieu d'être condamnés à mort, vont participer, contre leur gré, à une colonisation qui se donne pour but de les faire renaître à la vertu.

La colonisation pénitentiaire en Australie - 1788-1868

"Mes Tours de France est le premier livre de Michel Bernard. Il nous tend ses pages comme un ami nous tend ses bras. On s'y régale. Il y a les souvenirs. Il y a quelques espérances personnelles jetées aux orties dans la bonne humeur. Il y a du plein-vent, d'enivrantes odeurs, du grand soleil. Il y a le goût des choses simples. Il y a le vélo et les regards mystiques dont on l'entoure. Il y a les coureurs cyclistes, ces êtres de chair et de sang qui brillent comme des astres. Il y a la langue d'un vrai écrivain. Sa sensibilité. La beauté, çà et là, emporte quelques victoires. "extrait de la préface de Louis Nucera.

La Tranchée de Calonne

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