Atlas Geri 2002. L'Attrait Des Territoires : Departement, Ville Et Campagne

Publié par GERI, le 01 mai 2002

222 pages

Résumé

L'Atlas GÉRI 2002 propose à tous les décideurs du développement des territoires, et à tous ceux qui réfléchissent ou agissent dans ce domaine, un outil permettant de situer leur territoire dans la dynamique de la population française et d'évaluer les politiques d'équipement par rapport à cette dynamique. Il offre des possibilités de lectures multiples répondant aux besoins des différents acteurs, qu'il s'agisse de conseils régionaux, de conseils généraux, d'entreprises ou d'organismes, nationaux ou locaux, responsables en matière d'aménagement du territoire. L'Atlas GÉRI 2002 présente par département, par unité urbaine et par canton rural, différents critères de compréhension de l'évolution des territoires : • La dynamique de population ; • La structure par âge ; • La population active ; • La structure par Professions et Catégories Socioprofessionnelles (PCS) ; • La natalité ; • La mortalité ; • Les équipements (structure d'accueil, logements sociaux, offre de soins...). L'ouvrage est conçu pour des lectures interactives sous des angles de vue différenciés. À cet égard, par exemple, trois axes d'analyse en illustrent bien les possibilités : • Comprendre l'évolution globale des territoires (départements, unités urbaines, cantons) en identifiant les évolutions d'ensemble et la diversité des situations des territoires ; • Réaliser une analyse personnalisée de l'attractivité d'un territoire par rapport aux autres territoires comparables et aux moyennes nationales ; • Rapprocher la réalité et la dynamique démographique d'un territoire et les politiques d'équipement et de services sociaux sur ce même territoire. Le contexte est complexe et les enjeux humains essentiels. C'est dans cet esprit que l'équipe projet du GÉRI a réalisé l'ATLAS en souhaitant contribuer à faciliter la tâche des acteurs du développement local.

Atlas Geri 2002. L'Attrait Des Territoires : Departement, Ville Et Campagne

Les investissements civils localisables de l'état

Critiques