Comment faire pour vivre dans un pays où les enfants ne sont jamais punis, quand on est marchand de fessées ? Voyant ses protégées désoeuvrées et mélancoliques, le marchand met au point un vilain stratagème.

Le marchand de fessées

Un jour, Monsieur Pierre trouve cinq francs dans sa poche. Aussitôt, il décide d'acheter une maison. À ce tarif-là, elles sont plutôt rares... Il en trouve pourtant une, mais son prix modique cache quelque chose : une sorcière habite le placard à balais. Et si l'on chante certaine petite chanson, elle sort... Cette jolie et amusante histoire a inspiré de nombreuses adaptations, à la télévision ou par des compagnies de marionnettes. La petite chanson de la sorcière a suscité bien des frissons et nombre de petits lecteurs sont passés près du placard aux balais en fredonnant juste le début de la ritournelle... On ne sait jamais... Cette histoire est suivie du Conte des deux chaussures qui s'aimaient d'amour tendre, du roman d'une patate qui rêvait de devenir frite, de l'histoire de l'oncle Pierre qui ne voulait pas croire qu'il était mort, et des aventures du petit cochon futé. Comme tous les contes de la rue Broca, ces cinq récits incisifs sont pleins de charme et d'humour. Ils se déroulent dans un univers qui ressemble beaucoup au nôtre, mais où tout est possible. Les personnages acceptent sans sourciller les choses les plus étonnantes et surnaturelles. Et comme tous les contes, on commence par les écouter, puis on les dévore dès qu'on sait bien lire. --Pascale Wester

Contes de la rue Broca

Un inédit de Gripari c'est un événement : comme le narrateur, un petit garçon, nous sommes fascinés par ce Jean-Yves auquel il arrive...des tas d'aventures. Un livre vraiment étonnant qui peut se lire d'une traite, ou par morceaux, puisque chaque histoire est indépendante tout en faisant partie de l'ensemble. Le texte s'adapte ainsi de façon quasi magique, au rythme de la lecture et à l'attention des enfants. Pierre Gripari et Claude Lapointe : un grand écrivain et un grand artiste qui donnent aux générations montantes la passion de lire dans l'humour et l'allégresse avec un rythme irrésistible.

Jean-yves a qui rien n'arrive

Gagner sa vie est bien difficile pour le marchand de fessées, dans un pays où les parents ne punissent jamais leurs enfants !

Cela commence comme une croisière sans histoire. Sur le Beaugency, en route vers les Canaries, nous voyageons avec le citoyen de Genève, d'une tenue impeccable, la dame excessivement distinguée, le commissaire de bord qui a laissé des souvenirs dans toutes les villes du globe à seule fin d'alimenter les conversations difficiles. Seules nous alertent l'acuité du regard, prompt à saisir la caricature, de "celui-qui-dit-je" et cette vieille négresse à la pipe vissée entre les dents "qui est Dieu". Brusquement tout change. Les Canaries ne se trouvent plus sur la ligne d'horizon. Le bateau a changé de mains comme le monde de dimensions. Nous voguerons désormais de surprise et surprise...

L'Incroyable équipée de Phosphore Noloc

Écoutez bien Monsieur Pierre : il va raconter aux enfants de Papa Saïd des histoires très, très vraies et très, très sérieuses. Celle du petit diable qui faisait le désespoir de sa famille parce qu'il voulait être gentil. Celle de l'avare qui aimait tant son argent qu'il ne s'apercevait même pas qu'il était mort. Celle du prince qui épousa la sirène, celle du petit cochon qui avala l'étoile polaire, et celle enfin du jeune nigaud qui alla chercher «je ne sais quoi», le rapporta, le partagea et rendit tout le monde heureux... Un gentil petit diable bouleverse la théologie en préférant le ciel à l'enfer. Une patate vit un grand roman d'amour. Des petites filles mutines utilisent la boutique de papa Saïd pour y cacher leur cochon-tirelire. La rue Broca ouvre beaucoup de portes sur l'imaginaire.

Le gentil petit diable et autres contes de la rue Broca

Un long et courtois entretien avec toute une famille de penseurs, infiniment variés malgrés leurs points communs : désespérés, mystiques sans dieu, sages, soufis, hassidim, dialecticiens de tous les temps et de toutes les civilisations.

L'évangile du rien

Le comique, c’est le frère joyeux du scandale. L’humour, c’est le frère de l’angoisse. Le mot d’esprit, c’est le blasphème contre le verbe. C’est sur ces trois constatations qu’est fondée la présente étude, elle-même illustrée par un choix de «bonnes histoires» appartenant à la littérature orale contemporaine, et classée par thèmes.

Du rire et de l'horreur

« La fausse gourde », « La télé farceuse », « Le marchand de fessées »… Sept comédies pleines d’humour faciles à monter à l’école, en atelier, en famille ou entre amis – parmi les plus jouées en France !

Le marchand de fessées

Résumé

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