Grand Atlas Illustre - Occasion

La créatrice italienne Elsa Schiaparelli (1890-1973) est l'une des figures majeures de la mode des années 1930. Des débuts de sa carrière à ses collections d'après-guerre, ce livre explore la vie et l'œuvre de cette personnalité hors du commun. Cette parisienne d'adoption se fait connaître dans les années 1920 en inventant le " sportswear " et se singularise très tôt par l'utilisation de matériaux novateurs inédits pour les vêtements : matières plastiques, Rhodophane, fermetures Eclair colorées, etc. Les relations étroites qu'elle noue avec les acteurs des avant-gardes, en particulier les dadaïstes et les surréalistes - Man Ray, Jean Cocteau, Salvador Dali -, donnent lieu à partir de 1935 à des collaborations fécondes. Elsa Schiaparelli aborde son travail d'une façon instinctive plus que rationnelle, laissant une grande place à la surprise et à l'humour par l'emploi de motifs détournés et la création d'accessoires aux formes les plus fantaisistes. Elle a inauguré une mode où l'inconvenant devient possible et son répertoire demeure aujourd'hui une source d'inspiration inépuisée pour les créateurs. Elsa Schiaparelli est sans doute la styliste qui incarne le mieux la collaboration entre l'art et la mode, et c'est l'une des originalités de cet ouvrage que de la mettre en valeur. Plus de 300 illustrations, dont beaucoup sont inédites, présentent les vêtements et accessoires qu'elle a créés, mais aussi de nombreux dessins, photographies d'époque, portraits réalisés par les plus grand photographes de mode, œuvres d'art qui furent à la source de son inspiration et qu'elle influença à son tour... Une filmographie et une chronologie détaillées complètent le livre, véritable ouvrage de référence.

Elsa Schiaparelli

Corée 1999/2000. - Edition 2000

Calendrier générations deux-roues

Les musées de la région Rhône-Alpes sont riches de plusieurs centaines de portraits, témoignages de la vitalité du genre ou cours des siècles : personnages célèbres, princes, hommes politiques ou élégantes peints par les plus grands artistes comme notables et bourgeois de provinces peints par des artistes locaux à redécouvrir. L'exposition, en trois volets, des musées de Bourg-en-Bresse, Chambéry et Valence, en propose à travers une sélection de 200 œuvres, une approche à la fois historique et thématique.
A Bourg-en-Bresse, Autoportraits et portraits d'artistes du 16e au 20e siècle Rigaud, Courbet, Vallotton, Chagall, Laurencin, Warhol et bien d'outres se sont prêtés au jeu du reflet dans le miroir. Regard du peintre sur lui-même, son identité, sur la place qu'il assigne à son art, son inscription dans son temps. à Chambéry, Le Portrait du 16e au 18e siècle : d'Uccello à David, de Philippe de Champaigne à Largillierre et Rigaud, ces siècles sont ceux de toutes les explorations, portrait d'apparat ou psychologique, portrait allégorique ou naturel, portrait individuel ou familial, ... à Valence, Le Portrait aux 19e et 20e siècles : du classicisme idéal de David ou Ingres au principe de réalité chez Millet ou Degas, du portrait en représentation sociale chez Gervex, Blanche ou Bonnat à l'expression de l'âme chez Lawrence, Géricault ou Séon, de la schématisation ou de la fragmentation de la figure chez Rouault, Derain, Survage, à son travestissement chez Cindy Sherman, les multiples facettes du genre.

Portrait. Le Portrait Dans Les Collections Des Musees Rhone-Alpes

Suspense ! Enigmes ! Citoyenneté ! Justice ! Le meilleur du polar pour les petits et les grands. Ce recueil rassemble dix courts romans policiers à lire dès 10 ans.

Dix petits noirs

L'Ecole De Londres. De Bacon A Bevan

Dans la lignée des Mythes de la Seconde Guerre mondiale, vingt erreurs stratégiques d'envergure expliquées par une équipe d'historiens et la rédaction de Guerres & Histoire, dirigées par Jean Lopez et Olivier Wieviorka.
La Seconde Guerre mondiale a duré près de six années, aussi longues que terribles. Cette durée s'explique, bien entendu, par les formidables moyens que les belligérants déployèrent sur terre, sur mer et dans les cieux : il était vain d'espérer abattre l'ennemi par une campagne unique ou une bataille décisive. Mais les erreurs commises expliquent aussi que ce conflit se soit éternisé. Si Hitler ne s'était pas obstiné à gagner la bataille d'Angleterre ou à prendre Stalingrad, si la France, en mai 1940, n'avait pas imprudemment lancé ses forces en Belgique et en Hollande, si les Anglo-Américains n'avaient pas débarqué en Afrique du Nord..., la face de la guerre en eût été changée et sa durée vraisemblablement raccourcie.
En traquant les erreurs commises par les deux camps, ce livre vise à explorer la rationalité des acteurs. Car les décisions prises par les dirigeants politiques ou les chefs militaires reposaient sur un ensemble de paramètres qu'il importe de décrire, afin de comprendre pourquoi ils menèrent à l'échec. Les stratégies se fondaient sur des informations parfois imparfaites, sur des moyens souvent limités, sur des hypothèses par moment fallacieuses. Autant de facteurs qui conduisirent, plus d'une fois, au désastre, comme aussi l'orgueil, l'obstination, le carriérisme et l'opportunisme menant à la prise de (mauvaises) décisions.
Autant de cas de figures qu'illustreront, de Stalingrad à " Market Garden ", de la stratégie navale des Japonais à l'insurrection de Varsovie, vingt contributions proposées par les meilleurs spécialistes de la Seconde Guerre mondiale.
Les erreurs : L'
appeasement ; Le Japon attaque la Chine ; Hitler choisit l'Italie ; La manoeuvre " Dyle-Bréda " ; Le 
Haltbefehl devant Dunkerque ; L'armistice de 1940 ; L'intervention italienne en Grèce ; " Barbarossa " ; Ne pas capturer Malte ; Dieppe 1942 ; L'abandon de Singapour ; Le débarquement en Afrique du Nord ; Midway ; La politique arabe du Reich ; Monte Cassino ; Stalingrad ; Le bombardement stratégique ; L'
unconditional surrender ; L'insurrection de Varsovie ; " Market Garden ".

Les grandes erreurs de la Seconde Guerre mondiale

Les premières directives concernant les viaducs à travées indépendantes et à poutres précontraintes par post-tension (VIPP) ont été publiées en 1967, soit vingt-cinq ans après la construction des premiers d'entre eux. Comme ces structures sont grêles et fragilisables, elles sont sensibles à la corrosion des armatures de précontrainte, dont la protection était parfois imparfaite. C'est pourquoi, il est important de surveiller ces viaducs. La méthodologie de cette surveillance est détaillée dans ce guide. Celle-ci commence par une inspection détaillée et prend en compte les niveaux des désordres observés et leurs causes probables. Il s'agit le plus souvent de défauts d'étanchéité du tablier, de défauts du béton, de la déficience de la protection contre la corrosion et de la susceptibilité intrinsèque à la corrosion des aciers. L'organigramme de la surveillance des VIPP prévoit aussi trois niveaux d'investigations complémentaires. Il s'agit, par exemple, d'examiner l'état des armatures de précontrainte, en certains endroits après avoir ouvert de petites fenêtres. Les actions à entreprendre, au vu des résultats de ces investigations, sont précisées dans le guide.

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