L'imperturbable Phileas Fogg mène une vie réglée jusque dans ses moindres détails. Aussi, quand il parie que les progrès techniques du XIX? siècle lui permettront d'accomplir le tour du monde en 80 jours, il planifie chacune des étapes du voyage avec précision, mais sans toujours anticiper les dangers... L'aventure aura-t-elle raison de son calme légendaire ? TOUT POUR COMPRENDRE - Notes lexicales - Biographie de l'auteur - Contexte historique et culturel - Genèse et genre de l'oeuvre - Chronologie TOUT POUR RÉUSSIR - Parcours de lecture - Histoire des arts - Un livre, deux films GROUPEMENTS DE TEXTES - Grands voyageurs de Jules Verne - L'aventure au fil de la route CAHIER ICONOGRAPHIQUE.

Le tour du monde en 80 jours

Promenade en forêt sous-marine

After hijacking a balloon from a Confederate camp, a band of five northern prisoners escapes the American Civil War. Seven thousand miles later, they drop from the clouds onto an uncharted volcanic island in the Pacific. Through teamwork, scientific knowledge, engineering, and perseverance, they endeavour to build a colony from scratch. But this island of abundant resources has its secrets. The castaways discover they are not alone. A shadowy, yet familiar, agent of their unfathomable fate is watching.What unfolds in Jules Verne’s imaginative marvel is both an enthralling mystery and the ultimate in survivalist adventures.

L'Île mystérieuse

In Jules Verne’s “Around the World in 80 Days”, Phileas Fogg, a solitary British gentleman of the Victorian era wagers that he can circumnavigate the globe in under 80 days. With his french manservant, Passepartout, Fogg embarks on a great adventure taking him through Egypt, India, the South Pacific, San Francisco and the Great Plains of the United States. But will he succeed and collect on his bets? One of the best-loved works by the French adventure and science-fiction writer Jules Verne.

Le Tour du monde en 80 jours

« Le Tour du monde en quatre-vingts jours » est un des romans les plus connus de Jules Verne. L'histoire du riche Phileas Fogg, qui fait le pari de faire le tour du monde en quatre-vingts jours, fut publié pour la première fois en 1873 et est connu dans le monde entier. Ce roman a été adapté pour l'écran à de nombreuses reprises, notamment dans le film de 2004 avec Jackie Chan et Arnold Schwarzenegger.

Comme la majorité des livres de Jules Verne, « Le Tour du monde en quatre-vingts jours » met en avant les avancées technologiques du 19e. Par contre, il ne s'agit pas ici d'une histoire de science-fiction. Phileas Fogg utilise uniquement des moyens de transport existant réellement à l'époque, rendant ainsi vraisemblable l'idée, qu'on puisse effectivement réaliser un tel voyage en si peu de temps. 



Jules Verne (1828-1905) naquit dans la ville portuaire de Nantes et aurait dû devenir avocat, comme son père, mais il quitta très jeune le nid pour écrire des nouvelles et des articles pour des gazettes. Sa collaboration avec l'éditeur Pierre-Jules Hetzel conduisit à la publication de la série de livres « Voyages extraordinaires », basé sur d'amples recherches, et qui inclut entre autres « Voyage au centre de la Terre » (1864), « Vingt mille lieues sous les mer » (1870) et « Le Tour du monde en quatre-vingts jours » (1873).
Jules Verne a traditionnellement été classifié, à tort, dans la catégorie des écrivains pour enfants, en raison des versions abrégées et déformées de ses romans, alors qu'il eut comme auteur une énorme influence sur l'avant-garde française. 
Jules Verne  est le deuxième auteur le plus traduit au monde, se plaçant ainsi entre Agatha Christie et William Shakespeare, et il est souvent considéré comme étant le père du genre littéraire de la science-fiction.

Le Tour du Monde en Quatre-vingts Jours

Phileas Fogg est un membre aussi éminent qu'original du Reform-Club de Londres. Ce gentleman lance un défi audacieux aux autres membres de cette honorable association : il parie toute sa fortune - vingt mille livres - qu'il effectuera le tour du monde en quatre-vingts jours. Il se met donc en route avec son domestique français, l'habile Passepartout, le 2 octobre 1871, à huit heures quarante-cinq. Hélas, ce départ précipité éveille la méfiance de la police. Le détective Fix soupçonne Phileas Fogg d'être l'insaisissable individu qui a volé trois jours plus tôt cinquante-cinq mille livres à la Banque d'Angleterre. Il se lance aussitôt à sa poursuite...

Le Tour du monde en quatre-vingts jours - Edition illustrée

Dans Michel Strogoff, Jules Verne invite son lecteur au voyage � travers les plaines de Sib�rie sur les traces de Michel Strogoff, courrier du tsar de Russie charg� de gagner Irkoutsk depuis Moscou pour avertir le fr�re du tsar de l'invasion imminente des Tartares command�s par le tra�tre Ivan Ogareff. Il rencontre une jeune fille, Nadia, qui esp�re retrouver son p�re. Il l'aide en faisant croire qu'elle est sa soeur. Accompagn�s par des journalistes, ils surmonteront moult �preuves dont celle, poignante, pour Michel, d'une confrontation avec sa propre m�re, qui le conduit � se d�voiler. Parvenant � �chapper aux Tartares, il remplit cependant sa mission et permet au grand-duc de triompher. Ce roman, paru d'abord en feuilleton dans le Magasin d'�ducation et de R�daction puis en volumes en 1876, a connu de tr�s nombreuses adaptations, du th��tre � la bande-dessin�e, en passant par la t�l�vision et le cin�ma.Avec une biographie de l'auteur.

Miguel Strogoff

Le roman raconte une chasse au trésor, où les indices, arrivant par bribes, mènent Pierre Servan Malo de Saint-Malo de la Tunisie au golfe de Guinée, puis à Edimbourg, à l'île Spitzberg, et enfin au large de la Sicile.Extrait:Dans lequel un navire inconnu, capitaine inconnu, est à la recherche, sur une mer inconnue, d’un îlot inconnu.Ce matin-là, — 9 septembre 1831, — le capitaine quitta sa cabine à six heures et monta sur la dunette.Le soleil pointait déjà à l’est, ou plus exactement la réfraction l’élevait au-dessus des basses couches de l’atmosphère, car son disque se traînait encore au-dessous de l’horizon. Une longue effluence lumineuse caressait la surface de la mer, largement ridée d’un léger clapotis avec la brise matinale.Après une nuit calme, il y avait apparence que la journée serait belle, — une de ces journées de septembre dont la zone tempérée bénéficie parfois au déclin de la saison chaude.Le capitaine ajusta sa longue-vue à son œil droit, et, faisant demi-tour, il promena l’objectif sur cette circonférence où se confondaient le ciel et la mer. La longue-vue rabaissée, il s’approcha de l’homme de barre, — un vieux à barbe hirsute, dont le vif regard perçait sous une paupière clignotante.« Quand as-tu pris le quart ? demanda-t-il.— À quatre heures, capitaine. »Ces deux hommes parlaient une langue assez rude, que nul Européen, Anglais, Français, Allemand ou autre, n’aurait reconnue, à moins d’avoir fréquenté les Échelles du Levant. Ce devait être une sorte de patois turc mélangé de syriaque.« Rien de nouveau ?…— Rien, capitaine.— Et depuis ce matin, pas un navire en vue ?…— Un seul… un grand trois-mâts, qui venait à contre-bord de nous sous le vent. J’ai loffé d’un quart pour en passer aussi loin que possible.— Tu as bien fait. Et maintenant ?… »Le capitaine observa circulairement l’horizon avec une attention extrême. Puis :« Pare à virer ! » cria-t-il d’une voix forte.Les hommes de quart se levèrent. La barre mise dessous, les écoutes de foc furent filées, en même temps que l’on bordait la brigantine. Le navire évolua et se remit en marche vers le nord-ouest, bâbord amures.C’était un brick-goélette de quatre cents tonneaux, un bâtiment de commerce dont on eût fait avec quelques modifications un yacht de plaisance. Le capitaine avait sous ses ordres un maître et quinze hommes, — équipage suffisant pour la manœuvre, — composé de vigoureux matelots, dont le costume, vareuse et bonnet, large pantalon et bottes de mer, rappelait celui des marins de l’Europe orientale.Aucun nom au tableau d’arrière de ce brick-goélette, ni sur les bastingages extérieurs de l’avant. Pas de pavillon. D’ailleurs, pour éviter d’avoir un salut à faire ou à rendre, du plus loin que la vigie signalait un bâtiment, il changeait sa route.

Mirifiques aventures de maître Antifer

Lorsque son fils Louis et les membres de l'équipage du navire Jeune-Hardie ne reviennent pas de mer, Jean Cornbutte décide de remonter le navire et de se diriger vers le nord pour les retrouver. L'accompagnant dans ce voyage est la fiancée de son fils, Marie, et l'homme qui serait le rival de son fils pourles affections de Marie, le premier officier du navire, André Vasling. Lorsque la partie disparue est retrouvé dans l'extrême nord, il ne reste plus qu'à survivre au froid glacial et à la rivalité.Extrait:Le curé de la vieille église de Dunkerque se réveilla à cinq heures, le 12 mai 18.., pour dire, suivant son habitude, la première basse messe à laquelle assistaient quelques pieux pêcheurs. Vêtu de ses habits sacerdotaux, il allait se rendre à l’autel, quand un homme entra dans la sacristie, joyeux et effaré à la fois. C’était un marin d’une soixantaine d’années, mais encore vigoureux et solide, avec une bonne et honnête figure. « Monsieur le curé, s’écria-t-il, halte là ! s’il vous plaît. — Qu’est-ce qui vous prend donc si matin, Jean Cornbutte ? répliqua le curé. — Ce qui me prend ?… Une fameuse envie de vous sauter au cou, tout de même ! — Eh bien, après la messe à laquelle vous allez assister…. — La messe ! répondit en riant le vieux marin. Vous croyez que vous allez dire votre messe maintenant, et que je vous laisserai faire ? — Et pourquoi ne dirais-je pas ma messe ? demanda le curé. Expliquez-vous ! Le troisième son a tinté... .

Le tour du monde en 80 jours

Résumé

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