Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Les fils de l'espace

Particule zéro

Ici, le bourreau

Il est parfois périlleux de vouloir changer la nature humaine. Même en affirmant scientifiquement qu'après tout, le corps n'est jamais qu'un composé minéral sur lequel on peut agir efficacement.Isabelita va découvrir, dans le monde d'Arcturus, l'étrange mutation à laquelle est soumis l'homme qu'elle s'est mise à aimer, le mystérieux ange noir.Où trouvera-t-elle la clé de toutes ces énigmes, sinon dans la quête du Diamant-Taché-de-Sang?

Les Presque Dieux

Moi, un robot

Un peuple bien étrange, sur lequel règne Toog-au-Masque-d'opale, dont on ne voit jamais le visage, et qui commande aux rapaces cruels, aux lézards géants, aux hommes-aux-yeux-morts... L'audacieux cosmonaute qui tente de s'incorporer à cette tribu, pourra-t-il percer les multiples secrets de satellite de Sirius ?

Les Vikings de Sirius

Pire que le camp de concentration... pire que le goulag... la déportation sur une petite planète perdue et stérile. Rejeté par le totalitarisme socioplanétaire qui a dominé toute la Terre, Klaus Verdier est abandonné, nu intégralement et démuni de tout, au hasard, sur Delta IV du Centaure. Son crime ? Avoir cru en l'humanité. S'être tenu à l'écart des doctrines collectivistes et des pseudo-églises qui trahissent la divinité. Il est voué, parmi les autres marginaux, au retour à la nature. En fait à la déchéance, à la plus basse animalité. Et c'est plus épouvantable encore. Pourtant, Klaus échappe à un terrifiant péril. Et un voyage fortuit l'amène en un monde où il atteindra à un pouvoir de démiurge. Alors il croira pouvoir enfin réaliser son idéal : aimer et servir ! Klaus-Tout-Puissant va répandre ses bienfaits sur les hommes ! Mais les hommes sont-ils dignes de tant d'amour ? Un vieux proverbe de sa planète patrie ne dit-il pas : « On n'est jamais trahi que par les siens » ?

Le proscrit de Delta

Laisse-moi, laisse-moi, délivre-moi de ton emprise, je ne veux plus sentir sur moi ta griffe maudite. Ce que tu veux, je le sais. Il me semble que je te comprends, comme si les mauvaises pensées montaient de la terre, cette terre qui contient ton cercueil. Tu veux la tête de Claude Bertil. Tu veux qu'il meure, de cette façon horrible, et que son sang rejaillisse sur moi, que, sans cesse, jusqu'à la fin de ma misérable vie, je sois hanté par cette tête coupée, dont les lèvres froides me reprocheront de l'avoir poussé au meurtre. Quel roman diabolique vas-tu me dicter ? Dans le vent, dans la pluie, sous le ciel plus noir que le noir, au-delà des cyprès qui gémissent, il me semble qu'on a crié mon nom...

En lettres de feu

La lune disparaît. Il fait soudain très noir, dans le cimetière. Et l'air est plus lourd que jamais. Un oiseau de nuit hulule, très loin, vers le bois. En même temps, Cyrille entend un grincement. Teddy Verano a ôté le couvercle. Cyrille ferme les yeux. Il a peur, peur de voir cette forme blanche, couchée tout au fond. Cette forme, celle qui aurait dû devenir sa femme. Cyrille se décide à se pencher, à regarder. Et il a un formidable soubresaut. Est-ce pour cela qu'il ne ressentait plus rien, que les appels désespérés de l'au-delà ne lui parvenaient plus ? Le cercueil est vide.

Les fils de l'espace

Résumé

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Critiques

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