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L'origine. Simple indication
Publié par Gallimard
312 pages
Présentation de l'éditeurUn étudiant en médecine est chargé par un de ses "patrons" de faire une enquête sur le frère de celui-ci, le peintre Strauch qui, depuis la guerre, s'est détaché du monde et vit retiré dans une auberge d'un village de la haute montagne autrichienne. Le roman est le rapport quotidien de cette enquête. Vingt-sept jours d'observation, vécus au coeur du gel hivernal et du gel psychologique, rencontre du jeune homme et du vieillard, progressive découverte de l'Univers que s'est choisi le misanthrope : paysans dégénérés, forains batailleurs, voleurs de bestiaux... Incendies, accidents mortels, bagarres, abattages clandestins de bêtes... Se prenant d'amitié pour le jeune narrateur dont il ignore l'identité, Strauch lui expose en de longs monologues décousus, hallucinatoires, fulgurants, ses conceptions du tragique et de l'absurde, du mystère de vivre. D'abord déconcerté, le jeune rapporteur se laisse peu à peu envoûter par la séduction mortelle du gel de la nature, et du nihilisme définitif du peintre. Il n'en sera libéré que par la disparition du vieil homme dans la montagne.Quatrième de couvertureUn étudiant en médecine est chargé par un de ses «patrons» de faire une enquête sur le frère de celui-ci, le peintre Strauch qui, depuis la guerre, s'est détaché du monde et vit retiré dans une auberge d'un village de la haute montagne autrichienne.Le roman est le rapport quotidien de cette enquête. Vingt-sept jours d'observation, vécus au cœur du gel hivernal et du gel psychologique, rencontre du jeune homme et du vieillard, progressive découverte de l'Univers que s'est choisi le misanthrope : paysans dégénérés, forains batailleurs, voleurs de bestiaux... Incendies, accidents mortels, bagarres, abattages clandestins de bêtes...Se prenant d'amitié pour le jeune narrateur dont il ignore l'identité, Strauch lui expose en de longs monologues décousus, hallucinatoires, fulgurants, ses conceptions du tragique et de l'absurde, du mystère de vivre. D'abord déconcerté, le jeune rapporteur se laisse peu à peu envoûter par la séduction mortelle du gel de la nature, et du nihilisme définitif du peintre. Il n'en sera libéré que par la disparition du vieil homme dans la montagne.
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