Mine de rien, tout le monde a honte de temps en temps, même les grandes personnes, et ça fait du bien d'en parler.

La honte (Mine de rien - Giboulées, #58)

Les bobos

Après la mort d'un être cher on est malheureux, on a du chagrin. On dit qu’on est en deuil…La mort, on doit pouvoir en parler, même aux tout-petits, leur donner les mots pour comprendre ce qui se passe lorsqu'une personne chère disparaît. Dire la vérité à un enfant lui permet de faire le deuil, d'exprimer son chagrin et de sentir peu à peu que la vie continue et qu'il a le droit d'être content de vivre.

Si on parlait de la mort

Le soir avant de s'endormir, on aime que papa ou maman nous raconte une histoire. On aime souvent les histoires de loup, mais le soir ça donne des cauchemars. Les histoires, ça fait rêver et ça vous donne plein d'images dans la tête.

Raconte-moi une histoire

Des mots très spéciaux C'est permis de savoir des gros mots, on ne peut pas les dire à tout le monde mais surtout, il faut en dire le moins souvent possible...

Les gros mots

Mine de rien, la famille de coeur est la plus grande de toutes les familles.

Vivre seul avec papa ou maman

Connaître l'histoire de notre naissance, ça nous aide à vivre. On la fête le jour de notre anniversaire qui nous rappelle que c'est un très grand moment de notre vie.

La naissance

mine de rien, quand on grandit, on a de moins en moins besoin de doudou.

Les doudous

Les écrans, les journaux, les livres diffusent des images qui peuvent impressioner durablement les enfants. Certaines sont violentes, incompréhensibles, toxiques. Il est important de les sélectionner et de les commenter.

La honte (Mine de rien - Giboulées, #58)

Résumé

Plus de livres de Catherine Dolto

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques