Iyewa

La légende veut que lorsqu'un enfant vient au monde à saint-louis, on verse dans le fleuve, en offrande à mame coumba bang, la déesse des eaux, une bouillie de farine de mil, illustrant le respect des habitants pour le fleuve nourricier.
 Ville de traditions, mais aussi capitale d'une époque révolue (l'afrique occidentale française), saint-louis a gardé ses manières de grande dame : rues au cordeau, places aérées, bâtisses spectaculaires, le tout sur un site d'une beauté saisissante, entre fleuve et océan.  saint-louis a su également rajeunir et développer des quartiers très vivants, guet ndar ou sor, ainsi qu'une riche activité intellectuelle et culturelle.
 Un subtil mélange.

Saint-Louis du Sénégal

Kankan Le Malefique

« Le très beau roman de Louis Camara nous fait voyager dans l'univers fabuleux de la cosmogonie yoruba. Un univers de mythes qui nous ramène à nous-mêmes. Le dramaturge Abdou Anta Ka disait qu'il fallait s'inspirer des mythes pour écrire notre histoire d'aujourd'hui et de demain. Les hommes ont tendance à changer, mais pas les dieux. Les dieux sont éternels. » - Ken Bugul, Le baobab fou, Riwan ou le chemin de sable, etc. « A n'en pas douter, Louis Camara possède le sens du conte et le génie de la narration. Sous sa plume magique, venus du fond des âges et des plis les plus profonds de la pensée Yoruba, des fils de dieux curieux de l'humanité jouent pour nous le jeu du destin individuel et nous dévoilent, ce faisant, sa mystérieuse trame toute faite de liberté et de nécessité alternée... Car choisir son Ori, c'est pour chaque âme en route vers l'humanité, choisir son caractère, sa personnalité, son destin. » Oeuvre au programme scolaire.

Le choix de l'Orí

Dans une lointaire contrée vit Kankan, la plus étrange créature jamais vue sur Terre... Sa ruse, sa paresse et ses mensonges vont l'entraîner dans une histoire abracadabrante d'où il ne sortira pas grandi. Comme dit le proverbe : Tel est pris qui croyait prendre !

Kankan le maléfique

Louis Camara nous fait voyager dans l'univers fabuleux de la cosmogonie yoruba. Un univers de mythes qui nous ramène à nous-mêmes. Abdou Anta Ka disait qu'il fallait s'inspirer des mythes pour écrire notre histoire d'aujourd'hui et de demain. Les hommes ont tendance à changer, mais pas les dieux. Les dieux sont éternels.

Iyewa

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