Remedes desesperes

The only critical edition available The phrase `life's little ironies' is now proverbial, but it was coined by Hardy as the title for this, his third volume of short stories. 

While the tales and sketches reflect many of the strengths and themes of the great novels, they are powerful works in their own right. Unified by his quintessential irony, strong visual sense, and engaging characters, they deal with the tragic and the humorous, the metaphysical and the magical. The collection displays the whole range of Hardy's art as a writer of fiction, from fantasy to uncompromising realism, and from the loving re-creation of a vanished rural world to the repressions of fin-de-siècle bourgeois life. 


Readership: General; students of English Literature from secondary/sixth form, university students from undergraduate level upwards, doing Victorian literature courses, short story courses.

Life's little ironies

"Yea, many there be that have run out of their wits for women, and become servants for their sakes. Many also have perished, have erred, and sinned, for women... O ye men, how can it be but women should be strong, seeing they do thus?"

Jude the Obscure

Autour de Barbara Everdene, trois hommes : Gabriel Oak, berger à la ferme dont elle est propriétaire, le sergent Francis Troy, invétéré coureur de jupons, et William Boldwood, exploitant d'une terre voisine. Comme toujours chez Hardy, les jeux du désir se heurent à une réalité plus tragique.

Le classique de Thomas Hardy devenu un film à succès en 2015.

Loin de la foule déchaînée

Wessex tales

«Hardy a divisé lui-même son oeuvre romanesque en trois grands types. Deux d'entre eux recouvrent les romans et nouvelles "grand public", histoires d'amour ou de suspense. L'autre, intitulé "romans de caractère et d'environnement", contient toutes les oeuvres où Hardy exprime ses vues personnelles dans un contexte réaliste, c'est-à-dire, finalement, toutes celles que nous admirons encore aujourd'hui. Nos deux nouvelles appartiennent à cette catégorie. Elles partagent avec les grands romans ce sérieux et cette tristesse qui ont fait accuser Hardy de pessimisme. [...] Hardy a toujours refusé l'étiquette de pessimiste et son regard sur le monde varie d'un contexte à l'autre. Disons qu'il n'a rien d'un pessimiste doctrinaire comme Swift, pour qui l'humanité n'est qu'une "odieuse petite vermine bouffie de vanité". Hardy, au contraire, aime naturellement ses semblables. Sans pouvoir tout leur pardonner, il leur accorde son estime et sa compassion, et jamais il ne les méprise. En fait, il n'aime rien tant que d'équilibrer la part de misère humaine qui revient au destin et ce qu'il faut attribuer à la responsabilité des hommes eux-mêmes.» Bernard Jean.

Deux contes du wessex / Two stories from "wessex tales"

Texte intégral révisé suivi d'une biographie de Thomas Hardy. Publié en 1891, "Tess d'Uberville", le plus connu des livres de Thomas Hardy, termine avec "Jude l'Obscur" l'oeuvre romanesque de l'auteur. Jeune et belle paysanne, Tess Durbeyfield est séduite par un notable du Wessex, Alec d'Uberville, qui la répudie. Son enfant meurt à la naissance. Dans la très puritaine société anglaise de la fin du XIXe siècle, elle est dès lors condamnée. Elle épouse Angel Clare, un fils de pasteur, qui l'abandonne également. Elle renoue avec Alec sous la contrainte avant de le tuer et de s'enfuir avec Angel. Retrouvée dans la lande, elle est traduite en justice et condamnée à mort. Le récit est imprégné du profond pessimisme de Thomas Hardy, véritable force aveugle et hostile qui gouverne les personnages, ceux-ci payant par leurs souffrances les fautes commises (la séduction coupable d'Alec, la chute de Tess,...). Un destin inexorable les mène vers le bien ou le mal en dehors de toute morale, de toute loi, de toute opinion. Ils sont vaincus d'avance. Le cadre de "Tess d'Uberville" est la région du Wessex, qui donne au roman une poésie et une couleur locale qui inspireront par la suite de nombreux écrivains et artistes.

Tess d'Uberville

Maître dans l'art de décortiquer " Les petites ironies de la vie ", Thomas Hardy possédait aussi le talent de se pencher, en quelques pages, sur les grandes. Ces instants où une existence bascule, ces décisions dont il faudra à jamais supporter les conséquences, ces éclairs de lucidité qui pétrifient, il s'en fit le conteur subtil. Et si L'Angleterre qu'il nous dépeint a disparu, ses personnages gardent intact cet étrange et universel don de nous émouvoir. Quand un géant du roman se métamorphose en nouvelliste, les masques de ses courtes tragédies prennent un relief inoubliable.

Métamorphoses - Occasion

In this classically simple tale of the disastrous impact of outside life on a secluded community in Dorset, now in a new edition, Hardy narrates the rivalry for the hand of Grace Melbury between a simple and loyal woodlander and an exotic and sophisticated outsider. Betrayal, adultery, disillusion, and moral compromise are all worked out in a setting evoked as both beautiful and treacherous. The Woodlanders, with its thematic portrayal of the role of social class, gender, and evolutionary survival, as well as its insights into the capacities and limitations of language, exhibits Hardy's acute awareness of his era's most troubling dilemmas.

Remedes desesperes

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