Verbrecher machen keine Pause. Auch nicht zur Weihnachtszeit.

Das dachte sich wohl auch der britische Kriminalschriftsteller Edgar Wallace (1875 bis 1932), der während seiner produktiven Schaffenszeit gleich eine ganze Reihe kurzer Weihnachtskrimis verfasste. 

Zwei davon präsentiert der vorliegende kleine Band zum ersten Mal in deutscher Sprache.

Auf der Straße nach Witney - Auf der Straße nach Witney

Harlow, un dandy homme d'affaires, évolue dans le Londres de l'après première guerre mondiale, sous les yeux du détective Carlton, fin limier de Scotland Yard. La désinvolture du premier contraste avec l'abnégation du second qui s'efforce de trouver des preuves pour l'enfermer.

Un roman agréable à lire qui nous replonge avec délices dans la vie londonienne du début du XXème siècle.

Le Mystificateur

A man stood irresolutely before the imposing portals of Cainbury House, a large office building let out to numerous small tenants, and harbouring, as the indicator on the tiled wall of the vestibule testified, some thirty different professions. The man was evidently poor, for his clothes were shabby and his boots were down at heel. He was as evidently a foreigner. His clean-shaven eagle face was sallow, his eyes were dark, his eyebrows black and straight.

He passed up the few steps into the hall and stood thoughtfully before the indicator. Presently he found what he wanted. At the very top of the list and amongst the crowded denizens of the fifth floor was a slip inscribed:

"THE GOSSIP'S CORNER"

He took from his waistcoat pocket a newspaper cutting and compared the two then stepped briskly, almost jauntily, into the hall, as though all his doubts and uncertainties had vanished, and waited for the elevator. His coat was buttoned tightly, his collar was frayed, his shirt had seen the greater part of a week's service, the Derby hat on his head had undergone extensive renovations, and a close observer would have noticed that his gloves were odd ones.

He walked into the lift and said, "Fifth floor, " with a slight foreign accent.

He was whirled up, the lift doors clanged open and the grimy finger of the elevator boy indicated the office. Again the man hesitated, examining the door carefully. The upper half was of toughened glass and bore the simple inscription:

"THE GOSSIP'S CORNER.

KNOCK."

Obediently the stranger knocked and the door opened through an invisible agent, much to the man's surprise, though there was nothing more magical about the phenomenon than there is about any electrically controlled office door.

He found himself in a room sparsely furnished with a table, a chair and a few copies of papers. An old school map of England hung on one wall and a Landseer engraving on the other. At the farthermost end of the room was another door, and to this he gravitated and again, after a moment's hesitation, he knocked.

"Come in, " said a voice.

He entered cautiously.

The room was larger and was comfortably furnished. There were shaded electric lamps on either side of the big carved oak writing-table. One of the walls was covered with books, and the litter of proofs upon the table suggested that this was the sanctorum.

The Secret House

Chick : À la place de Chick, que feriez-vous ? Imaginez-vous employé d’une compagnie d’assurance, à cinq livres par semaine, loger dans une pension modeste où réside aussi Gwenda, une actrice au chômage… Et vous vous en trouvez fort bien.Mais voilà ! Votre vieil oncle misanthrope meurt soudainement en apprenant que sa pétition en vue de relever le titre de ses ancêtres est acceptée. Son héritier, c’est vous ! Vous voici un Lord ! Mais un marquis de Pelbourough, sans fortune et employé d’assurances, n’est-ce pas une sorte de monstruosité sociale ? Comment allez-vous, simple employé, devenir un Lord ? Comment vous comporter ? Vous habiller ? Que faire de vos journées ?Heureusement qu’il y a Gwenda ! Elle prend les choses en main… Mais Chick se trouve confronté, dans sa naïveté, à des situations de plus en plus rocambolesques. Et peut-être n’est-il pas si bête ? Un pur délice de Wallace.

Chick

À Londres un mystérieux informateur de la police, « la Mouche », receleur de haut vol, n'hésite pas à tuer ceux qui le gênent. Qui est-il? Serait-ce le capitaine John Leslie, directeur commercial de la maison d'exportation dont Frank Sutton est le propriétaire adoré de tous ses collaborateurs? En fait John Leslie, condamné trois fois comme receleur d'objets volés en Afrique du sud, a été embauché chez Frank Sutton afin de lui donner l'occasion de se relever. Sont mêlés à cette enquête Barrabal, inspecteur de Scotland Yard, mystérieux et connu de peu de personnes et Joshua Collie, chroniqueur judiciaire au Courrier du Matin.

La Mouche

Les agissements de Harlow, millionnaire énigmatique soupçonné d'être « Le mystificateur », sont suivis de près par les inspecteurs Carlton, du Foreign Office et Elk de Scotland Yard ainsi que ceux de l'acteur-escroc Ingle, récemment libéré. Viendront-ils à bout de ce Mystificateur?

Bones in London is a short Story by Edgar Wallace, first published in 1921.

Bones in London

Il use souvent de tous les poncifs de la litterature populaire du xixe siecle, mais ses meilleurs romans, menees tambour battant, offrent une succession presque ininterrompue d'actions et de revirements. Nombre d'entre eux sont adaptes au cinema, dont Red Aces (1929) et The Squeaker (1930), par les soins de Wallace lui-meme en tant que realisateur et scenariste. En outre, il ecrit, monte et produit une vingtaine de pieces dans un theatre dont il est proprietaire."

La châtelaine d'Ascot

Edgar Wallace
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Mrs. Carawood, la tutrice et ancienne nurse de la jeune comtesse Marie Fioli, est accusée d'avoir détourné des fonds pour créer la chaîne de magasins de mode à succès qu'elle gère aujourd'hui. Julian Lester, jeune mondain célibataire, demande à son ami et détective privé, John Morlay, d'enquêter sur l'état de fortune de la jeune comtesse qu'il souhaite épouser.
Roman de 267 000 caractères.

PoliceMania, une collection de Culture Commune.

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Auf der Straße nach Witney - Auf der Straße nach Witney

Résumé

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