Une Bagarre De Gauguin

À l'heure du coucher, dès que sa maman a le dos tourné, Max et Malabar, son chien en peluche (interprété par Alain Bashung), se transforment en rock stars. Ils sautent par la fenêtre et partent à la recherche de la gloire. En route, ils vont rencontrer trois grosses poules, la chatte Samia et un lapin qui bégaye. De retour à la maison, c'est la fête totale ! Musique de Rodolphe Burger. Avec Alain Bashung. Réalisé en partenariat avec le Fonds d'Action Sacem.

Max et le rock ; le rock

À treize ans, Géronimo s'appelle encore Goyahkla, il n'a pas encore gagné son nom d'adulte. Il se prépare à poursuivre la guerre ancestrale entre Mexicains et Espagnols. Il ne sait pas encore que le danger viendra de l'est, de l'homme blanc engoncé dans sa tunique bleue et sa supériorité. et qu'il deviendra alors Géronimo, le dernier chef apache, le dernier Indien.

Géronimo, le dernier chef apache

À treize ans, Goyahkla n'a pas encore gagné son nom d'adulte : Géronimo. Après la mort de son père, il continue son apprentissage dans la plus vieille tradition de son peuple, et se prépare à poursuivre la guerre ancestrale entre Mexicains et Espagnols. Il ne sait pas encore que le danger viendra de l'est, de l'homme blanc... et qu'il deviendra alors Géronimo, le dernier chef apache, le dernier indien.

À treize ans, Géronimo s'appelle encore Goyahkla, il n'a pas encore gagné son nom d'adulte. Taklishim, son père, son premier maître, vient de mourir. Il a déjà commencé à courir pendant des heures, à chasser le cerf à l'affût. Et tous les jours de nouvelles leçons : "Ne dors pas. Ne ferme pas tes yeux, reste assis, apprends à rester éveillé, ta vie en dépendra un jour". Il se prépare, Goyahkla, à poursuivre la guerre ancestrale contre Mexicains et Espagnols. Il ne sait pas encore que le danger viendra de l'Est, de l'homme blanc engoncé dans sa tunique bleue et sa supériorité et qu'il sera alors Géronimo, le dernier chef de guerre apache, le dernier Indien. DOSSIER : La survivance de la culture apache.

Géronimo - Le dernier chef Apache

Dans la tribu des Dakotas, Huchté, le petit Indien, n'est pas comme les autres. Eux courent, dansent et chassent. Lui, il boite. Et lorsque les enfants se moquent de son pied déformé, il voudrait mourir, tant il est malheureux. Dans ces moments-là, Huchté s'en va dans la prairie retrouver ses meilleurs amis : les animaux. Des amis qui vont le mettre sur le chemin du bonheur.

L'Indien qui ne savait pas courir - Occasion

Les derniers visiteurs quittent le zoo. Après cette chaude journée d'été, le gardien, Monsieur Basile, prend le frais dans les allées. Il s'arrête devant la grille de Charlie, le raton-laveur. Sans qu'il s'en aperçoive, les petites pattes de Charlie se glissent dans sa poche et lui volent ses clés. À peine la nuit tombée, Charlie libère tous les animaux...

Le jazz ; Charlie et le jazz

" Il y a très longtemps, lorsque les animaux et les hommes parlaient la même langue, existait un lieu sombre et brûlant, éclairé par des feux qui couvaient au fond de cratères incandescents. "
De ce " premier monde " partit une longue épopée qui conduisit les insectes vers d'autres mondes : celui des oiseaux d'abord, celui des sauterelles, ensuite.
C'est dans le quatrième, que furent créés, à partir de deux épis de maïs, le premier homme et la première femme navajos. Restait alors à inventer le zèle et la persévérance, la paresse et la fourberie, la lune et le soleil ; la mort elle-même n'existait pas encore...
Le grand récit poétique par lequel les navajos continuent de raconter leurs origines.

La Mythologie Navajo

Tim est un petit garçon et Tom est un bon, beau, gros chat. Tim, c'est aussi la clarinette et Tom, le basson. Et quand Tom apporte à la maison des choses qui sentent mauvais, comme une vieille chaussette ou une arête de poisson, la mère de Tim devient une trompette au son éclatant. Ainsi commence la découverte des instruments à vent... Musique de Louis Dunoyer de Segonzac. Raconté par Muriel Bloch. Instruments de musique illustrés par Pierre-Marie Valat. Réalisé avec le soutien du conservatoire national de région de Boulogne-Billancourt. Conseil pédagogique : Henriette Canac. Interview de Louis Dunoyer de Segonzac : - Vous avez composé la musique du titre sur les vents de la collection Mes Premières Découvertes de la Musique, qu'est-ce qui vous a séduit dans ce projet ? - Sa portée pédagogique. J'aime l'idée de faire découvrir la musique aux enfants par famille d'instruments. Je n'ai pas cherché à composer de la «musique pour enfant». Pour moi, si la musique est bonne, elle plaira autant aux adultes qu'aux enfants. Il ne faut surtout pas niveler par le bas. La bonne musique, quelle qu'elle soit, est accessible aux enfants. Il suffit de la leur proposer. Par exemple, mes enfants apprécient beaucoup Stravinsky malgré sa réputation de compositeur difficile. - Est-ce que composer une musique pour accompagner une histoire a influencé votre façon de travailler ? - D'habitude, j'écris des chansons pour des comédies musicales. Ici, il n'y a pas de chanson, la musique doit raconter une histoire et incarner différents personnages. Il y a eu une véritable collaboration avec l'auteur. Notre travail a été complémentaire. - Selon vous, qu'est-ce que la musique apporte à l'histoire ? - La musique raconte l'histoire à sa manière. Il y a des choses qu'elle seule peut exprimer. En accord avec l'auteur, la musique a une véritable fonction narrative. Dans certains passages, elle prend le relais des mots. Il y a comme un dialogue qui se crée.

Une Bagarre De Gauguin

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