Sur leurs terribles drakkars, armés jusqu'aux dents, voici les Vikings et, parmi eux, les Chabadas ! À la conquête de l'Europe, ils naviguent sur un océan déchaîné... Les dieux sont-ils contrariés ou un sorcier a-t-il ensorcelé le navire ?
Prenez votre hache, faites attention aux Matouvus, et priez Odin, lors d'une traversée mouvementée !

Les Chabadas : le drakkar invincible

Colette a suivi son amoureux, Lord Chat-Mallow, à Londres ! Mais depuis quelques semaines, Blanche est inquiète : toutes ses lettres reviennent avec la mention Return to sender. Les Chabadas se concertent. Il n'y a pas trois mille solutions...

Les Chabadas

Daniel Picouly revient sur son enfance et son rapport à l'apprentissage et à la transmission. Il se dédouble, tour à tour l'enfant qu'il fut et l'adulte qu'il est. Il narre des souvenirs, d'abord au premier degré, puis avec recul. Dans les deux cas, on assiste à la confrontation entre les rêves d'un gamin de 10 ans en 1958, et ceux de l'adulte qui, au fond, est resté le même. Il sait se faire attendrissant, sans verser dans la mièvrerie, raconter des histoires, sans pédanterie ni didactisme. Il a le vrai talent de ne pas faire de morale et d'être généreux. On redécouvre des réflexions enfantines ; on respire un air de nostalgie (l'enfance, mais aussi cette période où les noms ont valeur de symboles poétiques : Pierre Benoit, Gaston Leroux, Mendès-France.). Un très joli petit texte où les répliques fusent avec humour («Aux rations de guerre, les cancres reconnaissants »), où l'émotion est constante et contenue.

La faute d'orthographe est ma langue maternelle

daniel picouly vous entraîne dans ses plus beaux souvenirs d'enfance.
 de la lettre tant attendue du comité d'entreprise indiquant la destination du voyage, à la préparation du trousseau, qui doit être impérativement complet et étiqueté, c'est le début de l'aventure " colo " ! plusieurs semaines de bonheur à vivre avec les copains domino et bonne-pomme, sous l'oeil attentif des monos surnommés le tarzan et la pin-up on forme des équipes sportives, au choix, foot, canoë ou piscine.
 on observe les filles du dortoir voisin, mais aussi le ciel étoilé lors des veillées autour du feu de camp.  de la salle de douches - véritable université d'été sur l'anatomie - au grand réfectoire - on y joue à la petite cuillère amoureuse - en passant par le dortoir - on y montre ce que l'on sait faire : poirier, équilibre.  - le " grand château " est la maison des enfants.  on en oublie presque les corvées de nettoyage, de balayage et d'épluchage.
 il ne reste plus dans le coeur de chacun qu'un doux souvenir nostalgique de rires et de jeux.

Les colonies de vacances

Hier, Tilou avait mal à la tête...  Mais ce matin, c'est Lapinou qui est malade ;  une petite visite de contrôle chez le docteur s'impose !  Dans la salle d'attente, Tilou est  un peu inquiet ; le docteur est-il gentil ? Papoune le rassure, il le connaît, bien.  Le docteur regarde sa gorge, le mesure et le pèse. Tilou a bien grandit, bien grossit aussi. Tout ça, c'est grace aux tartes aux mirabelles de Mamoune !Lapinou est en pleine forme aussi. Promis, à la prochaine visite, le docteur lui fera écouter son coeur avec le stéthoscope !

Tilou bleu va chez le docteur

5 septembre 1792. Deux blacks cherchent " une Noble tête " guillotinée. Dans un Paris révolutionnaire en pleine ébullition, toutes les pistes convergent vers Haarlem, quartier étrange et dangereux... Le trait semi-réaliste de Jürg se prête à merveille à cette aventure humoristique à suspense. Un événement : Daniel Picouly écrira deux suites inédites à cette adaptation de son roman.

Tete De Negre. Livre 1

Paris, septembre 1792. Un aristocrate mulâtre aux yeux bleus est guillotiné. Sa tête est aussitôt volée. Pour la retrouver, son père recrute deux spécialistes : Ed Cercueil et Fossoyeur Jones.

Tête de nègre

«Je buvais de l'eau dans le caniveau avec Capi pour attraper la polio. J'avais lu que Garrincha, l'ailier droit du Brésil, avait eu la poliomyélite. Depuis, il a une jambe plus courte et c'est le meilleur dribbleur du monde.» Avec une tendresse et une complicité nostalgiques, Daniel Picouly dresse le portrait d'un gosse, dans une banlieue parisienne des années 1950. Pour ce dernier, tout est prétexte à émerveillement. C'est d'abord un père chaudronnier à qui il prête une vie secrète ; c'est aussi le regard curieux qu'il porte sur une mère omniprésente et une douzaine de frères et de soeurs. Mais c'est surtout, au bout de la rue, entre un mur et un pan de ronces, un endroit anodin que la naïveté de l'enfance rend magique : le champ de personne...

Les Chabadas : le drakkar invincible

Résumé

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