![Capitale de la douleur](/_next/image?url=https%3A%2F%2Fs3.eu-west-3.amazonaws.com%2Fstatic.jardin-des-citations.com%2Feditions%2Fimages%2Fcapitale-de-la-douleur-paul-eluard-zjwv27oOVchcpLjbQbb2EaVX2KQdGo64.jpg&w=3840&q=100)
Capitale de la douleur
Publié par Gallimard, le 17 février 1971
224 pages
«Les expériences auxquelles va se livrer Éluard entre Le devoir et l'inquiétude (1917) et Les dessous d'une vie (1926) n'ont pas pour but d'affirmer l'originalité ou la virtuosité d'un écrivain, d'aiguiser ou de souligner sa singularité, ni de créer un frisson nouveau pour les connaisseurs. Éluard n'est pas non plus à cette époque à la recherche de lui-même, comme on dit. Tout se passe au contraire comme s'il s'était trouvé d'emblée, en même temps qu'il prend congé de Grindel pour adopter le nom de sa grand-mère. La voix la plus éluardienne se fait entendre dès le début, inimitable comme eau de source, effervescente de limpidité, volubiles et lisses vocalises de bulles d'oxygène naissant.»Claude Roy.
Capitale de la douleur
Le livre ouvert : 1938-1944
Poesies: 1913 1926
Poèmes d'amour et de liberté
Courage - Suivi de De notre temps [2], Et un sourire
Grain-d'Aile
Dans Paris Il Y A..
Une leçon de morale
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