You must go back with me to the autumn of 1827.

My father, as you know, was a sort of gentleman farmer in -shire; and I, by his express desire, succeeded him in the same quiet occupation, not very willingly, for ambition urged me to higher aims, and self-conceit assured me that, in disregarding its voice, I was burying my talent in the earth, and hiding my light under a bushel. My mother had done her utmost to persuade me that I was capable of great achievements; but my father, who thought ambition was the surest road to ruin, and change but another word for destruction, would listen to no scheme for bettering either my own condition, or that of my fellow mortals. He assured me it was all rubbish, and exhorted me, with his dying breath, to continue in the good old way, to follow his steps, and those of his father before him, and let my highest ambition be to walk honestly through the world, looking neither to the right hand nor to the left, and to transmit the paternal acres to my children in, at least, as flourishing a condition as he left them to me.

The Tenant of Wildfell Hall

Note: Editions of The Tenant that start with: "You must go back with me..." are incomplete. Actual opening line of the novel is: "To J. Halford, Esq. Dear Halford, when we were together last..."L'arrivée de Mrs Helen Graham, la nouvelle locataire du manoir de Wildfell, bouleverse la vie de Gilbert Markham, jeune cultivateur. Qui est cette mystérieuse artiste, qui se dit veuve et vit seule avec son jeune fils ? Quel lourd secret cache-t-elle ? Sa venue alimente les rumeurs des villageois et ne laisse pas Gilbert insensible. Cependant, la famille de ce dernier désapprouve leur union et lui-même commence à douter de Mrs Graham... Quel drame s'obstine-t-elle à lui cacher ? Et pourquoi son voisin, Frederick Lawrence, veille-t-il si jalousement sur elle ?Publié en 1848, La Dame du manoir de Wildfell Hall analyse la place des femmes dans la société victorienne. Considéré comme l'un des tout premiers romans féministes.

La Dame du manoir de Wildfell Hall

HarperCollins is proud to present its new range of best-loved, essential classics.

 'I see that a man cannot give himself up to drinking without being miserable one-half his days and mad the other.'

 When Helen flees from her alcoholic husband in order to protect her son she defies societal convention. Earning a living as an artist, she becomes the mysterious tenant of Wildfell Hall as she hides herself away and uses her art to support her child. However, the beautiful and reclusive young woman soon begins to stir up malicious gossip and speculation. Captivated and drawn to Helen, Gilbert Markham becomes suspicious when he begins to hear these stories, however it is only when he reads Helen's diary that he learns the full cruelty that her husband subjected her to in her previous life.

 Rejecting the societal norms surrounding marriage in Victorian Society, Anne Brontë's novel, said to be based on the experiences of her own brother Branwell, shocked her readers at the time and still remains a scandalous read today.

"The Tenant of Wildfell Hall" is the second and final novel by the English author Anne Brontë. It was first published in 1848 under the pseudonym Acton Bell. Probably the most shocking of the Brontës' novels, it had an instant and phenomenal success, but after Anne's death her sister Charlotte prevented its re-publication.

The novel is framed as a series of letters from Gilbert Markham to his friend and brother-in-law about the events leading to his meeting his wife.

A mysterious young widow arrives at Wildfell Hall, an Elizabethan mansion which has been empty for many years, with her young son and servant. She lives there in strict seclusion under the assumed name Helen Graham and very soon finds herself the victim of local slander. Refusing to believe anything scandalous about her, Gilbert Markham, a young farmer, discovers her dark secrets. In her diary, Helen writes about her husband's physical and moral decline through alcohol, and the world of debauchery and cruelty from which she has fled. This novel of marital betrayal is set within a moral framework tempered by Anne's optimistic belief in universal salvation.

"The Tenant of Wildfell Hall" is mainly considered to be one of the first sustained feminist novels.

May Sinclair, in 1913, said that the slamming of Helen's bedroom door against her husband reverberated throughout Victorian England. In escaping her husband, Helen violates not only social conventions, but also English law.

This collection of the works of Emily, Anne and Charlotte Brontë includes the following novels: Jane Eyre by Charlotte Brontë, published in 1847 Shirley by Charlotte Brontë, published in 1849 Villette by Charlotte Brontë, published in 1853 The Professor by Charlotte Brontë, was published after her death in 1857 Emma by Charlotte Brontë (unfinished), she wrote only 20 pages of the manuscript which was published in 1860. Wuthering Heights by Emily Brontë, published in 1848 Agnes Grey by Anne Brontë, published in 1847 The Tenant of Wildfell Hall by Anne Brontë, published in 1848 The Brontë Sisters (1818-1855), Charlotte, Emily and Anne Brontë were sisters and writers whose novels have become classics. Before writing novels, the sisters first published a volume of poetry in 1846. Many novels of the Charlotte, Emily, and Anne are based on women in Victorian England and the difficulties that they faced like few employment opportunities, dependence on men in the families for support, and social expectations.

Includes : 

[1847] Agnes Grey, by Anne Brontë

[1848] The Tenant of Wildfell Hall, by Anne Brontë

[1847] Jane Eyre, by Charlotte Brontë

[1849] Shirley, by Charlotte Brontë

[1853] Villette, by Charlotte Brontë

[1857] The Professor, by Charlotte Brontë

[1847] Wuthering Heights, by Emily Brontë

THE COMPLETE NOVELS OF THE BRONTË SISTERS (unabridged versions) - Janey Eyre; Shirley; Villette; The Professor; Emma; Wuthering Heights; Agnes Grey; The Tenant of Wildfell Hall

Agnes Grey par Anne Brontë

Agnes Grey est le premier des deux romans de l'écrivain anglais Anne Brontë. Publié en décembre 1847 sous le pseudonyme d'Acton Bell, il paraît en France pour la première fois en 1859. Le roman est fondé sur la propre expérience de l'auteur comme gouvernante, et présente certains rapports stylistiques avec les oeuvres de l'autrice anglaise Jane Austen (1775-1817), plus importants que dans les textes suivants. À l'instar de Jane Eyre, écrit par Charlotte, la soeur d'Anne (publié en octobre 1847), le livre décrit la position précaire des gouvernantes et la façon dont les jeunes femmes exerçant cette profession en sont affectées. Toutes les histoires vraies portent avec elles une instruction, bien que dans quelques unes le trésor soit difficile à trouver, et si mince en quantité, que le noyau sec et ridé ne vaut souvent pas la peine que l'on a eue de casser la noix. Qu'il en soit ainsi ou non de mon histoire, c'est ce dont je ne puis juger avec compétence. Je pense pourtant qu'elle peut être utile à quelques uns, et intéressante pour d'autres mais le public jugera par lui même. Protégée par ma propre obscurité, par le laps des ans et par des noms supposés, je ne crains point d'entreprendre ce récit, et de livrer au public ce que je ne découvrirais pas au plus intime ami. Mon père, membre du clergé dans le nord de l'Angleterre, était justement respecté par tous ceux qui le connaissaient. Dans sa jeunesse, il vivait assez confortablement avec les revenus d'un petit bénéfice et d'une propriété à lui. Ma mère, qui l'épousa contre la volonté de ses amis, était la fille d'un squire et une femme de coeur.

Agnes Grey

La Recluse de Wildfell Hall (titre original : The Tenant of Wildfell Hall. D’autres traductions françaises de ce titre existent, telles que La Locataire de Wildfell Hall, La Châtelaine de Wildfell Hall, La Dame du Manoir de Wildfell, La Dame du Château de Wildfell, etc.) est le second et dernier roman épistolaire d’Anne Brontë. Il raconte l’histoire d’une femme qui quitte son mari abusif et débauché, et doit subvenir elle-même à ses besoins et à ceux de son jeune fils. Publié, à l’origine, en juin 1848, il défie la morale qui prévaut à l’époque ; un critique est allé jusqu’à affirmer qu’il est « totalement inapproprié de le mettre entre les mains de jeunes filles ». Il est considéré comme l’un des premiers romans féministes.

La Dame du Château de Wildfell

Dans un petit village anglais, Agnès Grey contemple avec peine la ruine de sa famille.  Suite à un mauvais investissements, son père sent chaque jour peser sur lui la dépression et la culpabilité. Agnès Grey ne peut plus rester à rien faire. Elle décide du jour au lendemain d'apporter son soutien financier en se faisant gouvernante chez une riche famille.
Folle de joie à l'idée de pouvoir enfin prendre le contrôle de sa vie, Agnès arrive au manoir des Bloomfield armée de confiance et d'énergie. Pourtant bientôt, le cruauté avec laquelle ses maîtres et leurs enfants la traite a peu à peu raison de sa dignité et de sa foi en l'humanité...

Récit d'une femme brave et indépendante face aux tribulations imposées par son rang social, « Agnès Grey » est le roman phare d'Anne Brontë, et un chef-d'oeuvre de la littérature de l'époque victorienne. Anne Brontë s'inspirera de ses propres expériences de gouvernante dans l'Angleterre provinciale du XIXe.



Anne Brontë (1820-1849) est la plus jeune des soeurs Brontë et n'a écrit que deux romans au cours de sa courte mais influente carrière.
Contrairement aux aspirations romantiques de ses soeurs aînées et plus célèbres, Charlotte et Emily, Anne a plutôt imprégné son écriture d'ironie et de sarcasme et était considérée comme la plus radicale des soeurs.
Elle a écrit sur le besoin des femmes de conserver leur indépendance, sous le couvert d'un pseudonyme masculin, Acton Bell. Ses deux romans « Agnès Grey » (1846) et « La Locataire de Wildfell Hall » (1848) ont remis en question les structures sociales et juridiques de la Grande-Bretagne victorienne.

Agnès Grey

Tous les enfants inventent des histoires, et l'on sait le sérieux qu'ils mettent à leurs jeux. Plus rares sont ceux qui transforment les mondes imaginaires nés de ces jeux en univers littéraires patiemment élaborés. Et si cette élaboration est le fait de tous les membres d'une fratrie, il n'y a pas d'erreur possible : il s'agit des Brontë.
Depuis la mort de leur mère et de leurs soeurs aînées, Charlotte, Branwell, Emily et Anne sont cloîtrés au presbytère de Haworth. Seule fenêtre sur l'extérieur, la lecture : la Bible, les classiques, les journaux que reçoit leur père. Le jour où le révérend Brontë offre des soldats de bois à son fils, l'imagination des enfants se met en branle ; chacun s'empare d'un soldat, lui donne l'identité d'un héros (Wellington, Napoléon...), le proclame souverain d'une île. Puis les îles cédent la place à la confédération de Glasstown, qui deviendra Verdopolis, et au royaume d'Angria, sorte d'Afrique rêvée dont Charlotte et Branwell rédigent en alternance la chronique, en vers et en prose. Emily et Anne se consacrent à un autre monde, celui de Gondal et de Gaaldine, dont les seuls vestiges sont des poèmes. Les premiers textes des jeunes écrivains, âgés de dix à quatorze ans, sont marqués par les contes de fées et Les Mille et Une Nuits. Avec l'adolescence, après de nouvelles lectures (Byron, Scott) et sous l'influence de l'actualité, aventures épiques, guerres, intrigues politiques et amoureuses prennent le dessus.
C'est à vingt-trois ans que Charlotte fait, en une page admirable, ses adieux au monde d'Angria. Mais il transparaît encore dans Jane Eyre, écrit sept ans plus tard. Sitôt paru, le roman passe pour « un livre à faire galoper le pouls et battre le coeur et faire venir les larmes aux yeux »  ; Thackeray, l'auteur de La Foire aux vanités, annonce qu'il est l'un des pleureurs. Le succès est immense. Charlotte voulait-elle montrer qu'une héroïne peut être attirante sans être belle ? Jane Eyre, c'est en quelque sorte le vilain petit canard réfugié chez Barbe-Bleue, avec lequel le sombre et séduisant Mr. Rochester a plus d'un point commun. La métamorphose de cette jeune femme passionnée, tiraillée entre les conventions victoriennes et son désir d'être l'égale de l'homme qu'elle aime, est le sujet du livre.
Outre une nouvelle traduction de Jane Eyre, ce volume propose un large choix d'écrits de jeunesse inédits en français. Le recueil de poèmes édité par les trois soeurs en 1846 est traduit pour la première fois dans son intégralité. Le talent de Branwell, longtemps éclipsé, se révèle au travers de la prose et des vers des juvenilia, et des poèmes parus de son vivant dans la presse du Yorkshire.
 
JANE EYRE précédé d'OEUVRES DE JEUNESSE (1826-1847) [2008]. Ce volume contient : Récits et poèmes (1826-1839) de Charlotte et Patrick Branwell Brontë  ; Poèmes (1837-1848) d'Emily Brontë  ; Alexander et Zenobia (1837) d'Anne Brontë  ; Poèmes publiés (1841-1847) de Patrick Branwell Brontë  ; Poèmes (1846) de Charlotte, Emily et Anne Brontë, et Jane Eyre (1847) de Charlotte Brontë.

The Tenant of Wildfell Hall

Résumé

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Critiques

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