Douche Froide Et Coups De Chaleur:  Chroniques Radio

Nouvelles chroniques tele

" Il y a douze ans, je pesais plus de 250 kilos. "

Il y a une douzaine d'années, je pesais plus de 250 kilos. Chaque jour, des crises compulsives de boulimie m'entraînaient vers une mort prochaine à laquelle je m'étais inconsciemment résigné. Aux pires heures de cet enfer, j'ai rencontré un homme, Jean-Michel Cohen, qui est parvenu à stopper cette spirale morbide et m'a aidé à perdre 125 kilos, c'est-à-dire un demi-Carlier.
J'ai tué définitivement le monstre en moi, qui réclamait sans cesse de la nourriture, le jour où j'ai compris qu'avant de dire je t'aime aux autres, je devais d'abord apprendre à m'aimer.
Et même si le combat fut long au point que je suis passé sans m'en rendre compte de " gros " à " vieux ", je ne me suis jamais senti aussi heureux.
G. C.

Dans un texte d'une franchise absolue, Guy Carlier se livre avec l'humour qu'on lui connaît, mais aussi avec une émotion sans fard. Jean-Michel Cohen nous livre son regard sur son amitié avec Guy, mais également ses réflexions de thérapeute sur l'obésité et la boulimie.
Ce livre offre bien plus que l'histoire de l'amitié improbable entre l'obèse le plus célèbre de France et le nutritionniste le plus médiatisé du pays. Il parle de la face sombre de chacun de nous, de nos hontes et de nos solitudes, et de notre quête éperdue de l'amour monstre.

Moins 125

Le dictionnaire des noms propres de Guy Carlier
J'ai changé. Moi aussi. Avant j'étais méchant. Et puis un jour j'ai fait la liste des gens qui me détestaient : Raël, Elizabeth Teissier, Julien Courbet, Charles Villeneuve, Ernst de Hanovre, Patrick Balkany. Que des pointures, des épées, des humanistes.Comment peut-on être méchant avec ce who's who de la qualité et de la dignité humaine ?Plus sérieusement, en entendant un jour Massimo Gargia m'allumer dans une émission, j'ai ressenti comme un vertige. Ainsi donc, mon existence artistique se limiterait aux rancoeurs d'un vieux gigolo adipeux ? Ce jour-là, j'ai décidé de descendre de la bétaillère. Voici le témoignage de ce passé révolu. Méfiez-vous, ça pue le fumier.

Quand j'étais méchant

" Stéphane Paoli, j'ai accepté votre proposition d'assurer une chronique dans le 7-9 lorsque vous m'avez dit : " Et puis surtout, pendant l'année qui vient, avec l'actualité, on va avoir de quoi se marrer.
" Depuis, il y a eu le 11 septembre et le 21 avril. Qu'est-ce qu'on se marre ! Vous allez me dire : Qui aurait pu prévoir que des désespérés à qui des manipulateurs promettent soixante-dix vierges pour l'éternité planteraient des Boeing dans des tours ? Qui aurait pu prévoir que des désespérés à qui des manipulateurs promettent des pavillons Sam'suffit pour l'éternité planteraient le fascisme dans la démocratie ? " (Lettre et ordonnance pour une chiracothérapie, 24 avril 2002) Le plus hilarant mais peut-être aussi le plus juste bilan d'une année riche en surprises, angoisse et émotion.

J'vous ai apporte mes radios lettres et chroniques

"Cruel et tordant" --Gala"Julien Lepers, dans son one-neurone show quotidien, interroge une candidate dotée d'un strabisme effrayant :-- Comment appelle-t-on le défaut de parallélisme des yeux se traduisant par une déviation des orbites ?""On demande au candidat d'un jeu télévisé dans quel département se situe Vichy. Sans héstation il répond :Dans le Célestins !"Et après ça on s'étonne que je vide le frigo !Ce livre rassemble de nouvelles chroniques inédites de Guy Carlier diffusées sur France Inter, ainsi que ses meilleures lettres matinales qui furent diffusées à 7 h 50 dans la trance d'infos.GUY CARLIER, ancien directeur financier, est devenu à la radio l'un des plus redoutables et inspirés chroniqueurs du petit écran, d'abord auprès de Laurent Ruquier en 1995 (sous le pseudonyme de Monsieur Le Tallec) et désormais dans l'émission de Stéphane Bern, "Le fou du roi". Il sévissait également dans « Inter Matin » de Stéphane Paoli sur France Inter, avec une fameuse lettre adressée à une personnalité. Après Splendeurs et misères du petit écran (2000, Hors Collection), Guy Carlier publia chez le même éditeur en février 2002 des Chroniques télé et lettres matinales très attendues.

Douche Froide Et Coups De Chaleur: Chroniques Radio

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