Je promene les mots

Structures linguistiques et interactionnelles dans le français parlé - Actes du colloque international, Université de Copenhague, du 22 au 23 juin 2001

Ce livre, fruit d'un colloque international, rend justice à l'un des meilleurs philosophes de sa génération, Gilbert Simondon (1924-1989). Professeur à la Sorbonne, fondateur du Laboratoire de psychologie générale et de technologie, il est demeuré méconnu malgré le grand retentissement d'un livre qui fit date : Du mode d'existence des objets techniques (1958) et la publication partielle de sa thèse, L'Individu et sa genèse physico-biologique, en 1964 aux Presses Universitaires de France. Bon connaisseur des sciences physiques et biologiques, lui-même technicien, Gilbert Simondon a toujours refusé le conflit entre technique et culture ; il a tenté de penser ensemble le biologique, le psychologique et le technologique. Cet ouvrage, auquel ont contribué entre autres Gilbert Hottois, François Laruelle, Jean-François Marquet et René Thom, s'emploie à rendre compte de la richesse d'une réflexion et d'un système de pensée "nécessaires pour notre temps" selon les termes d'Hubert Curien.

Gilbert Simondon - Une pensée de l'individuation et de la technique

Le bouillon est une base en gastronomie. Il remplace l'eau pour les sauces et les soupes ; on le fait réduire pour obtenir un fond -véritable concentré de saveurs. Allié culinaire incontournable, il relève à merveille les plats de viande ou de poisson, sublime un simple plat de riz ou de pâtes. Le succès du bouillon cube, depuis qu'il existe, ne s'est jamais démenti. Variété des goûts et simplicité d'utilisation expliquent son succès. Dans ce livre, 50 recettes pour découvrir tout son potentiel : soupes, cakes, gratins, plats mijotés, sauces...

Je cuisine simple & créatif : avec les ingrédients magiques ; lait de coco, sauce tomate, jus de citron

Sous la direction de Robert Scholtus, écrivain et théologien, prêtre du diocèse de Metz (parmi ses récents ouvrages : Une saison dans les limbes, Bayard, 2010 et Promesse d'une ville, Arléa, 2012). 
 
Ces Cinq éloges de la rencontre, issus des conférences de Carême qui auront lieu en 2015 à Metz, sont l'occasion de faire dialoguer ensemble : 
 
Un croyant et un incroyant. Avec Claude Dagens, évêque d'Angoulême, et membre de l'Académie française (Catholiques de France, réveillons-nous ! Bayard, 2012) et Julia Kristeva, écrivaine et psychanalyste (Cet incroyable besoin de croire, Bayard, 2007 ; Pulsion du temps, Fayard, 2013) Un chrétien et un musulman, avec les écrivains Alexis Jenni (L'Art français de la guerre, Gallimard, 2011 ; Son Visage et le tien, Albin Michel, 2014) et Karima Berger (Les Attentives. Un dialogue avec Etty Hillesum, Albin Michel, 2014) Un chrétien et un juif avec Jean Duchesne, ancien professeur de classes préparatoires et membre de l'Observatoire Foi et Culture (Retrouver le mystère, DDB, 2004) et Dan Arbib, philosophe (La Lucidité de l'éthique. Études sur Levinas, Hermann, 2014) Un chrétien et un bouddhiste avec Dennis Gira, théologien, spécialiste du bouddhisme (Le bouddhisme en 50 clés, Bayard, 2009) et Éric Rommeluère, enseignant bouddhiste (Le bouddhisme n'existe pas, Le Seuil, 2011) Un catholique et un protestant avec Michel Deneken professeur à la faculté de théologie catholique de l'université de Strasbourg et Élisabeth Parmentier, professeur à la faculté protestante de théologie de Strasbourg.

Cinq éloges de la rencontre

La conscience déniée aux animaux.
Les avancées de la science contredisent radicalement la conception cartésienne de "l'animalmachine" ou le statut moderne de "res nullus" ou de "bien meuble". Mais tandis que les preuves d'une continuité cognitive entre l'humain et l'animal s'accumulent, le sens commun continue de tenir les animaux pour des êtres sans conscience. Il est vrai que ce négationnisme sert de nombreux intérêts. Sommes-nous prêts à élargir aux animaux notre considération ?
Cette question en pose de nombreuses autres : peut-on comparer la diversité biologique de la nature aux société pluralistes ? Y a-t-il vraiment un propre de l'homme ? L'instinct est-il une notion idéologique pour nier toute conscience à ceux qui les plus forts préfèrent asservir, comme ce fut souvent le cas dans le passé avec les notions de race inférieure ou de sexe faible? La "raison" n'est-elle pas ce qui a permis aux humains de détruire et d'asservir ? Qu'en est-il de l'anthropomorphisme ?
La Raison des plus forts est une occasion de s'interroger sur des sujets brûlants qui nous mettent en cause profondément. C'est un des sujets actuels les plus polémiques, et qui ne peut lasser personne indifférent.

Tel était le sujet du colloque organisé le 14 novembre 2009 à l'université Paris V René-Descartes par les associations Droits des animaux et Tribune animale (Science-Po Paris) dont cet ouvrage rend compte.
11 universitaires, chercheurs, philosophes, juristes, économistes et militants français et étrangers y ont contribué : Mac Bekoff, Yves Bonnardel, David Chauvet, Elisabeth Hardouin-Fugier, Pierre Jouventin, Olivier Lebot, Irène Peppersberg, Estiva Reus, Enrique Utria, Maxime Sheets-Johnstone , Jean-Claude Wolf.

Je promene les mots

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