"C'était la technique de combat des loups : frapper et reculer d'un bond. Mais ce ne fut pas tout. Trente ou quarante huskies accoururent sur les lieux et formèrent autour des combattants un cercle attentif et silencieux."Un grand classique de la littérature, magnifiquement illustré !

L'appel de la forêt

La force des forts de Jack London est une nouvelle qui à travers le récit de Barbe-en-long retrace l'histoire de la naissance d'une tribu, de son apogée jusqu'a sa chute.

Valant tous les textes les plus lénifiants qui ont pu être écrits en eco-po, cette parabole explique les mécanismes qui amenèrent à la division de la société en classes, à la création de l'état et des forces répressives. Abordable même pour les tout petits, en une dizaine de pages vous en apprendrez autant qu'en lisant La conception matérialiste de l'histoire de G. Plekhanov ou encore L'origine de la famille, de la propriété privée et de l'Etat de F. Engels.

Suivi de : Le rêve de Debs, où Jack London exprime en un style direct et avec humour (ce qui ne gâche rien !) son dégoût des possédants et son adhésion au socialisme.

Format professionnel électronique © Ink Book édition.

La Force des Forts, suivie de Le rêve de Debs [édition intégrale revue et mise à jour]

Dans le Grand Nord sauvage et glacé, un jeune loup apprend à lutter pour la vie. Les premiers hommes qu'il rencontre, des Indiens, le baptisent Croc-Blanc. Auprès d'eux, il connaît la chaleur du feu de camp, mais aussi le goût du sang. Racheté par un Blanc cupide, il est dressé pour le combat et découvre la haine. Un homme pourtant le sauve de cet enfer. Croc-Blanc lui vouera un amour exclusif. Une amitié exceptionnelle rendue inoubliable par le talent de Jack London.

Croc-Blanc

On every hand stretched the forest primeval, -the home of noisy comedy and silent tragedy. Here the struggle for survival continued to wage with all its ancient brutality. Briton and Russian were still to overlap in the Land of the Rainbow's End-and this was the very heart of it-nor had Yankee gold yet purchased its vast domain. The wolf-pack still clung to the flank of the cariboo-herd, singling out the weak and the big with calf, and pulling them down as remorselessly as were it a thousand, thousand generations into the past. The sparse aborigines still acknowledged the rule of their chiefs and medicine men, drove out bad spirits, burned their witches, fought their neighbors, and ate their enemies with a relish which spoke well of their bellies. But it was at the moment when the stone age was drawing to a close. Already, over unknown trails and chartless wildernesses, were the harbingers of the steel arriving, -fair-faced, blue-eyed, indomitable men, incarnations of the unrest of their race. By accident or design, single-handed and in twos and threes, they came from no one knew whither, and fought, or died, or passed on, no one knew whence. The priests raged against them, the chiefs called forth their fighting men, and stone clashed with steel; but to little purpose. Like water seeping from some mighty reservoir, they trickled through the dark forests and mountain passes, threading the highways in bark canoes, or with their moccasined feet breaking trail for the wolf-dogs. They came of a great breed, and their mothers were many; but the fur-clad denizens of the Northland had this yet to learn. So many an unsung wanderer fought his last and died under the cold fire of the aurora, as did his brothers in burning sands and reeking jungles, and as they shall continue to do till in the fulness of time the destiny of their race be achieved.

Tales of the Klondyke

The Call of the Wild

White Fang 

The Iron Heel

The Sea-Wolf

Martin Eden 

"Buck did not read the newspapers, or he would have known that trouble was brewing, not alone for himself, but for every tide-water dog, strong of muscle and with warm, long hair, from Puget Sound to San Diego. Because men, groping in the Arctic darkness, had found a yellow metal, and because steamship and transportation companies were booming the find, thousands of men were rushing into the Northland. These men wanted dogs, and the dogs they wanted were heavy dogs, with strong muscles by which to toil, and furry coats to protect them from the frost. "

Jack London Collection

Sämtliche in der Klassiker-Reihe der ofd edition veröffentlichten Werke wurden aufwendig neu editiert und der aktuellen Rechtschreibung angepasst. Die bessere Lesbarkeit und übersichtlichere Gestaltung verhelfen zu einem ungetrübten Lesegenuss und zu einem deutlich besseren inhaltlichen Verständnis. Übersetzungen von Originaltexten wurden komplett überarbeitet, gegebenenfalls dem Ursprungstext angepasst und um fehlende Passagen ergänzt.

Unter dem Eindruck einer mehr als zweijährigen Weltreise, die Jack London mit seiner Yacht "Snark" unternommen hatte, schrieb er eine Reihe von Romanen und Erzählungen, die von Abenteuern in der Südsee handeln. Ein zentrales Thema ist dabei häufig das Aufeinandertreffen Eingeborener mit weißen Männern. Im Jahr 1911 wurden acht dieser Geschichten, in denen es mal um Feindschaft, mal um Freundschaft geht, in dem Sammelband "Südsee-Geschichten" erstmals veröffentlicht. Hier finden sie eine deutsche Fassung der Texte, basierend auf der Übersetzung von Erwin Magnus.

Die Südsee-Geschichten - Neu bearbeitete Ausgabe (Klassiker der ofd edition)

Automne 1897. De la Californie au Klondike, la fièvre de l'or se répand comme une traînée de poudre.Arraché à sa vie paisible d'animal domestique, le chien Buck doit apprendre la dure condition des chiens de traîneau du Grand Nord. Jusqu'au jour où, pour la première fois, résonne en lui l'Appel de la forêt.

L'Appel de la forêt

1902 - London, déguisé en clochard, se perd pendant trois mois dans les bas-fonds de Londres, et en rapporte ce témoignage terrifiant. Loin des avenues de l'aventure, mais au plus près des réalités d'un siècle qui, décidément, commençait sous de bien sinistres couleurs. La collection " Libretto " accueille ici la publication - pour la première fois dans des traductions entièrement revues et complétées - de l'essentiel de l'œuvre de Jack London. Où l'on découvrira enfin le vrai visage d'un écrivain qui reste, mieux que jamais, à la source de notre modernité.

Le Peuple d'en bas

Le Mexicain retrace la passion révolutionnaire de Felipe Rivera au service du soulèvement contre le général Porfirio Diaz, aux débuts de la révolution mexicaine de 1910. Jeune homme taciturne au visage inexpressif, Rivera a le regard qui s'enflamme au seul mot de "révolution". Prêt à tout pour apporter des fonds à la cause révolutionnaire, il s'engage volontairement dans un combat de boxe inégal, où seul le souvenir des exploités, des ouvriers misérables qu'il a connus à Rio Blanco, lui fournit le courage nécessaire. London, qui fut boxeur amateur, donne à la chronique du combat le ton d'une retransmission radiophonique palpitante.

L'appel de la forêt

Résumé

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