Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Le messager du roi Henri

Pascaline et la favorite

Lucien Cassagne est un irrépressible bavard qui ne laisse aucun répit aux voyageurs présents dans le même wagon du Toulouse-Marseille. Six personnes forcées de subir la logorrhée verbale du sieur Cassagne qui leur conte ses mésaventures en Inde durant lesquelles il s'est fait arracher le pied gauche par un tigre.

Mais Lucien Cassagne aime aussi les conversations autour de la mort, il n'est pas un fan de romans policiers pour rien.

D'ailleurs, il clame à qui veut l'entendre que ce compartiment où il se trouve constituerait une idéale scène de crime, d'autant que, dans quelques minutes, le train va passer sous un tunnel. Et Lucien Cassagne est un bon visionnaire, car, à la sortie du boyau, un cadavre gît dans son sang, un poignard planté dans le cour... Lucien Cassagne lui-même.

Le commissaire Maughlin est chargé de l'enquête et auditionne chacun des suspects. Parmi eux, Claude Postel, un étudiant en médecine, décide de mener sa propre investigation pour découvrir le meurtrier de L'Homme sans pied gauche...

L'homme sans pied gauche

Chob, être-force, plane dans les espaces infinis. Et Chob a faim. Il a stupidement épuisé son réservoir d'énergie vivante. Déjà, sa faiblesse est telle qu'il ne saurait passer d'une galaxie dans une autre... Survient un engin interplanétaire, qui renferme des êtres-matière assimilables. Ces êtres viennent d'une Terre peuplée par deux milliards d'individus semblables. Chob les suivra jusqu'à leur planète, malgré l'intervention d'un second être-force protecteur. Et Mickey Robson et sa fiancée Selma pourront bien tenter de vaincre Chob ! Épouvante : nul ne peut détruire l'être-force. Sur la Terre ravagée s'abattront les bombardiers de la Confédération américaine, jusqu'à l'instant où interviendra la Basiline, cette force inconnue... Mais vaincra-t-elle le....

Le Titan de l'espace

Nous foncions dans l'espace, droit vers Deneb. Les radars nous avaient certainement repérés, mais des heures couleraient, avant que l'on se lance à notre poursuite, car tous les astronefs du camp, comme nous, filaient au hasard, pour échapper à l'incendie. Elna, derrière moi, commença à rire, d'un rire nerveux et saccadé.

Le messager du roi Henri

Résumé

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