De profundis (Les Eaux de Mortelune #9)

Arrivés dans l'univers paradisiaque dont ils rêvaient depuis le début de leurs aventures, les héros des Eaux de Mortelune déchantent rapidement. Plus leurs pensées sont négatives, plus le monde qui les entoure se désagrège. Le Prince Jérôme, Goliath, Alfred le pingouin-robot, et Barnabé transformé en ptérodactyle restent les seuls survivants. Isolés tant dans l'espace que dans le temps, nos héros doivent trouver des repères pour espérer une quelconque issue. Pour tenter de trouver une solution, le Prince Jérôme part à la rencontre de la grande horloge et de son gardien, régisseur du temps universel. Vont-ils pouvoir remettre de l'ordre dans ce cataclysme général ? Vont-ils parvenir à découvrir un monde meilleur ? 
 
Le second cycle des Eaux de Mortelune s'achève définitivement avec ce dixième tome. Patrick Cothias jongle toujours avec la poésie et la violence, alors que Philippe Adamov, au sommet de son art, exploite toute la puissance de son superbe dessin. Une série de référence, absolument incontournable.

Les eaux de Mortelune Tome 10 ; la recherche du temps perdu

Les Martiens vont envahir la Terre, savez-vous ? - Encore ? !... - Eh oui, c'est qu'ils sont si nombreux ! Il y a ceux de Wells et ceux de Bradbury, le petit marrant d'Oscar Friend et les saints de Lewis, l'adorable Trrrouil de Stanley Weinbaum et les horreurs de Statten. Alors, hein ? pourquoi pas... Mais c'est une autre histoire qui vaut bien deux heures de lecture : une fusée place de la Concorde, des ministres et des diplomates, une jeune fille et un jeune ours, une guerre ÉPOUVANTABLE exactement, une DRÔLE guerre des mondes, et maintenant... EN AVANT MARS !...

En avant, Mars ! - 1951

L'Échiquier du rat (Les Eaux de Mortelune #1)

Dans une Afrique futuriste, un consortium exploite à outrance les ressources du continent. Et quand Dayak découvre que l'homme qui dirige cet empire technologique n'est autre que son propre frère, la lutte prend une dimension fascinante. Dayak possède l'énergie et la force des meilleures sagas de S.F. et confirme le talent visionnaire du dessin d'Adamov, qui signe là son premier scénario.

Ghetto 9 (Dayak #1)

Une fois la ville-mère détruite, implosée, Dayak a réussi à échapper aux intercepteurs.En compagnie de son fidèle P'tit Caille, le voilà au coeur du désert, prêt à se fondre dans cet univers inhospitalier, mais toujours suivi, à quelque distance, par son frère Simon, plus que jamais décidé à le rattraper.Or le Grand Désert est aussi le domaine des Zaks, les hommes-masques aux yeux sanguins. N'est-ce qu'un peuple de légende, où sont-ils vraiment là, cachés dans un dédale de galeries souterraines labyrinthiques ?Dayak ne tardera pas à être fixé . Bientôt résonneront les tambours des traditions humaines les plus anciennes, et les ombres démesurées des silhouettes primitives viendront s'allonger auprès de lui.Grâce à leur intervention, Dayak parviendra à triompher définitivement de son frère, si tant est que la mort, pour les gens de son espèce, soit vraiment une fin...Alors, qui sont au juste ces Zacks qui s'expriment en ces lieux désertiques ?Et si Dayak, d'une certaine façon, finissait par devenir l'un des leurs ?...

Zaks (Dayak #3)

La Mort de Nicolas (Les Eaux de Mortelune #8)

La Recherche du temps perdu (Les Eaux de Mortelune #10)

Dans un Paris futuriste et dévasté par la folie des hommes, s'agite une cour hybride et dégénérée autour du Prince de Mortelune. L'eau a quasiment disparu de la surface de la Terre et est devenu l'objet de toutes les convoitises et de tous les affrontements. Dans cette société mise à feu et à sang, les personnages errent à la recherche d'un salut inespéré. Le trait brillant d'Adamov et l'imagination fertile de Cothias font de ces deux cycles d'aventure une oeuvre magnifique.

De profundis (Les Eaux de Mortelune #9)

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