The story of Jack and the beanstalk in French.

Jacques et le Haricot magique

Mentioned in New York Review of Books, April 7, 2016, article by Luc Sante, "On 'Paris Vagabond'". Vagabond Paris led directly to the publication by Denoël of two other books written by friends of Clébert: Jacques Yonnet’s Rue des Maléfices (1954; originally entitled Enchantements sur Paris; in English translation as Paris Noir), a dizzying chronicle of occult forces along the clochard corridor on the Left Bank during the Occupation; and Robert Giraud’s Le Vin des rues (1955), an affecting survey of clochard life in Paris. The three books are often considered together as a trilogy, a record of the fragile and impoverished but nonetheless incandescent postwar years.

Le vin des rues

Trois contes malicieux à écouter avec les tout-petits : Le chaton désobéissant ; Le petit lapin malin ; Le petit éléphant têtu.

3 contes du Père Castor pour les petits dégourdis

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

La saison mentale

Dans ce recueil paru en 1955, le journaliste et écrivain évoque un Paris insolite, aujourd'hui disparu. Le vin des rues raconte le Paris des Halles, de Mouffetard, de Maubert, des quais de Seine, de la nuit et des bistrots. C'est le monde de Doisneau, à qui ce livre est dédié, celui de Carné et de Prévert. C'est le monde des petits métiers, des sans-toits, des sans travail... Toute une communauté de la nuit et des bistrots où la parole et le vin donnent l'illusion d'être moins seul : "La nuit est un village à cancans, parfois, tous les rades pour les traînards pourraient s'appeler le Café du commerce ou des Voyageurs. On s'y retrouve autour d'un verre pour discuter, ce qui ne fait de mal à personne."

Le Vin des rues

Recueil de reportages (parus dans Franc tireur, France observateur ...) dans lequel Bob Giraud fait revivre le Paris d'après-guerre. Un Paris outragé, martyrisé, libéré, un « débarcadère des volontés » dont les Halles étaient le cour. Croquis, anecdotes et tableaux d'une capitale populaire aujourd'hui disparue.

Paris, mon pote

Flâneur méthodique, Robert Giraud peaufine son errance. Il passe Paris à gué, zinc après zinc, dans tous les sens. Par instants, dans le gris flux du propos courant, il entend scintiller l'eau d'un mot exquisément verdoyant. Des échantillons ? Pour la Faune, voici l'arche : l'abeille, l'ablette, l'anchois, l'âne, l'anguille... D'autres encore volent ou rampent, marchent ou sautent et renvoient au secret des dames, à l'ardeur des messieurs, aux manigances de tout le monde. Pour la Flore, c'est un herbier verbal : l'acajou, l'ail, l'amande, l'asperge, etc., de quoi s'entre-jardiner jusqu'au soir, et pour les mêmes raisons.

Faune et flore argotiques

Ce conte de la tradition malgache, à travers l'histoire du triste roi de Madagascar qui ne s'intéresse qu'à l'or, aborde le thème de la valeur et de la richesse des traditions.

Le plus beau des trésors

Giraud vous raconte des histoires sur le ton d'une simple conversation, exactement comme si vous étiez avec lui au comptoir devant un bon beaujolais Chez Fraysse ou bien Chez Paulo qui verse l'Algérie dans des demis. (...) En traînant la savate sur les quais, en reniflant l'odeur de céleri des Halles, en perdant ses nuits dans les bistrots de Maubert, Giraud peut vous raconter un Paris que vous ne pouvez pas connaître. Mais ne vous y trompez pas, Giraud n'est pas un montreur de monstres. L'essentiel, le merveilleux de ce livre, c'est que des acteurs écorchés par la nuit jouent sur des motifs vieux comme le beau monde : l'amour, l'argent, l'honneur. Il y a là-dedans un monde fou qui rêve tout haut ; et savez-vous que tout cela est vrai ? Un personnage principal : le vin qui coule dans tous les figurants et surtout, sérum de vérité, qui délie les langues. Robert Doisneau, dédicataire du Vin des rues, évoque ainsi son complice dans la préface à ce livre. Ensemble ces deux-là, baptisés « la paire de Robert » par des esprits facétieux, ont exploré ce Paris inconnu et aujourd'hui disparu. Nul mieux que Doisneau ne pouvait présenter ce fleuron de la littérature parisienne des souvenirs et de l'amitié. Le Vin des rues a paru pour la première fois en 1955 aux éditions Denoël, amputé du chapitre Carrefour Buci (publié par Le Dilettante en 1987), qui retrouve sa place légitime dans la présente édition.

Précédé de : Robert Doisneau

Jacques et le Haricot magique

Résumé

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Critiques

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