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« Le journal d´une femme de chambre » suivi de « Le jardin des supplices » [édition intégrale revue et mise à jour] | Octave Mirbeau
« Le journal d´une femme de chambre » suivi de « Le jardin des supplices » [édition intégrale revue et mise à jour] | Octave Mirbeau

« Le journal d´une femme de chambre » suivi de « Le jardin des supplices » [édition intégrale revue et mise à jour]

Publié par Ink book, le 13 avril 2015

Résumé

Octave Mirbeau parle d'abord à notre époque faite en trop grande partie de violences, de racismes, de sexualités déviantes, de folies aussi et son oeuvre s'avère être de l'ordre de celles que le temps épargne et qui révèlent toujours par leurs génies littéraires un moyen de pénétrer l'âme humaine dans ce qu'elle a de plus monstrueux comme de plus pervers. Sont réunis pour la première fois deux chefs-d'oeuvre du maître du subversif dans leurs versions intégrales : Livre I : « Le journal d'une femme de chambre » Le 14 septembre 1898, Célestine prend sa nouvelle place au Mesnil-Roy, en Normandie, et décide de tenir son journal. « Mon intention, écrit-elle, est de n'employer aucune réticence, pas plus vis-à-vis de moi-même que vis-à-vis des autres » : les turpitudes de ses maîtres seront donc forcément montrées. Un roman intemporel où l'ironie, le quotidien, le suspens, le sexe, l'émotion, l'arrivisme, l'ambition et tous les sentiments divers humains se mêlent dans une même harmonie jubilatoire, sans moralisme apparent et dans cette volonté d'esthétiser ce qu'il y a derrière le rideau, ce qu'on ne veut jamais voir, ce monstre qui se cache parfois en chacun de nous. Ce roman fit l'objet d'une adaptation fidèle à l'esprit de Mirbeau par le grand artiste espagnol Luis Buñuel en 1962, avec Jeanne Moreau dans le rôle de Célestine et Michel Piccoli dans le rôle du fils Montaigne. Livre II : « Le jardin des supplices » Célèbre ouvrage, à la réputation sulfureuse, regardé comme une oeuvre érotique ou nettement pornographique [...] « ces pages de Meurtre et de Sang » volontairement équivoques, se montrent également virulentes à l'endroit des milieux politiques et des crimes du colonialisme : « Nous sommes toujours les même sauvages, les mêmes ennemis de la Beauté ». - Lorenz, XV-391 ; Talvart et Place, XV-251. Nouv. éd. revue et mise à jour [Format professionnel électronique © Ink Book édition]

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