Le Coq qui voulait nager

Pourquoi nos petits défauts portent-ils souvent des noms d'oiseaux ? On les trouve pourtant mignons ces gentils volatiles qui égaient nos jardins. On attend toujours avec impatience la petite hirondelle qui annonce le printemps. Et parfois même on rêve, nous aussi, de prendre notre envol. Alors pourquoi ? La réponse vous la trouverez peut-être, dans ces quatre petites fables pleines d'humour et de poésie.Textes de Philippe Barbeau, Jean-Yves Le Guen et Thomas Scotto. Illustrations de Christelle Le Guen.

Tête de linotte et autres petites fables emplumées

Il y a les vieux taxis sans histoire, et il y a les tacots historiques qui ont beaucoup à raconter. C'est le cas de Fanfan, un antique véhicule rouge à roues jaunes et capote noire, remisé au fond d'une grange depuis des années. Réanimé par Emma et Antonin sous la bâche où il mourait lentement, Fanfan va tout leur dire du moment-clé de son existence mécanique : il a été un héros de la Grande Guerre, l'un des célèbres taxis de la Marne.

Souvenirs cachés d'un taxi de la Marne

Emma et Antonin se promènent sur les hauteurs de Verdun avec leurs grands-parents. Après avoir visité le cimetière et l'ossuaire, les enfants se rendent au fort de Douaumont qui domine le champ de bataille de Verdun. Alors qu'ils achèvent leur visite, les murs du fort se mettent à parler et les invitent à entrer dans une pièce habituellement fermée au public, le logement des officiers. Là, le fort leur raconte la bataille de Verdun, en 1916, bataille dont il fut un des lieux et symboles de combats. Le fort leur raconte les bombardements monstrueux, la ruée allemande et le sacrifice des poilus. Il dit la fureur des combats et la tension extrême dans les deux camps. Il se désole des souffrances endurées et de sa prise par les Allemands, le 25 février. Le fort leur raconte aussi comment les Français ont réussi à le reprendre le 24 octobre. Enfin, il rend hommage aux soldats qui ont participé à cette monstrueuse bataille.

Douaumont, fort de guerre - 21 février - 19 décembre 1916 : la bataille de Verdun

Course-poursuite dans les rues de Jakarta... Maulana vit à Jakarta, en Indonésie. Installé dans un coin discret, au fond d'un restaurant, il déguste une glace quand son attention est happée par une étrange transaction. A la table voisine, deux gangsters s'offrent les services d'un policier véreux. Le montant du contrat est tellement énorme que Maulana s'effondre de sa chaise, et les gangsters... fondent sur lui !

Peur à Jakarta - Occasion

Le Bijou disparu : 480 avant J.-C., alors qu'elle sort de la rivière où elle vient de se baigner, Kania se rend compte que le précieux bijou qu'elle avait posé sur sa robe a disparu ! La fillette ne se laisse pourtant pas abattre, et décide de mener l'enquête pour retrouver son trésor. Grâce à son ami Edan, cette aventure l'emmènera dans des endroits insoupçonnés... Menace sur l'oppidum : 68 avant J.-C., Dannotali surprend une conversation près de Vesontio, l'oppidum des Séquanes. Une femme donne à un homme un étrange rendez-vous nocturne. Trahit-elle son peuple ? Complote-t-elle pour livrer la place forte aux Eduens, les ennemis d'alors ? Bravant le danger, Dannotali file l'inquiétante femme et va de surprise en surprise...

Le Bijou disparu - Suivi de Menace sur l'oppidum

En route pour chambord, le 16 octobre 1670 ! sara et fabio vont retrouver molière, la deuxième fois qu'il joue le bourgeois gentilhomme devant le roi louis xiv.
 Ils découvrent que molière n'a pas que des amis à la cour. des jaloux veulent le mettre en danger. sara et fabio parviendront-ils à l'aider ?

Les enquêteurs du net ; mystère à la cour de Louis XIV

Qui a volé le cahier de doléances ? : Mars 1789, c'est la panique à la maison des Garnier : le cahier de doléances de la paroisse a disparu ! Bien décidée à aider son père, qui doit le transmettre en vue des états généraux, Antoinette entreprend de mener l'enquête. Puisque le cahier n'a pas pu se volatiliser, il a surement été volé... Mais qui donc aurait intérêt à garder secrètes les réclamations des villageois ? L'homme qui criait : Octobre 1831, à Arbois, petite ville du Jura, Louis n'est pas tranquille. Alors qu'il se rendait au collège avec son ami Jules, il a entendu d'épouvantables cris de douleur, à faire dresser les cheveux sur la tête. Si ce n'est pas une bête, alors qui donc a pu crier de la sorte ? II s'est passé quelque chose, Louis en est sûr...

Le Coq qui voulait nager

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