Et si un jour nous devenions les parents de nos parents ? Si irrémédiablement, les rôles s'inversaient avec le temps ? Avec justesse et sensibilité, tendresse et humour, Christine Orban nous raconte une histoire qui forcément nous rappelle quelque chose de nos vies.

Le Pays de l'absence

Ma mère disait : « N'oublie pas ton chapeau. » Mon père disait : « N'oublie pas d'être heureuse ». J'entends encore leurs voix portées par une conviction si simple qu'elles n'appelaient aucun commentaire. Comme s'ils pressentaient à quels dangers je pourrais m'exposer...

Dans ce roman très singulier où l'on passe des lieux d'enfance, de lumière, de rêves et de liberté au monde très codé et fermé des adultes, Christine Orban touche avec humour, limpidité et mélancolie à l'essentiel de toute vie.

N'oublie pas d'être heureuse

Dans un bar, un homme regarde une femme.Ses yeux se promènent le long de ses jambes, qu'il caresse de bas en haut.Tous les soirs, elle reviendra l'attendre.

L'attente

" Je me suis entendue prononcer ces mots de manière désincarnée, comme si c'était une autre qui parlait. Pas moi. Pas ma sœur. Une autre. Et pourtant je dois me répéter l'horrible vérité pour l'admettre : Ma sœur est morte. "
Un récit poignant, tout imprégné des parfums du Maroc, de la gaieté des années d'enfance, du charme insouciant de l'adolescence, d'une tendresse infinie à jamais présente, pour conjurer le sort, pour repousser l'inéluctable, pour ne jamais oublier.

L'âme soeur

"Creation au Theatre national de Nice, janvier 2010"--P. [87].

Le Collectionneur

Ma mère disait :  « N'oublie pas ton chapeau. »Mon père disait :  « N'oublie pas d'être heureuse. » J'entends encore leurs voix portées par une conviction si simple qu'elles n'appelaient aucun commentaire. Comme s'ils pressentaient à quels dangers je pourrais m'exposer ...Dans ce roman très singulier où l'on passe des lieux d'enfance, de lumière, de rêves et de liberté au monde très codé et fermé des adultes, Christine Orban touche avec humour, limpidité et mélancolie à l'essentiel de toute vie.

Les dimanches ne sont pas des jours comme les autres.
  Surtout quand une jeune femme retrouve la lettre perdue de l'homme qu'elle a aimé, dix ans auparavant.
  Se débarrasse-t-on jamais des histoires inachevées ?

La mélancolie du dimanche

" Il s'agit d'une pièce unique au monde. Une pièce qu'aucun collectionneur, même dans ses rêves les plus fous, n'aurait espéré rencontrer une fois dans sa vie, et encore moins posséder." L'apparition de cette prodigieuse monnaie va entraîner deux hommes qu'animent une passion et un sens de l'honneur hors du commun dans un affrontement sans concessions et provoquer un effroi insondable proche de la malédiction. Un huis clos plein de mystère, de raffinement et de rebondissements.

C'est avant tout la personne, et non le personnage de Marie-Antoinette, que Christine Orban nous raconte. La petite Antoine, enfant de quatorze ans, qui perd sa liberté pour gagner un statut de reine dont elle ne sait que faire. Celle dont la Cour épie et interprète le moindre geste, celle sur qui repose la responsabilité d'amener Louis ?XVI à lui faire un enfant, et qui doit accepter le regard de tous sur chaque instant volé à son intimité... Charmer, s'égarer et mourir nous offre un nouveau regard, sensible et humain sur l'une des femmes à la fois les plus admirées et haïes de l'histoire.

Le Pays de l'absence

Résumé

Plus de livres de Christine Orban

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques