Faut-il tuer hitler ?

Le bébé du Sicilien, Carol Marinelli  Une outrageuse proposition, Cathy Williams  Mystérieuse Eleni, Natalie Anderson  L'instrument d'une vengeance, Maya Blake  Un héritier scandaleux, Angela BissellAmoureuse malgré tout, Lucy MonroePrisonnière du roi, Lynne GrahamUne secrétaire en robe blanche, Jane PorterL'honneur d'Adir, Tara PammiUne si douce parenthèse, Miranda LeeChantage pour une princesse, Annie West - Roman réédité  L'offre imprévue d'un milliardaire, Lindsay Armstrong - Roman réédité

11 romans Azur + 1 gratuit (n°4070 à 4080 - Avril 2019)

Coquines ou sages, couvertes ou dénudées, les jambes des femmes symbolisent l'essence même de la féminité et de la séduction. Du pied, avec tout le fétichisme attaché à la chaussure à talon, au galbe du mollet souligné par la couture du bas, en passant par la gracieuse cheville, longtemps considérée comme des plus érotique, les jambes des femmes se dévoilent dans toute leur beauté, leur nudité et leur sophistication à travers une magnifique sélection de photos de l'agence Roger-Viollet. Femmes fatales, mannequins, danseuses, sportives ou femmes de tous les jours, ces photos retracent également en filigrane l'évolution de la condition de la femme, qui n'hésite plus à montrer ses jambes au fur et à mesure qu'elle se libère des carcans sociaux et moraux. Un thème intemporel pour un ouvrage unique. Et toujours des commentaires bilingues français-anglais.

Les jambes des femmes en photos

La pop culture regorge de personnages hauts en couleur. Les figures féminines ne font pas exception dans toutes les oeuvres les plus fameuses.
  
Plus de 70 portraits d'héroïnes sont rassemblés ici, explorant tous les médias, du cinéma à la bande dessinée, sans oublier la littérature, les jeux vidéo ou encore les séries télévisées. Wonder Woman, Lara Croft, Hermione Granger, Emma Peel et bien d'autres ont été analysés et décryptées par un pool d'auteurs et d'illustratrices exclusivement féminin.
  
Robot, princesse, guerrière ou tueuse en série, l'héroïne est polymorphe. Elle brille par son charisme, son histoire, ses talents, parfois par sa beauté. Elle est n'est plus faire-valoir : elle est désormais un personnage à part entière, qui transmet un message fort, une icône du girl power et de l'émancipation féminine.

Héroïnes

" Je suis un peintre qui vient de l'imprimerie" et "Cobra, c'est mon école" : ces deux phrases prononcées par Pierre Alechinsky ne peuvent manquer d'être rappelées quand il s'agit d'évoquer le parcours de ce peintre internationalement connu, né à Bruxelles en 1927 et dont l'oeuvre imprimé compte plus de deux mille images gravées ou lithographiées, isolées ou dans des livres, réalisées entre 1946 et 2005.
Sa formation à La Cambre, l'Ecole nationale supérieure d'architecture et des arts décoratifs de Bruxelles, l'amena à étudier la typographie, la photographie et l'illustration du livre. Le rôle capital que joua pour lui le mouvement Cobra tient autant aux personnes, le poète Christian Dotremont, le peintre Asger Jorn, qu'aux idées défendues : spontanéité dans l'art, d'où rejet de l'abstraction pure et du "réalisme socialiste", refus de la spécialisation.
A l'inverse de la peinture et du dessin où l'artiste travaille en solitaire, les livres et les estampes font l'objet d'un travail en collaboration. Le présent ouvrage privilégie cette relation établie pour les livres avec les éditeurs comme Le Daily-Bul, Maeght, Pierre-André Benoît, Yves Rivière ou encore Fata Morgana, avec les auteurs aussi. De Christian Dotremont, Amos Kenan, Joyce Mansour à Pierre Michon et Gérard Macé, en passant par Michel Butor, Eugène Ionesco, Michel Sicard, Jean Tardieu et Cioran, près de deux cents livres illustrés de lithographies, d'eaux-fortes, de dessins reproduits mécaniquement marquent un territoire aussi vaste que l'imaginaire d'Alechinsky.
Quant aux estampes, monumentales, en suite ou insérées dans des livres, le travail avec l'imprimeur et son équipe est essentiel : Maurice Beaudet, Peter Bramsen, Franck Bordas pour les lithographies; Jean Clerté, Valter Rossi, Piero Crommelynck, Robert Dutrou et Michel Issenlor pour les gravures. Ainsi dans cet ouvrage distribué en deux tableaux, l'un consacré aux livres, l'autre plus spécifiquement aux estampes, Gérard Macé fait de Pierre Alechinsky un lecteur, le crayon à la main; Marie-Françoise Quignard voit l'artiste comme un homme de la conversation; Antoine Coron relate la connivence du peintre avec l'éditeur " de petits livres majuscules " que fut Pierre-André Benoit (PAB).
La moindre des choses était qu'Alechinsky parle de ses impressions. Ce qu'il fait dans un entretien avec Céline Chicha suivi par le témoignage d'un homme de métier, l'éditeur et lithographe Franck Bordas.

Les impressions d'Alechinsky

Chaque humanimal est un être unique, mi-enfant mi-animal, doué de capacités extraordinaires. Dès qu'il est stressé, L'enperroquet répète les derniers mots qu'il entend. Une habitude pénible qui lui joue bien des tours ! Pourra-t-il dire à L'engazelle qu'il est amoureux d'elle ?

L'Enperroquet

Les cités de l'italie trado-antique IV-VI siècle ; institutions, économie, société, culture, religion

énergie et climat ; réponses à une crise annoncée

Dans le cadre de « Marseille-Provence 2013, Capitale européenne de la culture », un nouveau musée national s'ouvre sur le Vieux-Port de Marseille : le MuCEM, musée des civilisations du XXIe siècle, est le premier musée à s'interroger sur la culture méditerranéenne. Sa collection unique, héritée des collections du musée des Arts et Traditions populaires et enrichie par celles du musée de l'Homme, témoigne de la richesse des cultures populaires de la France, de l'Europe et du pourtour de la Méditerranée, et rend compte des évolutions sociales et culturelles depuis le Moyen Âge.

Trois sites, trois ambiances :
- le J4, le nouveau musée, bâti sur l'ancien môle portuaire par l'architecte Rudy Ricciotti, constitue le coeur palpitant du MuCEM. Au rez-de-chaussée, une exposition de référence pour un parcours permanent est dédiée à la présentation des étapes majeures de l'histoire des civilisations méditerranéennes. Au second étage, deux grandes expositions par an seront consacrées aux sociétés, aux villes, aux lieux ou aux hommes qui font la Méditerranée.
- le fort Saint-Jean, monument historique du XIIe siècle, propose des galeries d'exposition sur les thèmes de la fête et des spectacles. Une opportunité unique d'aborder de façon ludique des faits révélateurs de l'évolution des sociétés, en Méditerranée tout particulièrement.
- le Centre de conservation et de ressources (CCR), conçu par l'architecte Corinne Vezzoni.

Beaux Arts éditions accompagne l'ouverture de ce premier musée, et s'intéresse à la genèse du projet, à l'architecture novatrice inspirée par « le paysage minéral de Marseille et les pierres du fort Saint-Jean » de l'architecte Rudy Ricciotti, mais aussi aux collections permanentes et expositions inaugurales « Au bazar du genre, féminin/masculin en Méditerranée » et « Le noir et le bleu, un rêve méditerranéen ».

Faut-il tuer hitler ?

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