Les Pays du Var

La Thaïlande

Les Hautes-Alpes

" la plaine, la garrigue, la mer, les étangs, les canaux, les cyprès, l'aveuglante poussière blanche, l'odeur des figuiers et du vin, les tièdes bouffées du vent grec qui amènent la pluie, mettent aux lèvres et aux narines la fadeur douce des marais, tout ce pays de soleil qui aboutit à la mer, grande ouverte sur les départs méditerranéens, oú que je sois, je ne puis m'en déprendre.
 " benjamin crémieux le premier de la classe.

Le Languedoc

Alpilles

Le bateau des étoiles

Aix-en-Provence, tout est dit dans ces trois mots : l’histoire, le patrimoine, la culture, l’art de vivre, la douceur du climat, les contrastes de la lumière, la beauté des paysages, la modernité et le dynamisme d’une ville en perpétuelle quête du beau.Fondée en 122 av JC, Aquae-Sextiae est la doyenne des villes françaises fondées par des Romains en Gaule. Dès son origine, l’eau est fondamentale pour son développement. Eau des sources ou du canal du Verdon puis de Provence, elle coule dans les nombreuses fontaines de la ville. Le chant de l’eau nous guide de place en place tout au long de notre promenade. Depuis le cours Mirabeau, en passant par le quartier Mazarin pour rejoindre au coeur de la vieille ville, la place d’Albertas qui est probablement le joyau contenu au coeur de cet écrin patrimonial. Suivez également les pas de ceux qui en ont fait l’histoire, les Salyens du plateau d’Entremont, les Romains, fondateurs de la ville, les comtes catalans de Provence, le Roi René, Mirabeau, Cézanne, Zola, Darius Milhaud et tant d’autres aixois célèbres. La musique rythme la vie aixoise, l’été avec le Festival international d’art lyrique, au printemps avec le festival de Pâques.

Aix-en-Provence Balades au fil des rues

Les Alpes-de-Haute-Provence

"Quand on vient du Nord et qu'on a dépassé Valence." "Valence n est qu'un pain mal coupé. Il y a encore dans le ciel quelques traces de Lyonnais... Le Midi n est pas la Provence. Le gris n'y a pas encore sa qualité aristocratique. Au sud du défilé, par contre, on croit voir un fourmillement de couleurs, et là, c'est du gris, du vrai gris de la qualité la plus noble. Ne croyez pas au peintre qui fourre dans ce pays-ci le rouge sang, le jaune d'or, le vert vinaigre. Tout est gris. C'est sur ce gris, à la fin de l'hiver, que jouent les blancs et les roses des fleurs d'amandiers, c est contre ce gris que s'appuiera l'azur de ciel d'été, c est de ce gris que s'échappent les flammes à peine citronnées de l'automne. C'est ce gris qui rejoindra le gris de l'hiver, le poussant juste un peu, dans les lointains, vers le violet... des qu'on a quitté les vergers et les labours, c'est le gris qui vous enveloppe ; un gris étrange fait de lumière intense et de couleurs broyées. "

Les Pays du Var

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Critiques

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