Une suite d'épisodes drôles, touchants ou doux-amers, dans lesquels la naïveté de l'enfant Tremblay est dessinée d'une plume moqueuse.

Bonbons assortis

This is the first in a trilogy that provides us with the back-story to the characters of Michel Tremblay's great Chronicles of Plateau Mont-Royal, particularly of his mother "Nana," The Fat Woman Next Door . . . and his maternal grandmother, who, though largely uneducated, was a voracious reader and introduced him to books that would inspire his great literary opus.One of the most produced and prominent playwrights in Canadian theater history, Michel Tremblay is considered the father of the Quebec language. His dramatic, literary, and autobiographical works have long enjoyed international popularity.Sheila Fischman is a Governor General's Award-winning translator.

La traversée du continent (La diaspora des Desrosiers, #1)

Le gay savoir

Patricia Paquette, alias Patricia Pasquetti, est victime d'un fou rire sur la scène de l'Opéra Bastille et doit rentrer d'urgence à Montréal. Cantatrice sur son déclin, elle entend sa mère et sa fille lui dire ses quatre vérités, sous l'oeil affolé de son pianiste. Elle se défendra avec l'énergie du désespoir et ne ménagera personne.

L'état des lieux

Sainte-carmen de la main

Le Paradise est ce club du Red Light de Montréal qui, en 1930, accueille les vieux garçons dans un espace nommé le ringside. C'est là qu'Édouard Tremblay aimerait bien faire son entrée dans le "grand monde", peu après son embauche comme vendeur de chaussures sur l'avenue du Mont-Royal. Car à presque dix-huit ans, il est déjà emporté par le double qui l'habite, cette duchesse de Langeais qui deviendra son personnage de folle des nuits de la métropole.Et c'est aussi au Paradise que travaille la mère de Nana, Maria Desrosiers, toujours aux prises avec "cette boule dans la gorge, ce poids sur son coeuur". Autour d'elles s'agitent les membres des deux familles, à la merci de ce "maudit destin qui ne mène jamais où on veut aller" : Ti-Lou et Maurice, Victoire et Télesphore, Albertine et Madeleine, Teena, et l'inconsolable Josaphat-le-Violon, qui se réfugie à l'asile Saint-Jean-de-Dieu.

Les clefs du Paradise (La diaspora des Desrosiers, #7)

Grâce à un héritage inespéré, Édouard est parti en mai 1947 à la conquête de Paris. Comment va réagir «la duchesse de Langeais» face à ce Paris réel où l'émotion devant le campanile du Sacré-Coeur se mêle aux inconvénients de ses chasse-d'eau de W.C. qui mouillent les «pétalons»? Comment, après une telle aventure, Édouard réintègrera-t-il le quotidien d'un vendeur de chaussures? Comment maintiendra-t-il son personnage jusqu'au bout dans cette Main où maintenant les transsexuels mènent la vie dure aux simples travestis? Comment survivra-t-il, en proie aux contradictions violentes de son existence dont l'excentricité le dispute aux contraintes les plus cuisantes? Sans hésitation, Édouard prendra le parti du rêve et du mensonge pour entretenir, jusqu'à ce qu'elle crève, l'illusion. Dans ce quatrième tome des Chroniques du Plateau Mont-Royal, Michel Tremblay, en privilégiant sans conteste son personnage le plus coloré, continue la description d'une société en quête, et cela à n'importe quel prix, de sa propre vérité.

Des nouvelles d'Édouard (Chroniques du Plateau Mont-Royal #4)

La traversée de la ville (La diaspora des Desrosiers, #2)

À soixante-seize ans, Marcel a passé le plus clair de sa vie à l’ombre – enfermé à vingt-trois ans dans l’étrange asile de Nominingue, au fin fond des Laurentides, il est toujours au pied de ses mystérieuses et menaçantes montagnes, plus de cinquante ans plus tard, bien qu’on l’ait laissé sortir. Ces montagnes, il les peint, avec beaucoup de ciel. Il peint aussi la mer, qu’il n’a jamais vue « en vrai ». Et comme dans une tardive tentative de libération, le voilà qui se lance dans un projet inédit : écrire son journal. Remonter le fil d’une folie qui l’a mis à l’isolement – malgré les visites de sa mère morte et de son chat imaginaire. Dans cette variation d’une grande douceur sur l’évaporation du temps et la terrible violence faite à une âme simple, les lecteurs fidèles reconnaîtront un personnage qu’ils ont vu grandir dans les Chroniques du Plateau-Mont-Royal. Mais s’il fleurit comme un nouveau bourgeon de l’œuvre-arbre de Michel Tremblay, Le peintre d’aquarelles se lit comme le roman unique et bouleversant d’une vie volée.

Bonbons assortis

Résumé

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