La vie des Eglises Protestantes de la vallée de la Drôme de 1928 à 1938 - Actes du colloque tenu à la Faculté de Théologie de Montpellier du 25 au 28 avril 1974

Imprimer soi-même à la main, en noir ou en couleur, sur un beau papier, une gravure que l'on a dessinée avec soin, est un plaisir raffiné. Selon que vous choisirez comme support le bois - bois de fil ou bois debout - ou un autre matériau - linoléum, carton ou matière plastique -, vous aurez à manipuler amoureusement ciseaux, gouges, butavants, burins, onglettes, échoppes et vélos, tous ces beaux outils, parfaitement affûtés, qui répondent docilement à la sensibilité expressive de la main. Quelle révélation lorsqu'après avoir encré la planche gravée, y avoir placée la feuille de papier en respectant bien les marges, vous frottez avec le dos de la cuillère, puis soulevez délicatement l'angle de la feuille ! Il ne vous reste plus qu'à numéroter votre estampe et à la signer, comme les artistes.

La gravure tirée à la main

La migration des oiseaux est sans doute l'un des spectacles de la vie sauvage qui bouleverse et passionne le plus les hommes épris de nature. Les vols de ces grands voyageurs accrochés sous les nuages attirent le regard - y compris celui du citadin, à qui les oiseaux migrateurs offrent, pour quelques instants, une parcelle de rêve. C'est cette dimension qu'expriment les photographies de Pierre Petit qui, depuis plus de quarante ans, capture tous les moments de la vie des oiseaux, avec un sens artistique et une précision remarquables. Claude Feigné, quant à lui, nous raconte ce qui anime ces voyageurs fragiles qui, deux fois l'an, traversent continents et océans. Le lecteur néophyte, le naturaliste de terrain et le chasseur tapi au creux de sa cabane reconnaîtront ou découvriront les espèces les plus connues et celles à la discrétion exemplaire. Au-delà du mythe et des croyances, les contraintes biologiques et les adaptations à l'écologie de ces déplacements sont décrites avec une grande précision. Si le voile se lève sur quelques phénomènes sous-estimés, cet ouvrage trace aussi la limite de nos connaissances, celle-là même où, à n'en pas douter, recommence le rêve.

Migrations

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

D. Blanchet, 1844-1918

Depuis que l'éducation pour tous figure parmi les objectifs du millénaire, les organisations de la société civile sont mobilisées pour apporter leurs ressources et instaurer une « bonne gouvernance ». Cet ouvrage analyse cinq situations concrètes où ce partenariat a pris corps, souvent bien au large de la rhétorique participative : les nouveaux modes de régulation qui s'expérimentent dans le champ éducatif restent inscrits sur une trame de rapports de pouvoir préexistants et asymétriques.

Société civile et éducation - Le partenariat à l'épreuve du terrain

Dans le Haut Forez, une histoire d'amour qui vire au huis clos familial quand argent, suspicion et convoitise s'en mêlent. Surtout quand la belle épousée, plus riche qu'elle ne le pensait, devient la proie, plus maligne qu'il ne la soupçonnait, d'un beau-père retors et sans scrupules... Elle était mariée et, il fallait l'espérer, pour toujours. Ses beaux yeux gris et sa jeunesse, Louise les a offerts à Robert, veuf de quinze ans son aîné. Mais au fil des jours, dans l'austère maison familiale enchâssée dans les sapins du Haut-Forez, la jolie épousée déchante. L'isolement, les absences de son mari accaparé par son entreprise de maçonnerie, l'enfant qui tarde à venir... Surtout il y a " le Vieux ", le beau-père omniprésent et retors à souhait. Que dit-il à Robert, chaque soir, lors de leurs messes basses au coin du feu ?
 En 1971, l'émancipation féminine est en marche et Louise a ses projets. D'autant que, dans le plus grand secret, elle vient de toucher un joli héritage.
 Quand il n'est pas à la cueillette des champignons, " le Vieux " a l'oeil à tout.
 Et il est prêt à tout...
 Un roman noir, construit comme un huis clos, qui va crescendo.

La Nuit de l'Orcière

Ce petit coin à écrevisses en Haute-Loire est le graal des pêcheurs... C'est là, près de l'Ondoine, rivière nichée au fond d'une gorge escarpée et boisée de pins, que Stéphane et Isabelle s'offrent une parenthèse. Les jeunes gens en profitent pour bivouaquer autour d'un feu de camp. Nature sauvage, pêche miraculeuse, douces étreintes sous les étoiles en cette nuit d'été. Seuls au monde ? C'est ce qu'ils croient...
Tout bascule au petit jour lorsque la forêt s'embrase. Accident, malveillance ou bien sortilège ? Qui est donc cette étrange vieille femme vivant non loin d'un château en ruine ?
Comme le brasier, le mystère grandit...

D'après des faits réels.
Un roman sous tension sur le poison de la jalousie...

Feu de joie

Wagner

A la fin des années cinquante, le père Carrot, gros agriculteur du Velay, meurt le crâne fracassé au pied d'une falaise. Quand, peu après, la veuve épouse en secondes noces son beau-frère qui devient ainsi le patron du domaine, l'esprit fragile du jeune Albert Carrot, l'unique héritier, vacille.
Et dans la ferme familiale ou les travaux quotidiens règlent la vie mieux qu'une horloge, commence un compte à rebours, que seule trouble la jolie cousine de Lyon.

Une écriture aussi fine qu'efficace pour peindre une tragédie universelle autant qu'éternelle.

La vie des Eglises Protestantes de la vallée de la Drôme de 1928 à 1938 - Actes du colloque tenu à la Faculté de Théologie de Montpellier du 25 au 28 avril 1974

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