Dix ans détudes urbaines au Québec - Bilan et perspectives davenir

Ce bilan fait état du parcours des études urbaines au Québec durant la première décennie du XXIe siècle.  Relativement récentes, les études urbaines se distinguent par l'interdisciplinarité et une distance critique à l'égard de l'action publique.  La création du réseau Villes Régions Monde (VRM), il y a une décennie, a favorisé le renouvellement de ce champ de recherche.  Comment sont examinés les grands enjeux urbains contemporains ?  Quels sont les outils élaborés par les chercheurs pour en faire l'analyse ?  Des thématiques comme l'immigration, les dynamiques communautaires, le développement économique, les réformes institutionnelles et la gouvernance, la mobilité, l'environnement, le patrimoine, les formes d'habitation ou encore les représentations territoriales sont explorées.  L'état des lieux dressé par les contributeurs met en perspective le dynamisme de la recherche et tente une certaine prospective des avenues à privilégier.  Adoptant une position intermédiaire, entre l'Europe et les Amériques, entre les politiques publiques et les pratiques tant sociales que professionnelles, entre les disciplines des sciences sociales et de l'aménagement, les études urbaines québécoises récentes se caractérisent par de nombreuses recherches empiriques et l'attention soutenue portée aux grands centres urbains.  Cet ouvrage constitue un point de départ en vue de mieux comprendre la particularité des études urbaines au Québec.

Dix ans d'études urbaines au Québec

« Combien consommez-vous de verres d'alcool par semaine?? » Cette stupide question de formulaire d'assurance a suffi à me faire prendre conscience d'une chose : ma vie est plate. Moi, Caroline Dorion, trente-quatre ans, directrice adjointe dans une école secondaire, maman, amie fidèle et fille unique, je n'ai même pas le temps de boire un verre chaque semaine. En couple pendant plus d'une décennie, j'ai rompu avec le père de mes enfants il y a deux ans. J'avais depuis une excellente excuse pour justifier le manque de piquant dans mon quotidien. Mais là, c'est le printemps, mes hormones sortent de leur hibernation, et il est grand temps de m'ouvrir aux possibilités !Seul problème : il semblerait que le marché des célibataires ait quelque peu évolué ces dix dernières années. Mais ça va, je suis débrouillarde et bien entourée. Je peux compter sur mes amies de longue date, Béatrice et Mélanie, pour élaborer des plans douteux dignes d'ados de quatorze ans. Sans oublier mon cousin Gabriel (spécialiste de la séduction en série) et ses conseils pas toujours judicieux ! Malgré un temps de jeu limité à un week-end sur deux et une idée pas trop claire de ce que je recherche, je dépoussière mes sous-vêtements sexy et je me lance. C'est fou tout ce qui peut arriver lorsqu'on se laisse aller ! On peut dire que l'été qui approche s'annonce beau. et chaud !

De retour sur le marché (1 week-end sur 2, #1)

Le coeur a ses raisons (1 week-end sur 2, #3)

Une réflexion sur les avant-gardes artistiques russes au début du XXe siècle et sur le problème de leur rapport paradoxal à l'histoire, passée et à venir.

L'avant-garde russe face à la - terreur de l'histoire - - velimir khlebnikov et Pavel Filonov

Pour toutes celles qui, comme moi, se sont déjà plaintes que la vie allait trop vite et que ce serait donc le fun de s'arrêter... Un mot : Pandémie. La prochaine fois, soyons plus précises dans nos demandes à l'Univers?! À l'époque précovid, quand mes trois enfants avaient trente-quatre activités parascolaires par semaine, mon couple était loin dans ma liste de priorités. Mon cerveau s'était même convaincu que remplacer le sexe par Netflix était tout à fait normal. Maintenant, grâce à ce merveilleux temps de qualité en famille imposé, je ne peux plus juste longer les murs pour fuir nos problèmes conjugaux. Et que dire de l'arrivée dans notre bulle de Lucie-Fer, ma belle-mère... Ça va bien aller ! (S'il y a un dessin d'arc-en-ciel décoloré qui l'affirme, dans ma fenêtre, ça doit être vrai?!?) En cas de doute, rappelons-nous que la SAQ (Société des Alcools du Québec) est un service essentiel et qu'un verre entre amies, même à distance, ça fait toujours un bien fou !

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