Une maison où tranquillement coule la vie, dans son jardin bordé par la nuit. Dedans, une famille veille le sommeil du plus jeune enfant. Dehors, un vieillard et un étranger doivent annoncer la mort de la fille aînée, retrouvée noyée dans le ruisseau. Au milieu des saules, ils tardent à entrer en la demeure, n’osant ébranler cette harmonie silencieuse.

Intérieur

Maurice Maeterlinck né à Gand (Belgique) a obtenu le Prix Nobel de Littérature en 1911 pour son œuvre "L'Oiseau bleu". L'étude et la vision en détails du monde végétal puis celui du début de l'animalité, l'a amené à se demander au sujet de l'instinct et de l'intelligence, que s'ils ne sortent pas directement et tout fait des mains de la nature, peut-il être autre chose que l'expérience héréditaire accumulée par de la vie qui se souvient dans une intelligence qui sait l'interpréter et en tirer parti, et qui sort également des mains de la nature ? L'originalité de ce livre réside dans le fait que l'auteur traite de cette étroite union entre l'homme et la nature d'une façon très originale. Dans la seconde partie de son livre, que Maeterlinck a intitulé le "Royaume des Morts", l'auteur développe des notions nouvelles dont il n'a jamais parlées dans ses autres ouvrages, d'où le grand intérêt de lire cette œuvre, écrite dans un style agréable et facile à comprendre.

L'Araignee De Verre

Dans cet ouvrage important et très documenté, l'auteur étudie tour à tour les traditions philosophiques et occultes de l'Inde, de l'Egypte, de la Perse, et de la Grèce anté-socratique et de la Kabbale, tout en les analysant puis les comparant. Il nous dévoile également ce que les Hermétistes puis les occultistes modernes dont les Métapsychistes ont pu nous rapporter comme lumière, sur la grande énigme de la destinée humaine.

Le Grand Secret

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Marie-Magdeleine - Drame en trois actes, représenté pour la première fois au Théâtre du Châtelet le 28 mai 1913

Vous trouverez dans notre catalogue l'incontournable La vie des abeilles, de Maurice Maeterlinck, qui inaugure un cycle important de l'ouvre de l'écrivain belge. Dans ce premier opus, Maeterlinck, décortique notre société via celle des abeilles, de son organisation sociale, et du rapport qu'ont ces insectes avec le monde qui les entoure. Dans ce deuxième opus, nous partons à la découverte de la société des fleurs, et, toujours à travers elle, de la nôtre. Maeterlinck révèle à au fil de ces pages une réflexion philosophique sur sa conception du monde. En comparant l'Homme et l'animal, l'Homme et l'insecte, l'Homme et l'arbre, l'Homme et la fleur, en distillant son savoir botanique et entomologique au travers du miroir humain, il pose la question universelle de notre existence. Mais au-delà de la simple évocation des fleurs, Maeterlinck aborde également diverses thématiques : la mesure des heures, les parfums, la guerre, le Roi Lear, la morale, l'injure, le pardon, le devoir social, la guerre, et même l'immortalité. C'est tour à tour passionnant et profond, vibrant comme un appel à la nature.

L'Intelligence des fleurs

« Une variation supérieure sur l'admirable vieux mélodrame », notait Mallarmé à propos de Pelléas, dont l'intrigue, effectivement, peut sembler bien conventionnelle : le Prince Golaud recueille à l'orée d'un bois une jeune fille dont il va faire son épouse. Mais c'est du frère de Golaud, Pelléas, que Mélisande tombe amoureuse, et le destin fatal qui pèse sur les personnages de cette pièce de théâtre les mènera inévitablement à la désolation. La fable cependant n'est ici que prétexte à dérober au silence ses secrets. Universellement célèbres au début de ce siècle, grâce notamment à l'opéra de Debussy, les ombres de Pelléas et Mélisande nous reviennent dans leur innocence inquiète.

Pelléas et Mélisande

Dans la salle d'un vieux château, un vieillard aveugle, entouré de sa famille, devine à des signes imperceptibles l'approche de la mort qui va frapper sa fille. Isolé par sa cécité, l'aïeul a gardé intacte son intuition. Il est le seul à pouvoir interpréter le bruissement des arbres, le silence des oiseaux et des cygnes, l'entrée du froid dans la salle. Plongé dans les ténèbres, il communique avec l'inconnu. L'Intruse, drame en un acte publié en 1890, forme, avec Les Aveugles et Les Sept Princesses (1891), la première partie de ce que Maeterlinck appelait sa « petite trilogie de la mort ». On trouvera ici la première édition critique de cet ensemble qui fit date dans l'histoire théâtrale.

Petite Trilogie de la mort - L'Intruse ; Les Aveugles ; Les Sept Princesses

Dans cet ouvrage exceptionnel, Maurice Maeterlinck nous expose ses pensées philosophiques intimes qui tournent autour de Dieu, de l'Infinité et de l'Eternité, du Néant et des autres mondes, des destinées humaines, de l'Inconnaissable, de la vie d'avant la Naissance ou au-dessous de la raison ou de la conscience pratique et quotidienne, du bonheur et du malheur, et en général de ce que l'on ne dit pas, de ce que l'on ne pense pas tous les jours...

L'Autre monde ou Le Cadran stellaire

La première moitié du XXème siècle permet à Maeterlinck d'entrevoir la plupart des désastres de notre époque. Mais c'est un autre monde qu'il nous offre. Des réflexions sur le temps, la vie de l'esprit et celle de la matière côtoient des travaux sur la vie animale, celle des insectes en particulier, qui aide à envisager, par contraste, celle de l'homme. Les essais rassemblés ici sont extraits des premiers et des derniers recueils du dernier grand humaniste

Intérieur

Résumé

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