Pirates !

Le mot péplum désigne communément toute production audiovisuelle dont le scénario se déroule pendant l’Antiquité égyptienne, grecque ou romaine. Le premier péplum est né à Lyon en même temps que le cinéma : en 1897, les frères Lumière, qui vivent et ont installé leur usine dans la ville, projettent Néron essayant des poisons sur un esclave deux ans après avoir inventé le cinématographe. C’est donc assez naturellement que les musées gallo-romains du lyonnais ont décidé de consacrer non pas une, mais deux expositions à ce genre cinématographique très populaire. Le péplum sera traité sous deux aspects. Le musée de Saint-Romain-en-Gal s’attachera à aborder ses origines diverses (peinture, littérature, théâtre…) et les ingrédients qui ont contribué à son succès. La place des personnages féminins, le traitement idéalisé du héros, les scènes de bataille ou encore l’utilisation de décors monumentaux seront ainsi décryptés. Le musée de Lyon-Fourvière portera quant à lui un regard ludique sur le sujet à travers le prisme de sa collection contemporaine et mettra en perspective des objets archéologiques et des éléments de décors de cinéma, des costumes ou des photographies de tournage pour ainsi nous révéler les mécanismes de cette « antiquité spectacle ».

Peplum, L'Antiquité fantasmée

Entre fondue et chocolat, la Suisse est un "OFNI" rouillé à l'extérieur mais solide et vivant à l'intérieur. C'est aussi un laboratoire fabuleux pour les pratiques de vie durable sur la terre. Un pays original et décalé, ballotté entre la tentation du repli identitaire et la tentation de s'ouvrir. Une Suisse fondue au milieu du "gué" européen ou une Europe diluée dans la Confédération? Qui veut la Suisse doit éternellement la réinventer. Quelle est la Suisse d'aujolurd'hui et comment la voyez vous demain? C'est la question posée à des Suisses ou des non-Suisse, venus de tous les horizons, connus ou moins connus, hommes politiques, artistes intellectuels, paysans. De Jean Ziegler à Claude-Inga Barbey, de Michel Diot à Michail Shishkin, tous arrivent au même constat: tradition et modernité feront l'avenir de la Suisse.

La Suisse est fondue

Mémento pratique Gestion immobilière : 2008-2009

Le Patrimoine des Communes de La Réunion

Le point commun entre Laurence Parisot, Marcel Proust, Boutros Boutros-Ghali, Michel Rocard et Léo Ferré ? Ils ont tous fait Sciences-Po. Ainsi que Jacques Chirac, François Mitterrand ou François Hollande. Même Nicolas Sarkozy y a fait un bref passage.L institution communément désignée par l'apocope « Sciences Po » est donc l école matricielle de nos élites et de nos dirigeants. Nous sommes à la source même de la politique française, voire internationale.En crise depuis la mort brutale le 3 avril 2012 à New York de son ancien directeur, l énigmatique et charismatique Richard Descoings, cette fondation au régime curieux, mi-public, mi-privé, traditionnellement très discrète, méritait qu on s y arrête.

Charles, n°5, Printemps 2013, Sciences Po : La Fabrique des élites

Fabliaux des XIIIe et XIVe siècles

Pour fêter ses 80 ans, le musée Marmottan Monet invite 51 collectionneurs internationaux à exposer leurs trésors.Des chefs d’œuvre de l’impressionnisme, peintures, dessins et sculptures réalisés par Corot, Manet, Renoir, Degas, Monet, Pissarro…

Les impressionnistes en privé : 100 chefs-d'oeuvre de collectionneurs

Méthode express pour apprendre le japonais.

Pirates !

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