«Les jumeaux Sofia et Léo entreprennent de monter une pièce qui raconte l’époque où ils vivaient en garde partagée alors qu’ils étaient encore gamins. Un soir, ce chambardement dans leur vie les avait poussés à faire une escapade sur le toit afin d’observer une éclipse de Lune… et d’inquiéter un peu leurs parents.»

Des éclats de nous

Amélie habite un village où s’installe un cirque ambulant. La jeune fille découvre bientôt que ce cirque est dirigé par un homme méchant qui maltraite un cheval blessé à la patte. Révoltée par ce comportement, Amélie convainc le directeur de faire soigner l’animal par son grand-père, un vieil homme qui sait parler aux chevaux. L’aïeul soigne donc le cheval et Amélie ramène celui-ci au cirque, où elle fait alors la rencontre de Tom, le fils du directeur. Bien que Tom semble avoir hérité de la violence de son père, Amélie se lie peu à peu d’amitié avec celui qui, comme elle, aime passionnément les chevaux. Des illustrations sépia mêlant l’aquarelle et le trait esquissé au crayon ponctuent la lecture.

Saturne, le cheval de cirque

A bord d'un aérocipède tout neuf, Matisse s'envole vers la Lune, rêvant de rencontrer les fameuses vaches lunaires... Or voici que ces dames, intriguées par l'existence de consoeurs terrestres, s'embarquent avec lui pour un voyage sur la planète bleue. Les deux clans vont-ils se lier d'amitié ? De la méfiance à la connivence, il n'y a qu'un pas. Au terme de cette aventure onirique, Matisse est fier de confier son merveilleux secret à l'oncle Albert : " Les vaches lunaires jouent des tours aux fermières ! "

Matisse et les vaches lunaires

Un texte poétique sur la connaissance : peut-on vraiment tout savoir ?
Jos Sait-Tout savait tout, ou du moins, c'est ce qu'il croyait. Mais voilà qu'un jour, ses voisins, Bill, Bob et Lili lui posent une question toute simple à laquelle il ne sait pas répondre. Jos Sait-Tout est bien ennuyé de les décevoir, mais il a beau se creuser la tête, il ne parvient pas à expliquer à ses amis pourquoi les oiseaux chantent !
 
Bien décidé à ne pas rester dans l'ignorance, Jos Sait-Tout fait ses bagages et part à la recherche du savoir !

Jos Sait-Tout

«J’accuse hier De ne pas être demain J’accuse les heuresDe courir Comme des pantins naïfs J’accuse l’arbre Battu De céder à la brise J’accuse la mort De venir me chercher Sur des tapis d’étoiles Je t’accuseD’être là où je ne suis pasJe m’accuse d’éteindreLes flambeaux du cosmosJe m’accuse d’être l’arbrePar la briseBattuEt s’il y eut un génieCe ne fut pas moiDes trottoirs usésSous mes pieds d’enfantRésonnent la vieillesseDe jours incurables»

Cendrillon au pays des cannibales

Pour se défaire de son amour pour lui, Fanny écrit à Bobo dans des cahiers qu'elle ne lui fera jamais lire. Sa plume, mimant le désir, s'emballe et s'interrompt comme une musique insensée. Alors que Fanny croyait lui avoir échappé, son amant, fuyant mais insatiable, la rattrape encore.Un jour, je t'ai écrit que je t'attendais, qu'il y avait de la place pour toi dans ma maison. Tu m'as répondu l'amour est un incendie.

Blues nègre dans une chambre rose

Une femme (la narratrice) se voit confier par sa mère mourante la difficile mission de ramener auprès d'elle le fils qu'on lui a arraché il y a vingt ans. Elle affronte la tempête de ce soir de février et se réfugie dans une église pour trouver le courage de remonter le fil des brisures. Le moment est venu de dire ce que nul ne veut entendre, de mettre fin aux illusions.La délivrance est la troisième partie d'une trilogie théâtrale entamée avec La liste et poursuivie avec Le carrousel.«Je savais que tu reviendrais.Plus je vieillissais moins je doutais.L'espoir ne s'égrainait pas.Il fleurissait.»

La délivrance

Une femme nous accueille, seule, dans sa cuisine. Sa voisine est morte. Et peut-être par la faute même de celle qui, assise inconfortablement devant nous, nous racontera son histoire. «Je n'ai pas levé la main sur elle.», nous dit la femme d'entrée de jeu. Mais a-t-elle seulement levé le petit doigt pour lui venir en aide?La liste n'est rien de moins qu'une nouvelle forme de dramaturgie. Un texte qui se situe au carrefour du soliloque romanesque, du journal intime, du monologue théâtral, et de la liste d'épicerie.Un théâtre qui aurait pour scène le monde. Un théâtre de la vie. Où les planches sont celles du plancher de la cuisine. Et où les plus grandes tragédies naissent des événements les plus banals du quotidien.« Il m'est arrivé.Rarement mais tout de même quelques fois.Il m'est arrivé de faire semblant que personne n'avait frappé.Il m'est arrivé de ne pas bouger. »

Des éclats de nous

Résumé

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