Dans ce dernier opus, la relation entre l'écrivain de génie et sa domestique devient bouillonnante. Entre désir de gloire littéraire pour l'un et d'ascension sociale pour l'autre, ce drôle de couple cherche un équilibre... Leurs liens se resserrent au fil des épreuves, pour le meilleur et pour le pire. Un huis clos magistral !

Céleste « Il est temps, monsieur Proust » - Seconde partie

Une galerie subjective, incarnée et sensible, des héros et des héroïnes du quotidien. 
« Faire des portraits d'anonymes ». Cette idée, impulsée par le festival Lyon BD, a assez vite interpellé Chloé Cruchaudet. Elle a alors modelé cette proposition pour rendre le dispositif interactif : un appel à contributions a été lancé, afin de recueillir des éloges de « belles personnes » ; l'objectif étant d'inciter les gens à ne pas se fier aux apparences. Son choix s'est orienté vers quatorze témoignages parmi ceux qu'elle a jugés les plus étonnants ou touchants : Denise, présumée sorcière, Mint, chien d'aveugle, ou encore Mme Neuville, professeure de philosophie... Chacune de ces belles personnes étant singulière, l'autrice a souhaité adapter son traité graphique à chaque récit. Et en fin d'ouvrage, ces contributions textuelles sont retranscrites dans leur forme originelle avec, en vis-à-vis, un portrait pleine page. 
Une plongée dans l'âme humaine, une réflexion sociale, un voyage à travers le regard de l'autre.

Les Belles personnes

Mauvais genre

Une galerie subjective, incarnée et sensible, des héros et des héroïnes du quotidien.

« Faire des portraits d'anonymes ». Cette idée, impulsée par le festival Lyon BD, a assez vite interpellé Chloé Cruchaudet.

Elle a alors modelé cette proposition pour rendre le dispositif interactif : un appel à contributions a été lancé, afin de recueillir des éloges de « belles personnes » ; l'objectif étant d'inciter les gens à ne pas se fier aux apparences. Son choix s'est orienté vers quatorze témoignages parmi ceux qu'elle a jugés les plus étonnants ou touchants : Denise, présumée sorcière, Mint, chien d'aveugle, ou encore Mme Neuville, professeure de philosophie...
Chacune de ces belles personnes étant singulière, l'autrice a souhaité adapter son traité graphique à chaque récit. Et en fin d'ouvrage, ces contributions textuelles sont retranscrites dans leur forme originelle avec, en vis-à-vis, un portrait pleine page.

Une plongée dans l'âme humaine, une réflexion sociale, un voyage à travers le regard de l'autre.

Les belles personnes

Il était une fois une jeune fille si jolie qu'on l'avait surnommée la Belle. Pour sauver son père des griffes d'un monstre incroyablement laid, la Belle doit se sacrifier. N'écoutant que son courage, elle part vivre auprès de la Bête dans un château lugubre au fond d'un bois touffu...

La Belle et la Bête

Gus et sa famille voulaient tant aller à la merveilleuse fête foraine qu'ils ont vu passer devant chez eux. Mais ce ne sera pas possible. Aidé de ses frères et soeurs, Gus décide de recréer dans son jardin cette fête et même plus. Cela demandera beaucoup de travail, de la persévérance et de l'imagination mais le résultat vaudra mille fois tous les efforts fournis! La famille partagera un moment unique et inoubliable. Servie par des illustrations réalisées à l'aquarelle et remplie d'humour, cet album montre que les petites déceptions peuvent servir à aller de l'avant !

La fête foraine de Gus

Suisse, 1887. Ida est une vieille fille trentenaire, hypocondriaque et. autoritaire. Lorsque son médecin lui prescrit d'aller respirer l'air marin, Ida découvre que ses symptômes disparaissent. Elle prend goût au voyage et rencontre à Tanger une Occidentale délurée, Fortunée. Engoncées dans leurs robes à crinoline et mues par leur intarissable curiosité, les deux femmes sillonnent l'Afrique.

L'histoire vraie de Louise et de son mari Paul, déserteur travesti, dans le Paris des Années folles... Troubles du genre et trouble de la guerre sont au coeur de ce roman graphique tout en finesse, dont la lecture suscite une émotion rare.Pour échapper à la condamnation qui le menace après avoir été jugé déserteur lors de la Grande Guerre, Paul Grappe, marié à Louise Landy, se travestit en femme et devient Suzanne Landgard. Pendant dix ans, il pousse la dissimulation et le changement d'identité au-delà des genres, prenant plaisir à la bisexualité, à l'échangisme ou au proxénétisme occasionnel. Et Louise qui suit. Fidèle. Jusqu'à commettre l'irréparable...

Céleste « Il est temps, monsieur Proust » - Seconde partie

Résumé

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