Les splendeurs des châteaux de la Loire en 60 photos d'exception

Châteaux de la Loire

Palais irréel émergeant d'un étang, donjon crénelé sortant de la brume, ruines superbes conquises par les broussailles ou résidences habitées par une grande famille, les châteaux de la Loire, dans le " jardin de la France ", offrent à profusion images, souvenirs, sensations tout droit venus d'une des époques tes plus prestigieuses de France. Les découvrir, c'est s'attabler avec François 1er devant un cuissot de biche, mettre ses pas dans ceux inspirés de Jeanne d'Arc, écouter avec Flaubert " le rire des pages et le frôlement des robes à queue ". Fastueux châteaux de la Loire, illustré des magnifiques photos de Jean-Baptiste Leroux, encense leur art de la mise en scène et leur jeunesse éternelle.

Fastueux châteaux de la Loire

Situé à quelques kilomètres de Dieppe, à Varengeville-sur-Mer, en Normandie, le Bois des Moutiers est aujourd'hui l'un des jardins les plus renommés de France.
Créé par Guillaume Mallet à partir de 1898 en collaboration avec l'architecte britannique Edwin Lutyens et la célèbre paysagiste Gertrude Jekyll, il rassemble une maison Arts&Crafts, unique en Europe, et un parc de douze hectares installé dans une vallée qui surplombe la mer.
A des jardins architecturés - évocateurs de jardins anglais - succède un grand parc paysager dans lequel les espèces rares - rhododendrons d'une taille aujourd'hui impressionnante, hydrangeas, étables du Japon... - créent une succession de scènes chaque fois inattendues et empreintes de poésie.

Le Bois des Moutiers

««C'est après la pluie qu'il faut voir Venise», répétait Whistler : c'est après la vie que je reviens m'y contempler. Venise jalonne mes jours comme les espars à tête goudronnée balisent sa lagune ; ce n'est, parmi d'autres, qu'un point de perspective», écrivait Paul Morand dans Venises.
En écho à la figure de proue des gondoles - dont six barres évoquent les six sestieri («quartiers») de la ville, l'autre, en sens opposé, l'île de la Giudecca, et dont la ligne sinueuse dessine la courbe du Grand Canal -, les pages nous mènent en un lent cheminement d'une rive à l'autre, de la pointe de la Dogana jusqu'à l'église des Scalzi et à la gare ferroviaire, lieu de tant d'ailleurs.
Venise à fleur d'eau, où l'eau semble, parfois, sourdre doucement des pierres. Venise essentielle, quasi dépeuplée, dont les courbes semblent le reflet des ferronneries patriciennes, où les couleurs ont le chatoiement élégant des tissus fortuniens. Proust appelait Venise le «haut lieu de la religion de la Beauté» : voici la beauté méconnue d'une ville aux ciels voilés et opalescents de novembre, quand tout s'y tait, que seuls les frémissements de l'air et de l'eau s'effacent devant les calli, les campi, les palais et les églises, les demeures plus modestes, le marché aux poissons de Rialto, vide. Contrepoint des images et, avec elles, la poésie toujours renouvelée d'une ville profonde et intérieure, où l'hier et l'aujourd'hui se confrontent et s'entremêlent tour à tour.
«Quand je cherche un synonyme pour musique, je ne trouve jamais que ce mot, Venise», avouait Nietzsche : Venise est une musique mystérieuse où il est vital de se perdre.

Venise ; itinérance

L'ouvrage retrace l'histoire du palais de Compiègne et de son domaine, depuis le premier « palais royal » dont on attribue la construction à Clovis jusqu'à la résidence impériale de Napoléon III.
Très appréciée par les générations de souverains qui l'occupèrent, la demeure connut de nombreux aménagements et modernisations au long des règnes. Louis XV, notamment, fit entreprendre de grands travaux qui donnèrent à Compiègne son visage actuel. Les plus grands architectes du temps furent chargés de ces importantes transformations : Robert de Cotte, Jacques Gabriel puis son fils Ange Jacques.
Petits et grands appartements, salon de musique et théâtre, parc et dépendances, objets d'art et mobilier font l'objet d'une visite richement illustrée, accompagnée de légendes commentées apportant un éclairage tant sur le mobilier, les objets et les oeuvres d'art qui décorent les lieux, que sur la vie quotidienne qui s'y déroulait.

Compiègne royal et imperial ; le palais de Compiègne et son domaine

Nous croyons connaître notre ville et pourtant ce livre nous mène de surprise en surprise. Cet album invite les Parisiens à une promenade insolite à l'ombre des frondaisons. L'art des jardins est présent depuis des siècles et Paris offre au visiteur attentif un étonnant échantillon d'arbres, d'herbes et de fleurs. En photographe amoureux des jardins, Jean-Baptiste Leroux convie le lecteur à la découverte des jardins - ces espaces pensés et construits par la main de l'homme où tout est harmonie pour le plaisir des sens. Un jardin s'apprivoise lentement. Au fil des pages, le lecteur découvre des ambiances insolites, des détails inédits. Jean-Baptiste Leroux souhaite également montrer des "instants de jardin" intenses et beaux, en capturant dans ses images ces moments magiques et éphémères où la lumière était là sur le bon motif et au bon moment. Il ne s'agit ni d'un guide touristique ni d'un inventaire des parcs et jardins mais d'une promenade à travers les jardins de Paris, depuis les grands parcs bien connus jusqu'à des lieux rarement ou jamais ouverts au public.

Paris - Beautés secrètes des jardins publics et privés

Tanger, une ville mythique sur un site somptueux, à la croisée des continents : une aventure millénaire, de la ville internationale à la métropole marocaine.

Tanger

Cet ouvrage nous invite à découvrir Monaco, « un pays où les frontières ne sont que fleurs...» selon Colette, au rythme du temps qui passe, au fil d'ambiances délicatement colorées saisies par le photographe Jean-Baptiste Leroux.Artiste fasciné par la lumière, Jean-Baptiste Leroux vient et revient sur un même paysage à des heures différentes pour saisir les effets du temps qui passe. Les saisons et les heures s'égrènent ainsi au fil des pages, d'un ciel de velours rose tendu comme un rideau au-dessus du port Hercule, au pied du Rocher des Princes, ou des intrépides maisons Belle Époque qui fardent de leurs murs roses les espaces que s'obligent à leur laisser les tours immaculées. Ses subtiles images ont saisi, de l'aube au couchant et de l'hiver au printemps, les ciels, les vagues, l'architecture, la nature, les bateaux et quelques rencontres émouvantes que réserve la Principauté.Le texte de Mic Chamblas-Ploton, journaliste art de vivre et auteur d'une douzaine d'ouvrages, tente de lever le voile sur ces mises en scène aussi éphémères qu'insaisissables en révélant l'histoire de ces lieux uniques qu'imprègnent la littérature et les arts.Jean-Baptiste Leroux immortalise l'histoire du patrimoine et de ses jardins.

Châteaux de la Loire

Résumé

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