Côte Ouest américaine, duo terre mer, un itinéraire gourmand pour les amateurs de routes sinueuses, de villes éclectiques et de gastropubs réinventés, à la recherche de paysages sans changeants.
Côte Ouest américaine, duo terre mer, un itinéraire gourmand pour les amateurs de routes sinueuses, de villes éclectiques et de gastropubs réinventés, à la recherche de paysages sans changeants.

Côte Ouest américaine, duo terre mer, un itinéraire gourmand

Villa Gillet N°10 Novembre 1999 : La Transmission

"Il y a deux siècles, la Russie tsariste et la République suisse établissaient des relations diplomatiques. Il est difficile d'imaginer partenaires plus différents, que ce soit par la géographie, la culture, l'histoire ou le régime politique.
Ce qui perdura, c'est l'intérêt porté par des citoyens d'un pays, à l'histoire, la culture, de l'autre. Aristocrates, peintres, écrivains, anarchistes, communistes ou encore réfugiés. d'innombrables Russes ont visité la Suisse ou s'y sont installés.
Ces « regards russes sur la Suisse » témoignent de l'évolution culturelle, sociale, politique de la Russie et de ses bouleversements.
Et, comme dans un miroir, se reflète l'histoire de la Suisse et de ce qu'elle représentait aux yeux d'autres sociétés." Ruth Dreifuss Les objets présentés dans cet ouvrage proviennent des musées et archives les plus prestigieux de Russie dont le Musée historique d'État, le Musée d'État des Beaux-Arts Pouchkine, le Musée de l'Ermitage, la Galerie nationale Trétiakov et bien d'autres encore.

Avec des textes de : 
Ruth Dreifuss, Conseillère fédérale de 1993 à 2002 / Vladimir R. Medinski, Ministre de la culture de la Fédération de Russie / Zelfira Trégoulova, Directrice générale Centre national de musées et expositions ROSIZO / Delphine Duchosal Directrice de la Fondation Neva / Anselm Zurfluh, directeur du musée et de l'institut / Camille Verdier, directeur artistique /  Victor Bezotosny, historien / Mikhaïl Bode, critique d'art.

La Suisse par les Russes ; regards artistiques et historiques, 1814-2014 ; 200 ans de diplomatie

Maurice Merleau-Ponty (1908-1961) et Emmanuel Levinas (1906-1995) reprennent l'héritage de Husserl et de Heidegger en opérant une réhabilitation du corps et du monde sensible dont les conséquences en philosophie et en éthique sont considérables. Il y a des différences notables entre la phénoménologie de la perception de Merleau-Ponty ou sa description de la structure ontologique du monde et la pensée de Levinas qui fait de la rencontre d'autrui le point de départ de l'éthique. Toutefois, en insistant sur la corporéité du sujet et en l'inscrivant dans un tissu social, ils renouvellent l'un et l'autre la conception de la condition humaine, qui n'est plus pensée seulement à la lumière de la liberté.
Cet ouvrage est issu d'un colloque franco-japonais qui s'est tenu à Cerisy du 6 au 12 juillet 2022. Accueillant plusieurs traducteurs japonais de l'oeuvre de Levinas et de Merleau-Ponty ainsi que des chercheurs venus de différents pays, il souligne l'actualité de ces phénoménologues ainsi que l'originalité des approches qu'ils ont pu inspirer.
Une attention particulière est accordée à la manière dont ils contribuent à renouveler la réflexion sur le soin, l'habitation de la Terre et l'écophénoménologie, la philosophie de l'animalité et l'esthétique.

Levinas et Merleau-Ponty

Le 9 octobre 1852, le prince Louis-Napoléon Bonaparte, arrive à Bordeaux. Dans la cité pavoisée, 10. 000 personnes l'applaudissent pour sa célèbre déclaration "L'Empire c'est la paix" . Le 20 avril 1858, le maire de Bordeaux offre à l'Empereur pour son 50° anniversaire, une statue équestre. Sur le piédestal on peut lire : "La ville reconnaissante et dévouée," l'Empire c'est la paix ". Le 4 septembre 1870, les Bordelais furieux se précipitent sur la statue de Napoléon ! Il, place Tourny, l'abattent et en jettent les morceaux dans la Garonne, sans oublier de piétiner le socle où se trouve la phrase sacrée" L'Empire c'est la paix ". Que s'est-il passé entre temps ? La France a connu un bon développement économique avec l'arrivée du train, le passage de la voile à la vapeur, la conquête coloniale, la fin des corsaires et L'Entente cordiale avec l'Angleterre. Partout dans Bordeaux" ce n'est que pics et marteaux "avec la création de rues, places, monuments, écoles, usines et hôtels particuliers. Le commerce se confond avec l'exportation des bons vins de Bordeaux. Certes, mais les conflits sur les cinq continents et au final en 1870, la déclaration de guerre à la Prusse, entraînent la Chute de Louis-Napoléon Bonaparte. Après le désastre de Sedan et la proclamation de la Troisième République, Bordeaux devient capitale de la France pour trois mois. La paix s'installe sur le sol de France. Voici venu le temps de la Belle Epoque, une autre histoire commence... Ce tome 6 commence avec la militante Flora Tristan et se termine avec l'indépendante Rosa Bonheur, deux femmes de génie en avance sur les idées de leur temps mais bien dans ce que nous dénommons" L'Esprit de Bordeaux.

D'Ausone à Mauriac - Histoire de Bordeaux tome 6 - Bordeaux leur doit sa liberté d'esprit

Tout d'abord, le lecteur est accueilli, à Bastia. Après un aperçu historique de la vieille cité, le voyage se poursuit par le cap Corse, Toga, puis Oletta, Algajola (au nom arabe), et Calvi où se pressent les jardins suspendus en terrasses fleuries d'orangers et de grenadiers. Viennent ensuite Porto, Piana et Corte, dont les ruelles escaladent le flanc de la montagne. Une simple halte à Solenzara, village de pêcheurs baigné par les vagues de la mer Tyrrhénienne, et c'est Porto-Vecchio et Bonifacio, l'une des villes les plus curieuses d'Europe. Le retour s'effectue par Roccapine, célèbre à cause de son lion profilé par la roche, Sartène, Ajaccio (dont le nom s'associe aussitôt à celui de Bonaparte), Cargèse, et Vico. Puis c'est Bastia, où le bateau attend les touristes, au bout d'un double circuit bien agencé. Qui n'a rêvé d'un voyage à l'île de Beauté ? L'auteur a su conserver toute la poésie de son sujet et nous procure les joies espérées, car son guide est particulièrement évocateur et agrémenté de nombreuses photos.

La Corse

Au printemps 1989, dans son oeuvre installée au Centre Pompidou, à l'entrée du 5e étage, l'artiste Barbara Kruger déclinait une longue liste de trente-trois professions, défiant le titre-même de l'exposition, dans une veine polémique qui persista longtemps.
« L'appellation de magiciens est à mon avis plus importante que celle d'artistes, car elle inclut et dépasse la définition-même de l'art, surtout maintenant, depuis que les concepts d'art et d'artiste sont morts maintes et maintes fois. Magiciens est une prophétie d'avenir, et l'artiste devient un diseur d'oracles. » écrivait récemment Huang Yong Ping.
Tout à la fois pionnière et insolite, Magiciens de la terre représenta un moment-seuil dans l'histoire des grandes expositions du XXe siècle. Du 18 mai au 14 août 1989, dans les galeries d'exposition du Centre Pompidou et de La Grande halle de la Villette, elle rassembla près de six cents oeuvres produites par plus d'une centaine d'artistes contemporains. Pour première fois sur une scène occidentale, la moitié des artistes provenaient de ces territoires géographiques (Afrique, Antilles, Asie, Europe de l'Est, Océanie) jusqu'alors ignorés par les acteurs d'un monde occidental encore tout-puissant et ethnocentré. Jean-Hubert Martin, son commissaire, en avait conçu le projet en rencontrant des artistes issus de ces cultures qu'il décrivit avec ironie comme « invisibles » et fustigeait, dans un parti-pris politique résolument anticolonial, « l'idée communément admise qu'il n'y a de création en arts plastiques que dans le monde occidental ou fortement occidentalisé. » Vingt-cinq ans après Magiciens de la Terre, à une époque où les arts visuels traversent une période de globalisation accélérée, le Centre Pompidou organise, à partir du printemps 2014, une série d'évènements qui se proposent d'examiner la genèse de Magiciens de la Terre afin de resituer l'exposition dans son contexte et de comprendre, notamment, le rôle que celle-ci a joué dans le processus d'extension géographique du marché de l'art contemporain.
Cet anniversaire s'ouvrira sur un colloque international qui permettra à de grandes personnalités du monde de l'art de réfléchir au sens à donner aujourd'hui à l'entreprise des commissaires de l'exposition, à la représentation de l'Autre ou à ce qu'est un artiste de nos jours en Afrique, en Inde, en Chine, en Australie.
Une exposition-documentaire offrira au public l'accès aux archives de l'exposition de 1989 à travers une mise en scène imaginée par l'artiste Sarkis, déjà present en 1989. Une université d'été proposera également un programme d'échange et de confrontations entre jeunes chercheurs.
Le légendaire catalogue d'exposition de 1989 étant depuis longtemps indisponible, il était essentiel de proposer un nouvel ouvrage qui reviendrait sur le projet en donnant la parole à des artistes, sociologues, historiens, commissaires et critiques d'art tels que Raymonde Moulin, Annie Cohen-Solal, Mark Francis, Hou Hanru ou encore au critique et théoricien de l'art Bernard Marcadé. Chacune des oeuvres exposées à l'époque sera présentée et les artistes seront invités à répondre à la question « Qu'est-ce que Magiciens de la Terre a changé pour vous? » à travers des écrits ou des oeuvres spécialement réalisées pour cet ouvrage.

Les magiciens de la terre

Green style ; un style en vert

TOP 10 LISTS : Plan the perfect trip with ease to make the most of every moment. HANDY FORMAT : Light, portable and packed full of essential information. EXPERT ADVICE : Tick off the unmissable sights ; Explore beyond the tourist hubs ; Soak up the atmosphere. DETAILED MAPS : Clear and comprehensive maps for every area, plus pull-out map that won't let you down whatever the weather.

Côte Ouest américaine, duo terre mer, un itinéraire gourmand

Résumé

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