Au cœur de La Réunion : Photographies de 1940 à 1970 : Jean Legros

Égypte (Guide du Routard, 2005)

Après le succès de la collection Chtchoukine, la Fondation Vuitton réitère cet automne avec une autre collection extraordinaire, celle du Museum of Modern Art de New York. Le meilleur de l’art moderne est ainsi de nouveau à l’honneur de ce hors-série.

Chefs-d'oeuvres du MOMA à Paris

Albert Camus: Citoyen du monde

Un ancien temple maçonnique, des jardins suspendus dans un fort abandonné, la tombe d’un baleinier américain, un ascenseur dans une cabine de douche, un portail d’église en miniature, une villa hispanisante, un marin coiffeur, un club pour les ouvriers, un garage dans un bunker, le fantôme de Jean Valjean, la cloche des dockers, une boîte aux lettres belge ou un manoir médiéval à Sainte-Adresse… Le Havre et ses environs n’ont pas fini de livrer leurs secrets.

Le Havre insolite

Le feu et la glace / La glace et le feu

« Les femmes ne peuvent peindre que des choses qui n'exigent ni pensée profonde, ni grand sentiment, ni large virtuosité. Des fleurs, des natures mortes, des objets élégants, des scènes de genre paisibles, des paysages doux des portraits d'enfants, des animaux gentils », peut-on lire en 1884 dans un article consacré aux « Peintresses belges » de la revue d'avant-garde, L'Art moderne. Considérées avant tout comme des épouses, des mères et des maîtresses de maison, les femmes n'ont accès à une formation académique officielle qu'à partir de 1889 en Belgique. Pour certaines, être « fille de… » ou « femme de… » leur permet de sortir de l'ombre. Sans liens familiaux ou maritaux efficaces, d'autres embrassent le célibat pour se consacrer à une carrière, comme Cécile Douard, Marie Collart ou Jenny Montigny. Cet ouvrage accompagnant l'exposition illustre de façon inédite la variété de style et de médium des femmes artistes au 19ème siècle à travers les questions sensibles liées au genre.

Femmes artistes - Les peintresses en Belgique (1880-1914)

Le pays des mangas, des samouraïs, des jeunes femmes en kimono, des tremblements de terre et des grandes villes tentaculaires ? Peut-être...mais au Japon, certains artistes rompent avec ces clichés. Ils se déguisent en héros de dessin animé, inventent des robots géants et rêvent de villes de science-fiction bâties en carton...

Total Japan !

En juillet 1845, Eugène Delacroix, alors au sommet de son art et de sa gloire, cherche à se reposer des immenses chantiers en cours à Paris. Sur le conseil de son médecin, il va passer un mois dans les Pyrénées, à Eaux-Bonnes, station thermale à la mode. Eaux-Bonnes, c'est la porte vers les hautes montagnes, le haut Béarn, et l'Aragon. Sommets et cascades, bergers et lavandières peuplent alors le carnet du maître. Delacroix reste un mois dans les Pyrénées. Il dessine sur un carnet de petit format à la mine de plomb ou au crayon, ou pose de la couleur à l'aquarelle. On retrouve aussi des uvres sur papier libre qui ont été éparpillées à sa mort. Le Carnet est aujourd'hui conservé au Louvre, les feuillets «libres» ont atterri pour beaucoup dans les collections publiques des grands musées internationaux. Le voyage aux Pyrénées est un moment méconnu de la carrière de Delacroix. Méconnu à la fois des spécialistes de Delacroix, qui le saisiront dans l'intimité de sa création, mais aussi des spécialistes des Pyrénées qui apprécieront notamment le travail sur les sommets, les costumes, et les habitants.

Au cœur de La Réunion : Photographies de 1940 à 1970 : Jean Legros

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