Pourquoi diable la belle Ilona décide-t-elle un jour d'entrer dans la librairie du bouquiniste-cambrioleur Bernie Rhodenbarr plutôt que dans une autre ? Et pourquoi l'invite-t-elle ensuite au cinéma où l'on passe une rétrospective Bogart ? Pour qu'il tombe amoureux d'elle ? Et si, plus prosaïquement, elle couvrait des opérations bancaires louches destinées à financer une cause nationaliste perdue d'avance ?

Tel est le dilemme auquel est confronté Bernie lorsqu'il fait le lien entre cet émoi qui le trouble et la visite d'un certain Hugo Canlemas qui, moyennant finances, l'a prié de voler un porte-documents frappé d'une couronne royale.

C'est alors que de bien sinistres personnages surgissent d'un passé, certes d'opérette, mais où l'assassinat et la corruption étaient monnaie courante...

Le Bogart de la cambriole

Sheesh. What a lousy title. Flesh Mob was published by Midnight Reader, a fellow imprint of Nightstand Books, in 1962. I can tell at a glance that it's my work, although I don't specifically recall writing it. And I must have put a title on it, but I  an assure you that it wasn't Flesh Mob. It could only have been the inspiration of some editor in Illinois. Several notables filled that role over the years, including Earl Kemp, A. J. Budrys, and Harlan Ellison, but it's hard to imagine any of those three making a eureka moment of Flesh Mob. For years it struck me as merely a bad title, two works that when combined had a sort of reverse synergy, amounting to rather less than the sum of their parts. Then just this week I looked at the title and saw that it could only be a pun on the phrase "flash mob." That still didn't make it a good title, but at least it gave it a lame reason for being. Except not. Because a little internet research shows that "flash mob" came into existence, as both phrase and concept, sometime shortly after the turn of the present century, and approximately forty years after my humble little novel first appeared wherever bad books were sold. AJ and Harlan and Earl were grounded in science fiction, but that's not enough to account for a title that was a pun on a phrase nobody would utter for another four decades. Never mind. The book's a multiple-viewpoint novel, with a rich cast of characters. Here's a sample of two of them:#"I'M LEAVING MATT, " Kitty said. Linc digested this bit of information. She searched his face, trying to decide whether he approved or disapproved. His face was a mask. She couldn't tell how he felt about it. "I'm leaving him, " she said again. "He didn't even come home last night. And the fact doesn't even bother me. There's not a thing left between us, Linc. Nothing at all. He can go his way and I can go mine and neither of us gives a whoop in hell about the other one. That's no basis for marriage." "Will he give you a divorce?" "I think so. He barely knows I'm alive. He'll probably be glad to get rid of me." Linc shrugged. "His pride might be hurt. And he might be upset from a pure financial standpoint. Divorce can be costly to a man. Alimony." "I wouldn't want alimony from him." "Oh?" "Just freedom." He said: "What will you do after the divorce?" "Oh, " she said. "I don't know. I may stay in Clifton, at least until I decide where I want to go next. New York eventually, I think. Small towns can get to you. I think I'm ready for the city." "You'd fit right in." "But for the time being we can have our fun. Do you feel like. like some fun now, Linc?" "God, you're insatiable." "I've been inactive for a long time, " she told him. "Too long. It can get to you. Are you interested, Linc?" "I'll race you to the bedroom, " he said.#There you go, Gentle Reader. Flesh Mob. It is what it is.

Flesh Mob - Collection of Classic Erotica, #25

C'est à une réunion des Alcooliques Anonymes que Matt Scudder et Jack Ellery se retrouvent en 1980. Enfants, ils rêvaient d'être flics, mais seul Matt l'est devenu, Jack  ayant à l'inverse effectué  plusieurs séjours en prison pendant ce temps.  Huit mois passent. Scudder retrouve , qui ne boit toujours plus mais présente un visage tuméfié. Puis plus de nouvelles, jusqu'au jour où Gregory Stillman, le parrain AA de Jack, lui apprend que ce dernier a été assassiné et que, dans un écrit, il a raconté tous ses crimes, de sang pour certains.
Que faire ? Transmettre cette confession aux flics enquêtant sur le meurtre pour qu'ils aillent questionner des gens qui n'ont rien à voir avec cette histoire ou la cacher et courir le risque de laisser filer un assassin ? Scudder prend les choses en mains et de fil en aiguille, non seulement découvre la solution, mais aussi - et c'est ce qui fait toute la beauté de ce grand livre plein de nostalgie -, retrouve tous les carrefours de sa propre existence.

Entre deux verres

Nicholas Edwards vit avec sa femme et sa fille à La Nouvelle-Orléans où il rénove et revend des maisons dévastées par le passage de l'ouragan Katrina. Entre sa famille et sa collection de timbres, il oublie peu à peu son ancienne vie. Alors que ses affaires périclitent, un nouvel ouragan survient sous la forme d'un coup de téléphone de son ancien agent, Dot, qui lui propose de reprendre du service et de redevenir l'homme qu'il fut : Keller, le tueur à gages. De New York aux Caraïbes, en passant par Cheyenne, Keller reprend du service et enchaîne les contrats en y mettant tout son savoir-faire. Du grand art.

Tue-moi

Antiquariatsbesitzer und Einbrecher Bernie Rhodenbarr neigt im Allgemeinen nicht zu philosophischen Überlegungen, wenn es um seine kriminellen Aktivitäten geht. Er hat das Talent dazu, es ist ansteckend aufregend und es ist vor allem viel profitabler, als alte Wälzer zu verkaufen. Er stiehlt, also is(s)t er - Punkt. Andererseits könnte er durchaus über den tieferen Sinn der Ereignisse im luxuriösen Heim von Herb und Wanda Colcannon nachdenken. Dort wird in der Nacht, in der Bernie heimlich zu Gast ist, offenbar gleich dreimal eingebrochen: einmal vor und einmal nach ihm. Es gelingt ihm zwar, einige schöne Schmuckstücke und eine äußerst wertvolle Münze zu stehlen, aber dummerweise lassen die dritten Einbrecher Herb bewusstlos und Wanda tot zurück ... und die Polizei ist sich sicher, dass der Verantwortliche dafür auf den Namen Rhodenbarr hört. Für existenzielle Grübeleien bleibt nun keine Zeit, aber Bernie muss dennoch sehr gründlich nachdenken, um einen Ausweg aus diesem mörderischen Dilemma zu finden. # »Neues von Manhattans Lieblingseinbrecher/Antiquariatsbuchhändler. Diesmal statten Bernie und seine Handlangerin Carolyn (eine lesbische Hundewäscherin) einer schicken Bude in der 18th Street einen Besuch ab - und obwohl vor ihnen schon andere Einbrecher das Haus auf den Kopf gestellt haben, finden sie einen wertvollen Nickel aus dem Jahr 1913, den sie Bernies geliebtem Hehler, dem alten Abel Crowe, anvertrauen. Doch es droht Ungemach, weil in derselben Nacht die Gattin des Hausbesitzers ermordet wird. Die gewohnte Mischung aus Einbrüchen, Betrügereien, dummen Polizisten, schlauen Sprüchen, Village-Milieu . und ein bisschen Numismatik: Bernie-Fans werden nicht enttäuscht sein.« ~Virginia Kirkus Reviews »Der Einbrecher, der Spinoza studierte ist der vierte Bernie-Rhodenbarr-Krimi von Lawrence Bock. Es handelt sich, wie bei Der Einbrecher, der gerne Kipling zitierte, um einen Krimi mit viel Humor. Mr. Block muss inzwischen der Kritiker überdrüssig sein, die ihn mit Donald Westlake vergleichen, aber Westlake ist eine ausgezeichnete Gesellschaft. Bernie tötet keine Menschen; das ist uncool. Stattdessen liest er Spinoza, Dr. Johnson, Wordsworth, Robert Frost und Piaget, hört Haydn oder Vivaldi, sieht sich Chagalls an und schläft mit einer plappernden SoHo-Künstlerin. Er trifft sich mit Kleinganoven, nimmt an der Beerdigung seines Hehlers teil, verkehrt mit Friseusen und erzählt uns alles, was wir nicht über Greenwich Village und Irish Coffee wissen wollten. Der Einbrecher, der Spinoza studierte ist überaus witzig, unterhaltsamer zu lesen als Spinoza und etwas weniger didaktisch.«  ~John Leonard, New York Times

Der Einbrecher, der Spinoza studierte - Bernie Rhodenbarr, #4

C’est toute la vie de Matt Scudder, l’un des plus grands personnages de roman policier, que Lawrence Block nous laisse entrevoir au fil des onze nouvelles de ce recueil. Du privé alcoolique qui a quitté la police après avoir tué accidentellement une fillette lors d’une fusillade à celui qui, maintenant sobre, continue inlassablement de traquer le crime, nous assistons aussi à tous les changements de la ville que jamais il ne quitta. Cette ville, c’est la New York des années 70 à celle d’aujourd’hui. Portrait éblouissant, La Musique et la nuit est un savant mélange de dialogues à l’emporte-pièce, de moments d’une tendresse infinie et d’émerveillements inattendus. Une balade new-yorkaise dans la vie de Scudder, le personnage qui a valu à son créateur les plus belles récompenses internationales du roman policier.L’ouvrage est préfacé par Brian Koppelman, grand réalisateur, scénariste, entre autres, de Ocean’s Thirteen, et fan absolu des aventures de Matt Scudder.

La musique et la nuit

Matt Scudder, qui n'est plus tout jeune, rumine de sombres pensées quand une amie lui demande d'enquêter sur un curieux personnage qu'elle a découvert par Internet: l'homme lui plaît beaucoup, mais pas moyen de savoir où il réside, ni ce qu'il fait. Intrigué, le vieux privé accepte... et comprend soudain qu'un serial-killer s'est lancé à ses trousses et à celles de sa compagne. Renoncer? Pas question. Matt Scudder n'est pas de ceux qui renoncent.

Les fleurs meurent aussi

Métamorphose de la « ghost story »: une histoire non pas de fantôme, mais de maladie mentale, de maison malveillante et, surtout, l'étude attentive des réactions provoquées par la maison
haineuse sur ses habitants - sur une, la plus faible, en particulier : Ariel, une enfant de 12 ans. Un roman étrange du maître du polar américain.

Ariel

Nicholas Edwards vit à la Nouvelle-Orléans avec sa femme et sa fille, où il est l'un des deux associés d'une entreprise qui rénove et revend des maisons dévastées par le passage de l'ouragan Katrina. Entre sa famille et sa collection de timbres, il oublie peu à peu que dans une autre vie, son métier était d'éliminer des gens. Lorsque l'économie régresse et que ses affaires périclitent, un nouvel ouragan survient sous la forme d'un coup de téléphone de son ancien agent, l'énigmatique et truculente Dot, qui lui propose de reprendre du service et de redevenir l'homme qu'il fut : Keller, le tueur à gages.
De New York aux Caraïbes, et jusqu'au grand finale qui se déroule à Cheyenne, où une veuve lui demande de gérer la collection de timbres de son défunt mari, Keller va devoir franchir les turbulences du cyclone tout en préservant la vie de Nicholas Edwards...

Le Bogart de la cambriole

Résumé

Plus de livres de Lawrence Block

Critiques

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