Quand un jeune lion amateur de marshmallows devient le meilleur tireur du monde entier, célèbre et choyé, devient-il pour autant un lion heureux ? Et est-il seulement encore un lion ? Autant de questions essentielles auxquelles Shel Silverstein répond avec un humour et une plume qui ont fait de cette fable sur le bonheur un classique de la littérature jeunesse américaine.

Lafcadio, le lion qui visait juste

Un jeune gar�on grandit jusqu'� l'�ge adulte et la vieillesse �prouvant l'amour et la g�n�rosit� d'un arbre qui lui donne sans pens�e de retour.

L'Arbre Genereux

Il était une fois un arbre qui était devenu ami avec un petit garçon. Il lui offrait tout ce qu'il avait : ses feuilles, ses branches et son tronc pour jouer, ses pommes pour se régaler, son ombre pour dormir. Et ils étaient heureux tous les deux. En grandissant, le garçon découvrait d'autres centres d'intérêt. L'arbre, lui, demeurait fidèle, toujours prêt à donner tout ce qu'il pouvait à son ami. Jusqu'au bout.

L'arbre généreux

Delightfully zany rhymes about a giraffe who accumulates some ridiculous things--like glue on his shoe and a bee on his knee--only to lose them again, one by one. "Infectiously funny . . . a good nonsensical text and illustrations".--Bulletin of the Center for Children's Books.

A Girafe: Girafe Et Demie

" Oh mais où il est mon ptit bout, Mais où il est, où, mon ptit bout Aïe, dee, hoo, aïe dis où, Où il est, où, où, mon ptit bout." C'est la quête essentielle d'une boule à bonne bouille, à qui il manque un quart. Le jour où notre héros trouve son petit bout, il le prend et s'en repart tout content, jusqu'à découvrir que depuis qu'il est complet... il ne peut plus chanter! Il choisira de déposer son petit bout trouvé, et de s'en aller, incomplet, mais en chantant.

Le petit bout manquant

Le bord du monde

Métaphore de l'existence par les simples figures de l'arbre et de l'homme, L'Arbre généreux est l'histoire "d'un arbre qui aimait un petit garçon". Le petit garçon devient jeune homme, le jeune homme un adulte, l'adulte un vieillard. À chaque étape de son existence, l'homme trouve auprès de l'arbre le réconfort nécessaire lui permettant de poursuivre sa quête sur le chemin de la vie.L'illustration pleine page monochrome joue de la disproportion de l'arbre et de l'enfant. Le trait discret de Silverstein, auteur et illustrateur américain, peut rappeler celui d'un Sempé ou d'un Piem. Quelques traits de plume suffisent à faire surgir sur la page l'intensité de la relation d'intimité entre le jeune garçon et l'arbre. Dans ce face-à-face, l'arbre est rendu aussi expressif que l'enfant. De fait, le lien qui unit l'enfant à l'arbre est profond, c'est-à-dire que cet attachement n'est pas seulement sensible, il est aussi le lieu d'une interrogation sur notre sort car l'arbre ne peut donner à l'homme que ce qu'il a. En retour, ce qui fait la grandeur de l'homme, c'est précisément la prise de conscience de cette richesse. Une très beau conte d'essence philosophique pour tous les publics. À partir de 5 ans. --Denis Gombert

The missing piece sat alone waiting for someone to come along and take it somewhere....
The different ones it encounters - and what it discovers in its helplessness - are portrayed with simplicity and compassion in the words and drawings of Shel Silverstein.

Lafcadio, le lion qui visait juste

Résumé

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