Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

L'homme de soixante ans

Le dernier jour du monde - Nouvelles fantastiques

Moreldieu

Un banquier terre à terre qui se découvre une soif d'absolu dans la contemplation d'une gourde. Un joueur à la dérive croyant reconnaître la bonne fortune sous les traits d'une élégante dame en noir. Une photo de mariage qui cache peut-être l'indice d'un crime.
Quand les certitudes se dissolvent, nos obsessions deviennent asservissantes.
Dans cet ouvrage qui réunit quinze de ses plus célèbres contes fantastiques, Hellens met brillamment en scène la fascination - cruelle, douce, terrible ! - des hommes pour les zones d'ombre d'un monde familier et fuyant à la fois.
La rassurante rationalité cède ici sa place au singulier mais séduisant pouvoir de l'étrange.
Rien ne sort de l'ordinaire et pourtant, on redécouvre avec cet auteur majeur à quel point la réalité est fantastique.

Le double et autres contes fantastiques

La pendule Empire

Arrière-saisons - 1960-1967

... Haute figure de cette littérature, Franz Hellens ne livre jamais que des pièces achevées, et dont le ton est pur autant que la forme est solide. Son ouvre a gardé, dans le débraillé contemporain, une constante tenue. Auparavant, l'auteur faisait jaillir du réel un fantastique qui devenait, dans ses romans comme dans ses vers, la matière même de son inspiration. Il témoigne ici d'une sagesse que l'âge a rendue mélancolique souvent, mais jamais morose. Car elle est saine, apaisée, l'implacable venue d'une ultime saison.

Paroles sans musique

Cet ouvrage n'est pas l'oeuvre d'un psychologue, mais d'un poète. Ecrites durant les tristes heures de la guerre de 40, « la plupart de ces notes, qui ne veulent pas être autre chose, furent prises au cours d'une période particulièrement féconde en représentations oniriques ; et où le rêve fut pour moi, et sans doute pour l'humanité entière, un vrai cadeau du ciel. Il me permit de vivre quand plus rien ne vivait si ce n'est la nature. Il me renvoya à la nature primitive et éternelle. Il fit de moi l'homme des cavernes, oublieux du tonnerre et de la foudre, et pour qui le sommeil est à la fois repos et enrichissement ». Recueil de notes, certes, mais dont on ne doit pas mésestimer l'importance, dans la mesure où il éclaire toute l'oeuvre de Franz Hellens, cette oeuvre qui se meut et s'exerce en majeure partie dans un monde de rêve et de poésie.

L'homme de soixante ans

Résumé

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