Sur la plage, Mathieu découvre un trésor. Grâce à lui, il voyage sur tous les océans du monde.

Un trésor sur la plage

Fermée au monde par une grille infranchissable, la mine d'or de Sado est une véritable prison pour les forçats et les enfants qui y travaillent.
Rumiko, la jeune porteuse d'eau, parviendra-t-elle à s'évader de l'autre côté de la falaise, vers le ciel, la mer et la liberté ?

La sirène aux yeux d'or

Rajeev, 8 ans, vit dans le Gujarat, une région d'Inde très pauvre qui subit une terrible sécheresse. Porteur de briques, le garçon gagne à peine de quoi se nourrir. Un jour il découvre dans la glaise un scarabée vert, dont on dit qu'il trouve l'eau sous terre. Après avoir résisté à des grands qui voulaient s'en emparer, Rajeev sauve son trésor et parvient à le nourrir. Une fois éclos, les petits du scarabée permettront-ils à Rajeev de rendre la prospérité à son village, et la joie de vivre à ses amis?

Le scarabée magique

En Inde, Rajeev, huit ans, travaille dans une briqueterie pour aider sa famille pauvre. Il découvre un scarabée vert, insecte réputé pour savoir trouver des sources d’eau et pour apporter la richesse à qui le possède. Injustement congédié, puis poursuivi par le propriétaire de la briqueterie qui souhaite s’emparer de l’insecte, Rajeev fuit dans les collines. Nourri par la soeur d’un ami qu’il a secouru, il élève en cachette une colonie de scarabées verts. Depuis, l’eau revient mystérieusement au village. Ce court roman réaliste dépeint une dure situation où la pauvreté force les enfants à travailler. Il conscientise à la situation des travailleurs-enfants et met en évidence les inégalités qui existent entre ces derniers et les riches propriétaires. Bien que l’insecte que Rajeev découvre ne soit pas magique, ses accomplissements sont miraculeux pour les villageois du voisinage. L’écriture simple, mais précise, détaille les conditions de travail et de vie dans cette région où l’eau manque cruellement. L’histoire est illustrée de vignettes colorées.

Rajeev le petit indien doit travailler pour survivre. Mais un jour, il trouve un scarabée vert...

Rajeev le petit Indien travaille pour survivre. Mais, un jour, il trouve un scarabée vert. Et cette petite bête pourrait bien changer sa vie...

Pas dans la mer

Le nombre et les volumes de produits chimiques transportés par la voie maritime n'ont pas cessé de croître depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. La perspective pour les prochaines décennies reste orientée dans le sens de la croissance, avec des navires pas nécessairement plus nombreux, mais de capacité accrue. La question des risques liés a pris, au fil des ans, une acuité évidente, et le dernier forum de recherche et développement de l'Organisation maritime internationale, en mai 2009, a tout naturellement porté sur la question de savoir si l'accident chimique était devenu plus probable et potentiellement plus grave qu'une pollution pétrolière majeure. A cette occasion, les auteurs ont constaté qu'il manquait un ouvrage de synthèse, tirant pour les professionnels les leçons de l'expérience acquise, tout en restant accessible à tous les publics. C'est l'objet de ce livre. Il vise à montrer ce qu'est la situation aujourd'hui, à partir de l'analyse des connaissances existantes, de la réglementation en vigueur et du retour d'expérience de cinquante-six accidents intervenus à travers le monde depuis trente ans. II s'appuie largement sur les travaux des organismes scientifiques et techniques du secteur, le Cedre et l'Ifremer en particulier.

Pollutions chimiques accidentelles du transport maritime

"Plus jamais ça !" ont demandé avec insistance les Bretons après la catastrophe de l'Amoco Cadiz. "Plus jamais ça !" ont répété avec encore plus d'insistance les Galiciens après la marée noire de l'Aegean Sea. "Plus jamais ça !" ont crié Galiciens, Basques, Aquitains et Bretons réunis après la marée noire du Prestige. A chaque fois, les autorités ont promis que tout serait mis en oeuvre pour que cela n'arrive plus. Et que, si cela arrivait quand même, l'organisation et les moyens de la lutte seraient d'un tout autre ordre. Pourtant, le golfe du Mexique vient de vivre ce qui est peut-être la pire marée noire de tous les temps, sans donner l'impression d'une organisation et de moyens irréprochables. Après "Les pollutions chimiques accidentelles du transport maritime", Michel Girin et Emina Mamaca ont réuni une nouvelle fois leurs plumes pour dresser un panorama mondial des marées noires, en tirer les principales leçons, montrer tout ce qui a changé en un demi-siècle et finalement proposer quelques changements supplémentaires, susceptibles de renforcer la capacité de l'homme à combattre ce fléau. Soyons sans illusions : "Plus jamais ça" est un rêve impossible. Mais "Plus jamais comme ça !" est réalisable.

Un trésor sur la plage

Résumé

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Critiques

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