L'anti-développement - Le prix du libéralisme

Vivre pour vivre. La vie appelle et engendre la vie. Mais comment vivre en plénitude et porter des fruits d'humanité ? Cette question se pose avec urgence dans une société où s'est effrité l'art de vivre collectif traditionnel, dans un monde déserté par le sens et incapable de faire consensus sur une façon pertinente de vivre ensemble. Chacun a désormais la tâche aussi incontournable que difficile de se donner un art de vivre bien à lui en réponse à son élan vital, aux requêtes de la culture et au cri qui monte de l'humanité souffrante et de la nature bafouée. Opter pour un art de vivre intégral, c'est arrêter de se laisser vivre pour se déterminer du dedans et vivre par soi. Se prendre résolument pour point de départ. Ce que l'on a à faire pour advenir en humanité ne peut se révéler qu'à partir de soi. Il faut tracer son propre sentier pour devenir l'être unique que l'on est. Se donner un art de vivre, c'est faire de sa vie une œuvre d'art.

La vie à tout prix ! - En quête d'un art de vivre intégral

Je suis grand. J'aurai bientôt quatre ans. Nous, les quatre plus vieux, occupons la banquette arrière de l'auto de notre père. Le bébé, celui qui a tout juste six mois, n'est pas du voyage. Un monsieur à la voix forte est assis à l'avant, côté passager. Qui est ce monsieur ? Et pourquoi a-t-il une voix si forte ? Une voix à faire peur. (...) Quand nous sommes montés dans l'auto, il m'a semblévoir des larmes dans les yeux de grand-maman. Du reste, ily a bien longtemps que je n'ai pas vu de manifestations degaieté, il y a bien longtemps que les paroles que les adultess'échangeaient à voix basse ont paru lourdes de sens. « Neparlons pas de ça devant les enfants »...
Voici le récit vrai d'une enfance, comme de celles qu'on ne pense voir qu'au cinéma. Le narrateur est nul autre que Richard Bergeron, spécialiste du développement urbain et candidat à la mairie de Montréal.

L'orphelinat

L'anti-developpement  ; le prix du libéralisme

Though both parents were alive, Richard and his four brothers lived in an orphanage for five years! It was in 1959, five floors of dormitories at fifty children a floor, with nuns' cells on each floor. Richard recalls that, "as in all concentration-camp systems, daily life is dull and repetitive." Some get up, make their beds, say their prayers, while others line up for the strap. It's just routine. Sometimes for some people it's fun, or at least tolerable. For others, it is unbearable. But this tale does not settle old scores or vent bitterness. It will have you laughing and crying. It is simply the short and moving story of how Richard began the rest of his life.

The Orphanage

Le syndrome prémenstruel entraîne des malaises et maux dont les pires sont les céphalées, les sautes d'humeur et les réactions dépressives qui pourraient, dans les cas extrêmes, mener au crime ou au suicide selon certaines statistiques. Les auteurs nous apprennent à dépister le "SPM", à en trouver les causes et proposent plusieurs traitements.

Le Syndrome Premenstruel

« Je suis grand. J’aurai bientôt quatre ans. Nous, les quatre plus vieux, occupons la banquette arrière de l’auto de notre père. Le bébé, celui qui a tout juste six mois, n’est pas du voyage. Un monsieur à la voix forte est assis à l’avant, côté passager. […] Quand nous sommes montés dans l’auto, il m’a semblé voir des larmes dans les yeux de grand-maman. Du reste, il y a bien longtemps que je n’ai pas vu de manifestations de gaieté, il y a bien longtemps que les paroles que les adultes s’échangeaient à voix basse ont paru lourdes de sens. »Voici le récit vrai d’une enfance, de celles qu’on ne pense voir qu’au cinéma. Le narrateur est nul autre que Richard Bergeron, spécialiste du développement urbain et candidat à la mairie de Montréal.

Les auteurs de ce recueil viennent de tous les horizons : La politique, le droit, la philosophie, la psychanalyse, la théologie et le milieu monastique. A l'instar des disciples d'Emmaüs, " ils racontent ce qui leur est arrivé en chemin ". Sous la forme du récit et de l'évocation, ils laissent entrevoir la couleur de leur âme et la face cachée de leur vie. L'aventure spirituelle s'inscrit tout bonnement dans la trivialité de l'existence et dans l'anonymat de l'ici/maintenant. Les collaborateurs de ce collectif tentent de se saisir comme êtres spirituels et de nommer la spiritualité qui informe leur existence mondaine. S'habiter comme être spirituel, c'est transgresser les frontières, se transcender dans l'amour, se reconnaître toujours plus grand et prendre son envol comme un oiseau de feu. Les auteurs nous invitent à les accompagner dans leur itinérance spirituelle. C'est en toute simplicité que chacun a accepté d'attester la manière dont l'Esprit l'a poussé vers son propre Compostelle, ce non-lieu tant désiré mais jamais atteint.

L'anti-développement - Le prix du libéralisme

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