Les grands ducs de Bourgogne racontés et illustrés par Jean-Louis Thouard, à la manière de Game of Thrones et à travers une galerie de portraits : Philippe le Hardi, Jean Sans Peur, Philippe Le Bon et Charles le Téméraire.

Ducs de Bourgogne

Venise, années 1950. Tinnk, jeune comédien ambulant et ventriloque, croise un étrange personnage muni d'un petit coffret. Il le suit jusqu'au fond des Dolomites, dans un chalet isolé et découvre que l'homme, Stefano, est créateur de marionnnettes. L'artiste lui raconte alors l'histoire de son maître, qui a fabriqué une marionnette diabolique dans un bois très spécial, qui vient des Carpates. Est-ce l'essence de ce bois qui aurait rendu fou le créateur ? Stefano conserve la marionnette ensorcelée dans son coffret et cherche un moyen de lui ôter son pouvoir maléfique.

Drôles d'aventures Tome 20 ; la bataille des marionnettes

Adapter Edgar Allan Poe en bandes dessinées n’est pas chose facile : nouvelles parfois très courtes, peu de personnages féminins, peu de dialogues...Le parti pris a été ici de mêler dans le récit autant que possible plusieurs nouvelles de Poe, en proposant une histoire «originale» qui apporte un nouvel éclairage par rapport aux textes de l’écrivain. Des personnages totalement inédits font ainsi leur apparition et vont, après avoir découvert le trésor du capitaine Kidd, partir à l’aventure sur leur navire et vivre leurs rêves... Cette intégrale Grand Format reprend les trois albums précédemment édités chez Casterman, avec un épilogue inédit de quatre planches et un cahier de 25 pages centré sur la personnalité et l’oeuvre d’Edgar Allan Poe, illustré de dessins et esquisses de Jean-Louis Thouard.

Histoires extraordinaires d'Edgar Allan Poe

L'hiver, lorsque toute la famille se resserrait dans l'houteau, bénéficiant de la douce et rassurante chaleur du foyer, la parole était alors laissée à l'ancien pour qu'une fois encore, inlassablement, il raconte. Si les adultes n'écoutaient plus guère ce long radotage, les enfants au contraire en avaient les yeux agrandis de curiosité et d'émerveillement. Au fil des veillées, les histoires maintes fois répétées étaient inconsciemment apprises par cœur et les images qu'elles suscitaient en leurs jeunes esprits se précisaient, devenaient de plus en plus nettes et plus riches de détails. C'est ainsi qu'ils percevaient l'héritage de leur pays, de leurs traditions venues du fond des siècles, de leurs superstitions aussi avec leur cohorte d'interdits et de tentations. Dans leurs rêves, ils devenaient alors Gargantua ou Mélusine et tout doucement, ils apprenaient à devenir des hommes. ...La saveur des textes, la richesse iconographique, l'authenticité et l'homogénéité de l'ensemble est le reflet de leur auteur, bercé dans ce fabuleux pays du Val d'Amour au si joli nom et à proximité de la forêt de Chaux, refuge de la Vouivre et du cheval Gauvain.Une contrée si riche et si belle, peuplée de légendes et de mystères où chaque pierre, chaque arbre porte le message des ancêtres...

Bestiaire fantastique du pays de Comté

Caroline du Sud, octobre 1845. Sur l'île de Sullivan où il s'est réfugié après un revers de fortune, Edgar Legrand fait une étrange découverte : l'effigie en or massif d'un scarabée, trouvée à proximité d'une épave ancienne, vieille de plus d'un siècle. Fasciné par sa trouvaille et flairant l'occasion inespérée de redresser sa situation financière, Legrand cherche à déchiffrer le message du scarabée, flanqué de son ami William Wilson, l'inséparable compagnon avec qui il écume cercles de jeux et lieux de plaisir. De Charleston à New York puis Baltimore, les deux gentlemen aventuriers vont traverser ensemble une longue suite d'événements inexplicables et dangereux, marqués du sceau du fantastique.

Histoires extraordinaires d'Edgar Poe (L'Intégrale)

Les contes traditionnels de savoie

Alors que les séries anglo-saxonnes font des gorges chaudes sur les innovations policières américaines, d'aucuns se plaisent à rappeler l'antériorité de la police scientifique française. Et ils n'ont pas tout à fait tort. Dans un XIXe siècle marqué par le sceau du scientisme, dans un XIXe siècle baignant dans le paradigme de l'indice, y compris dans le domaine de l'art, dans un XIXe siècle voyant l'institutionnalisation de la dactyloscopie ou science des empreintes digitales, c'est bel et bien le nom du Français Alphonse Bertillon qui s'impose. Avec son élève Edmond Locard, il va devenir le socle d'une police scientifique française amenée à s'épanouir pleinement dans l'entre-deux-guerres. Ce succès se mesure notamment au grand nombre de vocations suscitées, ce qui atteste l'existence d'une véritable culture forensique. Source d'inspiration ou de discussion au-delà des frontières, la police scientifique française entre néanmoins en concurrence avec d'autres pôles. Elle doit aussi affronter ses propres divisions internes, la criminalistique restant une fonction partagée par de nombreux acteurs du maintien de l'ordre. Lorsque la prise de conscience d'un déclin s'opère à la fin des années 1940, nier les signes avant-coureurs relèverait donc de la naïveté. La traversée du désert ne prend fin qu'à la fin des années 1980 à la faveur d'une grande remise à plat conduite par Jacques Gential. Refondée sur les principes mêmes de ses pionniers, la police scientifique française renoue ainsi avec son leadership d'antan.

 Amos FRAPPA est le lauréat du prix de thèse 2021 de l'institut des hautes études du ministère de l'Intérieur (IHEMI)

Amos Frappa est titulaire d'un doctorat sur Edmond Locard et la police scientifique. Rattaché à l'EHESS de Paris, il travaille plus largement sur les interactions entre l'histoire de la criminologie, celle de la police et enfin celle des techniques. Il est enfin membre de l'ANR Joriss qui s'intéresse aux relations entre les polices française et chinoise.

Ducs de Bourgogne

Résumé

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