Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

La fille au rasoir - Nouvelle à offrir, provenant du recueil Les Filles

solos noirs

J'écris & je m'édite, guide pour les auteurs qui s'éditent, est conçu comme un manuel adressé aux étudiants qu'intéresse l'édition de livres en première parution. De l'évaluation préalable du marché jusqu'aux devis, aux factures et aux impôts, tous les sujets vitaux sont abordés. Composition en PAO, pliage et imposition à envisager aussitôt après le calibrage, polichinelles et maquettes pour un avant-goût, format, grammage et "main" des papiers, etc. Impression et brochage sont associés au tirage souhaité. La fabrication artisanale d'un livre à très faible coût, est décrite en détail. Dépôt légal, service de presse, vente directe et tenue d'un fichier, confection d'un catalogue, droits dérivés, financement et TVA, l'essentiel est là. Deux chapitres sur les naufrages et les réussites permettent le bilan, avant de tenter l'aventure. Rubriques et paragraphes sont numérotés, c'est un manuel technique.

J'écris & je m'édite - Guide pratique de l'auteur-éditeur

"Jean Guénot n'est pas grammairien, mais linguiste. Il ne se propose pas de corriger le mauvais usage, mais d'aider à apprendre les langues vivantes, surtout pour les parler. Son ouvrage contient un tableau remarquablement clair et vivant des principales difficultés que l'on rencontre dans l'étude pratique des langues, il décrit les moyens modernes proposés pour les résoudre ; que faut-il apprendre, quand l'apprendre, comment l'apprendre vite et le retenir. Avec beaucoup de chaleur, mais aussi d'humour, M. J. Guénot relate ses propres expériences et celles auxquelles il a assisté en France et aux États-Unis surtout, dans les instituts spécialisés Ce livre est de plus une remarquable préparation aux études de linguistique théorique et appliquée."

Les langues vivantes

« J'ai devant la tête des yeux insuffisants. Le mardi 4 novembre 1980, à huit heures moins le quart du soir, je me suis cousu la main. Il faisait froid, je brochais. J'étais en retard... » Ainsi débute "La main cousue", premier des dix-sept récits de ce recueil. Le journalisme, l'édition (Soir d'été, Kré Bobo, André Napoléon Bidoche, Naturel assez tendre), la voiture, le travail ou la maison (L'enculé, Jurys, La maison de carton, Douaumont chocolat), les souvenirs retapissés (Edouardo, Le talon d'Achille), la famille, la guerre et les assassinats (Très peur en juin, Garde tes lunettes Mado, Les cordons du poêle, Quatre pas, Poire, Fleurs ni couronnes) fournissent matière à de l'écrit intime, pour soi-même et qu'on cache, mais brut et de première pression. Cette commodité relève d'impudeurs parfois vives les joies grises du journal intermittent, figuratif, avec des impatiences d'instantané à l'aquarelle. Personnes et lieux sont déguisés, ainsi tout reste lisible au plus grand nombre, sans offenser.

La main cousue

Classiquement vôtre

Isidore arrive en un pays où les femmes sont le sexe fort. Camionneuses, fliques, chèffes de service, chirurgiennes, souteneuses, boxeuses, footballeuses ou présidentes de la république, elles prennent instinctivement les hommes de haut. Gardiennes de la vertu, elles trouvent dévergondées les rencontres amoureuses dont elles n'ont pas l'initiative. À travail égal, il est normal qu'on les paie plus. Elles donnent naturellement des ordres aux hommes quand elles sont en leur compagnie. Chaque chronique est indépendante du reste, mais conserve la forme d'un divertissement moral.

La fille au rasoir - Nouvelle à offrir, provenant du recueil Les Filles

Résumé

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