La foret de metal

« Amarille est une planète désertique. Rien n'y pousse, excepté les arbres géants plantés par les humains. Leurs troncs gris semblent rugueux, même s'il est impossible d'y toucher à travers les gants de mon scaphandre. »Hélène Frost et son équipage sont forcés d'atterrir sur cette planète hostile. Pourquoi ? S'agit-il d'un complot ? Pourront-ils être secourus ?

La forêt de métal

Asterman est une gigantesque station spatiale, en orbite autour de la Terre. C'est la première étape des migrations en direction des étoiles.Puis, on a construit les stations de relais qui ont permis l'établissement de colonies minières : autant de bornes sur la route qui mène hors du système solaire.Là-bas, ces nouvelles terres à découvrir représentent l'avenir de l'humanité.Au long de cette route, des êtres humains, émigrants et migrateurs, cherchent un « ailleurs » où mieux vivre, loin de la Terre à l'agonie. Mais L'Espace ne se laisse pas conquérir facilement...Le Temps des migrations, de Francine Pelletier : six récits de science-fiction sur le thème de la différence, de l'exil et qui mettent en scène des personnages à la recherche de l'essentiel.Sommaire:1 - La Migratrice, pages 7 à 252 - Ceux qui restent, pages 27 à 543 - Là-bas, la mer, pages 55 à 884 - La Petite fille du silence – le Journal de Mani, pages 89 à 1365 - Les Merles rouges, pages 137 à 1756 - La Maison qui dormait, pages 177 à 1967 - (non mentionné), Notes biographiques, pages 201 à 201, Biographie8 - (non mentionné), Bibliographie, pages 202 à 202, Bibliographie

Le temps des migrations

Cinq auteur(e)s ont rédigé un texte sur le thème du voyage dans l'Imaginaire : une garantie de quelques heures d'évasion...Daniel Sernine voyage dans une « van » et fait appel au fantôme de Jack Kerouac pour nous entraîner sur « la route » à travers l'Amérique dans un voyage nostalgique vers la fin des années 50.Francine Pelletier nous fait voyager en bateau, un texte réaliste qui montre les méfaits de la pollution et la dégradation des routes.Carmen Marois, dans « Muerta del sol », présente une société qui pourrait être la nôtre et une île de rêve qui pourrait être Haïti, petit coin de paradis qui se transforme en Enfer!Joël Champetier, auteur de « Petite peste », nous transporte dans un futur où les Terriens ont quitté le système solaire pour voyager à travers les étoiles.Yves Meynard signe « Le colporteur d'âmes » qui se situe dans un futur étrange. Après une guerre contre des extraterrestres, les humains ont échoué sur une planète hostile.

Par Chemins Inventés : Anthologie dirigée par Francine Pelletier

Douze heures. Un marathon d’écriture. Un thème : Idées noires. Portés par les bons conseils d’auteurs de romans noirs d’ici, les marathoniens de la deuxième édition du Marathon d’écriture de Québec ont créé des récits aussi distincts que fascinants. Dix-huit textes ont été choisis pour composer le recueil que vous voyez ici. Ce livre qui fixe dans le temps un moment éphémère a été ficelé par l'équipe passionnée et déterminée des Éditions L'Hybride, pour qui le marathon a débuté une fois les crayons des marathoniens déposés. Jamais des idées noires n'auront été aussi dorlotées.

Idées noires à emporter

Cofondatrice de la revue La Vie en rose, Francine Pelletier se trouvait dans les tranchées de la révolution féministe, il y a 30 ans, alors qu’on entrevoyait le meilleur pour les femmes et la société en général. Une ère plus ouverte, décomplexée, libre et juste semblait s’annoncer. C’était avant l’électrochoc de la tuerie de Polytechnique, en 1989, la montée en puissance du fanatisme religieux et l’accroissement des inégalités sociales. Mais l’année 2014 aura été, à bien des égards, porteuse d’espoir pour la cause des femmes. Aura-t-il fallu attendre une nouvelle génération—et un sentiment d’urgence omniprésent—pour que le féminisme renaisse enfin de ses cendres? Francine Pelletier signe ici une réflexion inédite, vive et sincère sur ce que ça veut vraiment dire, être une femme dans le Québec actuel.

Second début

Apprentie Mémoire, Samiva connaissait par cœur, autrefois, les lignées du peuple de Frée. En quittant son île, dix ans plus tôt, pour devenir la première femme officier fad'i, elle croyait tourner définitivement le dos à son douloureux passé. Mais voilà que Joffe, son meilleur ami et collègue d'armée, devient membre d'une secte religieuse, les riverains. Or ses membres se reconnaissent grâce à un symbole fréen, Anaconde, le serpent qui, selon la légende, est à l'origine de la création de l'île de Frée.Qu'est-ce qui se cache derrière la surprenante conversion de Joffe et, surtout, que fabrique-t-il en pleine nuit avec le chef des envahisseurs venus de la lointaine Terre, celui que l'on surnomme le « peau flasque » ?Sam croyait avoir oublié Frée et ses lignées ; le destin la forcera à retrouver rapidement la Mémoire…Le Sable et l'Acier : une trilogie aux personnages inoubliables, dont Samiva de Frée est le deuxième volume.

Samiva de Frée (Le sable et l'acier, #2)

Un soir, dans le métro de Montréal, Sylvianne se laisse attirer par le son d'une clarinette. Au lieu de rentrer chez elle, l'adolescente va à la rencontre de la musicienne... et de bien des mystères!D'abord il y a le bel Olivier que Sylvianne croyait en prison: quel lien le rattache à Jacinthe, la clarinettiste? Ensuite, il y a ce “mort” qui conduisait le métro... D'étranges disparitions, des tunnels obscurs, des bandits sans scrupules... Sylvianne n'est pas au bout de ses peines !

Le Fantôme De L'opérateur

Ce qu'il y a de bien avec un fantôme, c'est qu'il est déjà mort. Comme le ridicule ne peut pas le tuer, le fantôme s'amuse tout le temps. Et comme il ne peut pas périr d'ennui, le fantôme mène une mort excitante et remplie d'aventure. “Partir c'est mourir un peu”, dit-on. Ce qu'il y a de moins bien avec un fantôme. c'est qu'il ne veut plus partir, justement. Surtout quand il a trouvé des vivants à hanter...

La foret de metal

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