Bébé Ouistiti cherche son doudou. Peux-tu l'aider à le retrouver ?

Bébé Ouistiti cherche son doudou

Avec ce livre, tu vas voyager au pôle Nord, dans la forêt tropicale amazonienne, la savane africaine, la forêt européenne et même plonger au milieu de la grande barrière de corail.

A la découverte... : des animaux du monde : cherche et trouve

Blanche-Neige

Un album qui favorise l'autonomie des enfants et questionne la surprotection avec humour et créativité. Pour son entrée à la grande école, Eliott reçoit des bottes... des bottes un peu trop grandes, alors toute sa famille décide de les charger d'un petit quelque chose qui pourrait lui être utile pour l'école afin qu'il s'y sente mieux. Le problème est que toutes ces bonnes intentions finissent par rendre les bottes vraiment trop lourdes à porter et Eliott commence à avoir des difficultés à se déplacer, à sauter et à jouer avec ses amis. Bref, Eliott en a plein les bottes et décide de s'en défaire afin de pouvoir se mouvoir comme bon lui semble !

Plein les bottes

Ce livre d'autocollants est spécialement conçu pour les enfants dès quatre ans. L'enfant découvre de grands décors très orientés sur la nature. Dans ce titre, il retrouve les animaux du jardin et vient coller les autocollants sur les zones blanches prévues à cet effet. Un petit texte écrit par l'illustratrice Leïla Brient accompagne chaque décor.

Les animaux du jardin

L'album présente Polochon, un ours brun, qui aimerait bien hiberner mais l'idée de voir le Père Noël en personne lui apporter un cadeau le garde éveiller. Il décide de passer le réveillon avec son amie Lili, une jolie petite souris. Mais tout ne va pas se passer comme prévu ! L'album est accessible à partir de 3 ans, et destiné aux maternelles ainsi qu'aux élèves de CP (en lecture autonome).

Le réveillon de Polochon

Entre la séparation de ses parents et ses problèmes d'écriture, Iris ne sait plus où donner de la tête !
Iris adorerait savoir écrire. Enfin, elle sait écrire... Par exemple, quand elle a fini son petit-déjeuner: « Je pars, bisous. »... mais pas beaucoup plus. Les mots se bousculent, comme s'ils voulaient sortir trop vite de sa main, à la même vitesse que quand elle parle. Parce que, ça, parler, elle le fait sans problème...
Ses problèmes avec l'écriture durent depuis deux ans, depuis qu'elle et sa maman se sont installées seules dans un petit appartement, sans papa... L'école décide qu'Iris doit aller voir un orthophoniste. Ce sera Ludo, un ami d'un ami. Le courant passe tout de suite à merveille, et Iris prend progressivement de l'assurance. Jusqu'au jour où sa maman invite l'orthophoniste à dîner, pour le remercier... Plutôt, elle invite « Ludo » à dîner ! Et se fait jolie, en plus, pour l'occasion. Iris ne supporte pas l'idée que sa maman puisse un jour tomber amoureuse de quelqu'un d'autre que son papa... Encore moins s'il s'agit de SON orthophoniste, qui devait l'aider ELLE.
Ce roman est rempli de thèmes différents, croisés, et sans doute liés. Celui du divorce et de la difficulté à se faire à sa nouvelle vie ; celui de l'échec scolaire, de la difficulté d'expression (surtout que ça va si bien « en paroles ») ; celui de la difficulté à accepter la nouvelle relation d'un parent... et celui des relations patient-spécialiste, même s'il ne s'agit que d'amitié. On se sent justement tellement plus vite trahi par les personnes qui nous servent de bouée de sauvetage... L'histoire est racontée par Iris : le lecteur n'a donc que son point de vue. Il est d'autant plus facile de se sentir plein d'empathie pour elle, de comprendre sa détresse à l'idée de revivre les disputes que ses parents avaient trop souvent, même si elle imagine sans doute beaucoup de scénarios catastrophe qui ne se produiront jamais.
Un récit émouvant sur la difficulté à accepter les changements que nous impose parfois la vie
EXTRAIT
Je ne sais pas écrire. C'est dit. Pourtant, j'adorerais. Faire mieux que le petit mot du matin quand je pars en retard. Celui que je pose entre le bol de café vide et la serviette en boule pour dire : « Je pars. Bisous. À plus ! » Ça, je maîtrise. Il faut dire que c'est le seul moyen de parler à ma mère. Elle dort toujours quand je me lève. C'est comme ça depuis deux ans. Depuis que nous nous sommes installées toutes les deux au numéro 2 de la rue des Alouettes, au deuxième étage d'un immeuble en briques rouges au coeur de Paris. Deux, deux, deux et encore deux. C'est devenu notre chiffre fétiche. Avant, c'était le trois. Mais c'est fini. Mon père est allé s'installer ailleurs. Sans nous. Et nous sans lui.
A PROPOS DE L'AUTEUR
Journaliste pendant plus de 15 ans, Anne Loyer se passionne pour la littérature jeunesse. Elle est titulaire d'une maîtrise de droit et d'une licence d'histoire. Elle a ensuite poursuivi ses études dans une école de journalisme.

I comme Iris

L'Accumulatôr à Bidouilleries défend de manière ludique, le point de vue selon lequel les techniques de séduction de la société de consommation sont agressives et pernicieuses, et qu'en y cédant, on s'encombre d'un tas de choses dont on a pas besoin et qui finalement nous rend malheureux. Dans la petite maison d'Hector et Archibald, il n'y a pas grand chose. Pas grand chose, c'est à dire, juste ce qu'il faut. Jusqu'au jour où Hector tombe sur une incroyable promotion...

L'accumulatôr à bidouilleries

Ce livre d'autocollants est spécialement conçu pour les enfants dès quatre ans. L'enfant découvre de grands décors très orientés sur la nature. Dans ce titre, il retrouve les animaux sauvages et vient coller les autocollants sur les zones blanches prévues à cet effet. Un petit texte écrit par l'illustratrice Leïla Brient accompagne chaque décor.

Bébé Ouistiti cherche son doudou

Résumé

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Critiques

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