"Tout ce qui est vert la met à l'envers. Foies et gésiers lui restent dans le gosier..." Depuis une semaine que grand-mère est à la maison, elle n'aime rien... Pire que nous les enfants ! Maman est désespérée. On ne sait plus quoi cuisiner.

J'aime pas la salade

« C'est l'histoire de vingt petits dieux et petites déesses. Chaque année, ils se retrouvent au début de l'automne à la lisière de la forêt de trembles et décident de leurs missions qui varient selon les saisons. La nuit et le jour, ils agissent en secret des hommes. Durant les douze mois à venir, ils protégeront les mers, les lacs, les rivières et les torrents, ils purifieront le ciel et embaumeront l'air de parfums délicieux, ils guériront les êtres vivants, ils empliront les airs d'oiseaux gracieux. » Obilia, dieu du bouleau avec sa blancheur légendaire, éclaire les lieux obscurs ;
Groubil, dieu de la longévité, transmet toutes les forces vitales ;
Eliana, déesse du schiste, donne sérénité, confiance et beauté...

Ces petits dieux et petites déesses, ce sont les enfants du Diois qui les ont créés. Avec leur imagination, et en utilisant toute la richesse offerte par la Nature qui les entoure. Faits d'écorce, de galets, de baies, de feuilles, de matières végétales curieuses, ils témoignent de la générosité du monde qu'ils sont là pour protéger.

Illustratrice, plasticienne, Isabelle Simon interpelle petits et grands sur les questions environnementales. Ses petits dieux font l'effet d'une piqûre de curiosité face à la générosité de la Nature, qui stimule notre imaginaire et notre créativité.

Petites déesses et petits dieux

Un petit coquillage découvre la plage avec sa famille. Un album sur la peur de perdre sa famille

Au secours !

Je suis beau !

Avant Alphonse, personne ne se souvient plus. Mais Alphonse a eu un fils, Eugène. Et Eugène a eu une fille, Marie. Et Marie a eu une fille qui a eu d'autres enfants. Et ceux là ont fait encore d'autres enfants...

Tout commence avec Alphonse

Ils vont par deux, les amoureux, par deux aussi les couplets associés à chaque photo de cette savoureuse galerie de portraits. A feuilleter comme on effeuille la marguerite un peu, beaucoup, passionnément...

Oh ! les Amoureux !

Il fait beau, là-haut ?

Mes vacances d'été

Qui n'a jamais reconnu dans un coin de nuage, une peinture écaillée : le profil grotesque d'un monstre, le visage étonné d'un inconnu ? Ces visages si proches mais parfois cachés, se dévoilent ici sous la plume malicieuse de Thomas Scotto.

J'aime pas la salade

Résumé

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