La Mort d'Ivan Illitch, suivi de Maître et serviteur, et de Trois morts

On l'imagine un sabre entre les dents... Il le porte à la ceinture et arbore un turban qui le range du côté des rebelles tchétchènes. C'est Hadji Mourad!Dans les hautes montagnes du Caucase, la révole gronde. L'émir Chamil prêche la guerre sainte. Au nom de l'Islam, il rassemble les populations soumises. Offensé par le chef religieux, Hadji Mourad le trahit alors qu'il s'est d'abord rallié à lui.Contre l'intégrisme, il cherche alliance auprès de l'occupant russe qui le rejette. Pris entre deux feux, que lui reste-t-il sinon l'honneur et une fin tragique? Pourtant, Hadji Mourad croit encore en son étoile...Nous sommes en 1850. La Tchétchénie déjà se rebelle...

Hadji Murad

Trapped in a stifling marriage, Anna Karenina is swept off her feet by the dashing Count Vronsky. When the truth about their passionate liaison comes out, Anna's husband is more concerned with keeping up appearances than anything else, but at last he seeks a reluctant divorce.

Anna karenina

La Sonate à Kreutzer : une affaire de famille ? Dès sa parution, en 1891, elle a déchaîné les passions, et les réponses littéraires de sa femme et de son fils rassemblées ici révèlent, de manière éclatante, les conséquences profondes de la crise morale et spirituelle de Léon Tolstoï, au cœur même de sa famille. De tous les ouvrages de Tolstoï, La Sonate à Kreutzer est sans doute celui qui dévoile, de la façon la plus remarquable, les paradoxes de son œuvre et de sa personnalité. Jusqu’à la dernière ligne transparaissent le dégoût pour le mariage qui n’est que de la « prostitution légalisée », la haine des femmes « qui se vengent de nous en agissant sur nos sens », sa conviction que, pour obéir à la volonté de Dieu, l’homme doit s’abstenir de procréer. Sa femme, Sofia Andreïevna, qui copie le manuscrit, éprouve, en le lisant, autant de fascination que d’horreur. Sa vengeance restera cachée. Peu connu, même en Russie, À qui la faute ? révèle un talent littéraire nourri par un besoin d’expression personnelle et de justification. Écrit entre 1895-1898, Romance sans paroles répond également à une blessure : la mort à l’âge de sept ans de son dernier enfant. Il reflète par ailleurs sa fascination pour la musique, incarnée par le compositeur Sergueï Taneïev, qui devient pour elle l’unique moyen de reprendre goût à la vie. Quelques années plus tard, Léon Tolstoï fils prend lui aussi la plume pour exprimer sa vision du couple. Désormais, La Sonate à Kreutzer devient une affaire de famille. Dans Le Prélude de Chopin, le fils développe l’idée qu’un mariage précoce et pur, où les deux époux ne font qu’un seul être, est un bien qu’il ne faut surtout pas fuir. Que l’aspiration à la chasteté absolue de l’humanité démontrée dans La Sonate à Kreutzer n’a aucun sens, car elle mène à l’extinction du genre humain. « Le lien conjugal toujours puissant […] illustre le fameux paradoxe d’Oscar Wilde : loin de s’inspirer de la réalité des relations conjugales entre Léon et Sofia Tol

La sonate à Kreutzer suivi de La mort d'Ivan Illitch

It once occurred to a certain king, that if he always knew the right time to begin everything; if he knew who were the right people to listen to, and whom to avoid; and, above all, if he always knew what was the most important thing to do, he would never fail in anything he might undertake.

And this thought having occurred to him, he had it proclaimed throughout his kingdom that he would give a great reward to any one who would teach him what was the right time for every action, and who were the most necessary people, and how he might know what was the most important thing to do.

And learned men came to the King, but they all answered his questions differently...

What Men Live By

Excerpt from La Mort d'Ivan IliitchPiotte Ivanovitch et ma femme sera tres contente. Elle ne pourra plus dire que je n'ai rien fait pour ses pa rents.

La Mort D'Ivan Iliitch

Something entirely new, unseen and unheard-of formerly, has lately shown itself in our country districts. To our village, consisting of eighty homesteads, from half a dozen to a dozen cold, hungry, tattered tramps come every day, wanting a night's lodging.

These people, ragged, half-naked, barefoot, often ill, and extremely dirty, come into the village and go to the village policeman. That they should not die in the street of hunger and exposure, he quarters them on the inhabitants of the village, regarding only the peasants as "inhabitants." He does not take them to the squire, who besides his own ten rooms has ten other apartments: office, coachman's room, laundry, servants' and upper-servants' hall and so on; nor does he take them to the priest or deacon or shopkeeper, in whose houses, though not large, there is still some spare room; but he takes them to the peasants, whose whole family, wife, daughters-in-law, unmarried daughters, and big and little children, all live in one room-sixteen, nineteen, or twenty-three feet long. And the master of the hut takes the cold, hungry, stinking, ragged, dirty man, and not merely gives him a night's lodging, but feeds him as well.

Three Days in the Village

"Dernières Paroles" de Léon Tolstoï. 1873-1877.

La Mort d'Ivan Illitch, suivi de Maître et serviteur, et de Trois morts

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