Gabin, Ventura, Delon... Les légendes du Polar

Le monde se divise en deux catégories : les fanatiques de Michel Audiard et les autres. Aux premiers, ce livre apporte enfin le réconfort. Car, aussi étonnant que cela puisse paraître, il n'existait pas jusqu'ici de dictionnaire de la pensée audiardienne, rassemblant les plus belles de ses répliques et explicitant un vocabulaire dont le sens et l'origine échappe parfois même aux plus cultivés d'entre nous. B... comme BOBINARD Quand ils rouvriront, il sera trop tard : tu ne trouveras plus ni un homme ni une femme capable de tenir convenablement une taule. C'est toute une école, ça. T'auras du bobinard standard mais les manières seront perdues. Le cave se rebiffe C... comme CHIARD Quand on a pas de bonnes pour garder ses chiards, eh bien on n'en fait pas. Mélodie en sous-sol Biographe de Michel Audiard, Philippe Durant a aussi commis des ouvrages sur Belmondo, Gabin, Ventura et consorts. Sollicité pour de nombreux bonus DVD, il est également l'auteur du Petit Audiard illustré par l'exemple ou du Petit Jean Yanne illustré par l'exemple, tous deux parus chez Nouveau Monde éditions.

Le Petit Audiard - La totale

Bernard Natan, émigré d'origine roumaine, a 34 ans quand il fonde sa première société de production cinématographique. Entrepreneur visionnaire, il est passionné par le 7ème art et certain de son essor malgré les crises économiques et politiques de l'entre-deux guerres. Il investit sans relâche, modernise, et, en précurseur, transforme le cinéma. Production, diffusion, premiers films parlants, importation des dessins animés de Walt Disney en France, il est de toutes les avancées modernes du grand écran, à l'instar des Goldwyn, Mayer et Warner américains. Il acquiert en 1929 le groupe Pathé qu'il tentera de sortir de la faillite. Ses difficultés économiques, les attaques constantes des médias et une cabale publique sur fond d'antisémitisme, le conduiront à son emprisonnement en 1939 puis à sa déportation en 1942, jusqu'à sa mort dans le camp d'Auschwitz. Personnage fascinant et pilier français du cinéma des années 1920 et 1930, Bernard Natan deviendra le grand oublié de la profession, l'investisseur génial dont la mémoire fut sacrifiée aux heures noires de l'Histoire.

Le fantôme du cinéma français - Gloire et chute de Bernard Natan

À l'occasion du 30e  anniversaire de la mort de Michel Audiard, son fils Bruno a décidé d'ouvrir ses archives. Il en a retiré des scénarios autrefois confiés par le maître, pieusement conservés. Du brutal. Avec l'aide de Philippe Durant, audiardphile confirmé, il a passé chacun d'eux au tamis, pour en extraire des pépites  : des répliques sacrifiées au montage, des séquences passées à la trappe, des personnages mis à l'écart. D'où des répliques inédites pur jus, jamais entendues sur grand écran. Attention  : pas du toc  ! De la joncaille poinçonnée Audiard. Le talent à l'état brut. Dans leur lancée, les deux orpailleurs partirent en quête d'autres sources aurifères, non moins fournies. Les Tontons flingueurs,  Un singe en hiver,  Le cave se rebiffe,  Flic ou voyou,  Les Barbouzes,  Un taxi pour  Tobrouk. et une cinquantaine d'autres révèlent enfin leurs secrets. À faire pâlir les envieux. À lire et à relire par les amateurs. Michel Audiard n'écrivait pas pour ne rien dire. En voici plus de 500 nouvelles preuves. Chaque réplique est commentée avec la pertinence qui fit le succès du  Petit Audiard illustré.«  C'est pas possible  ! C'est l'auberge des Adrets  ! La forêt de Bondy  ! Ça tourne au cauchemar  !  »  Alfred Mullanet (Michel Serrault) dans  Le cri du cormoran le soir au-dessus des jonquesGrand connaisseur de l'ouvre de son père, Bruno M. est aussi amateur de polars. La preuve  : son premier est sorti en 2014. Considéré comme l'un des plus fins spécialistes de l'univers audiardien, Philippe Durant a écrit plusieurs livres sur le sujet dont  Le Petit Audiard illustré par l'exemple  et  Michel Audiard en toutes lettres.

Le petit Audiard inédit - illustré par l'exemple !

Paris a toujours été intimement lié au cinéma. C'est entre ses murs, boulevard des Capucines que, le 28 décembre 1895, est né officiellement le " Cinématographe ". Depuis, l'histoire d'amour entre la Ville Lumière et les plus grands réalisateurs du monde n'a jamais cessé de se poursuivre. L'opéra de La grande vadrouille, le Montmartre d'Amélie Poulain, la pharmacie du Père Noël est une ordure, le musée Galliera du Diable s'habille en Prada, le Louvre du Da Vinci Code, la villa Castel de Jules et Jim, autant d'endroits qui ont fait le tour du monde et éclairé des milliers de salles obscures. Mais Paris c'est aussi le lieu de résidence favori de nombreuses célébrités. De la maison musée de Sacha Guitry à l'appartement de Brigitte Bardot, pris d'assaut par les photographes, certains sites sont presque entrés dans l'histoire ! Gabin, Fernandel, Montand et tant d'autres nous font signe au fil des pages de ce livre. Et puis, Paris a toujours été admiré comme capitale mondiale de la cinéphilie. Depuis les frères Lumière, des milliers de salles sont nées, certaines ont disparu, beaucoup se sont transformées mais toutes témoignent de l'amour des Parisiens pour le cinéma. À travers près de 800 lieux de tournage, de projection ou d'adresses de stars, ce guide propose un voyage inédit au fil des vingt arrondissements de la ville.

Le Paris du cinéma - Guide illustré de la Ville Lumière, 800 adresses liées au septième art

Les copains d'abordL'une des raisons majeures du succès de Jean-Paul Belmondo - outre son talent - réside dans son humour et son sens de l'amitié. Il suffit d'évoquer son nom pour que surgisse l'image d'un homme toujours décontracté, le sourire aux lèvres, l'oeil goguenard. Tel est le Bébel que l'on a aimé et que l'on aimera toujours... Dès le Conservatoire, il intègre un groupe fidèle composé de Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle, Claude Rich, Bruno Cremer... Ces joyeux drilles seront bientôt rejoints par Claude Brasseur, Guy Bedos, Philippe de Broca, etc. Ensemble ils élèvent l'humour au rang de grand art, avec leur désinvolture et leurs plaisanteries potaches. Cela va du faux débile qui arpente les rues de Paris, jusqu'aux chambres déménagées du grand hôtel de Rio de Janeiro. Des folies dont sont victimes les copains autant que les partenaires, le temps d'un film. Certaines iront si loin qu'elles provoqueront l'intervention de la police. Aucune méchanceté, jamais. L'envie de rire, toujours. La bande à Bébel a sévi par tous les temps, sous toutes les latitudes, pendant plus de trente ans. Témoignage d'une époque où les films se tournaient dans la bonne humeur. Ce livre fait revivre les aventures hors écran de Belmondo et ses potes. Une amitié indéfectible que seule la mort est parvenue à briser.

La Bande à Bébel

Quatre César et deux Molière du meilleur acteur ne sauraient suffire à résumer sa riche carrière. Cet ouvrage, agrémenté d'un cahier photos en couleurs, dresse le bilan complet d'un homme qui a toujours suivi ses propres idées, refusant de se laisser porter par l'air du temps, repoussant les sirènes de la facilité.Il a incarné à lui seul tout un pan du cinéma français des années 70-80, même s'il a continué de jouer jusqu'en 2015. Discrètement mais porté par l'assurance de son talent, il s'est imposé comme l'un des rares monuments authentiques du septième art.Les plus grands l'ont sollicité à leur côté : Buñuel, Clouzot, Hitchcock, Sautet, Melville, Chabrol, Resnais, Godard, Demy, Ferreri, Moretti, Costa-Gavras, Malle, De Broca, Lelouch, Boisset, Deville, Tavernier, Girod, Rouffio, Granier-Deferre, Doillon, Rivette, Ruiz, de Oliveira, Chahine, Miller, Larrieu, Carax, Angelopoulos... Une liste presque interminable que bien des comédiens peuvent lui envier. Car elle est unique.Cet incroyable parcours lui a permis d'accrocher à sa riche carrière des titres comme Le Mépris, César et Rosalie, La Grande Bouffe, Les Demoiselles de Rochefort, Vincent, François, Paul et les autres, Le Sucre, Le Charme discret de la bourgeoisie, Les Noces rouges, Le Trio infernal, Le Doulos... et pléthore d'autres. Non content d'accumuler les rôles puissants au cinéma, Michel Piccoli a brillé au théâtre.Quatre César et deux Molière du meilleur acteur ne sauraient suffire à résumer sa riche carrière. Cet ouvrage, agrémenté d'un cahier photos en couleurs, dresse le bilan complet d'un homme qui a toujours suivi ses propres idées, refusant de se laisser porter par l'air du temps, repoussant les sirènes de la facilité.S'il restera à jamais le héros romantique des Choses de la vie face à une Romy Schneider étincelante, son apport se révèle bien plus considérable et laissera une trace indélébile au cœur du monde des images animées. Mieux : une référence.

Michel Piccoli : Les choses de sa vie

À l'occasion du 30e anniversaire de la mort de Michel Audiard, son fils Bruno a décidé d'ouvrir ses archives. Il en a retiré des scénarios autrefois confiés par le maître, pieusement conservés. Du brutal.
Avec l'aide de Philippe Durant, audiardphile confirmé, il a passé chacun d'eux au tamis, pour en extraire des pépites  : des répliques sacrifiées au montage, des séquences passées à la trappe, des personnages mis à l'écart. D'où des répliques inédites pur jus, jamais entendues sur grand écran. Attention  : pas du toc  ! De la joncaille poinçonnée Audiard. Le talent à l'état brut. Dans leur lancée, les deux orpailleurs partirent en quête d'autres sources aurifères, non moins fournies.
Les Tontons flingueurs, Un singe en hiver, Le cave se rebiffe, Flic ou voyou, Les Barbouzes, Un taxi pour Tobrouk... et une cinquantaine d'autres révèlent enfin leurs secrets. À faire pâlir les envieux. À lire et à relire par les amateurs. Michel Audiard n'écrivait pas pour ne rien dire. En voici plus de 500 nouvelles preuves.
Chaque réplique est commentée avec la pertinence qui fit le succès du Petit Audiard illustré.
«  C'est pas possible  ! C'est l'auberge des Adrets  ! La forêt de Bondy  ! Ça tourne au cauchemar  !  »  Alfred Mullanet (Michel Serrault) dans Le cri du cormoran le soir au-dessus des jonques Bruno M. avec la collaboration de Philippe DURANT Grand connaisseur de l'oeuvre de son père, Bruno M. est aussi amateur de polars. La preuve  : son premier est sorti en 2014.
Considéré comme l'un des plus fins spécialistes de l'univers audiardien, Philippe Durant a écrit plusieurs livres sur le sujet dont Le Petit Audiard illustré par l'exemple et Michel Audiard en toutes lettres.

Le petit Audiard inédit ; ...illustré par l'exemple

Depuis 1994, Friends s'est imposé comme la nouvelle série culte. Dans le monde entier, des millions de téléspectateurs s'enthousiasment pour les heurs et malheurs de ces six amis pas comme les autres, parmi lesquels se distinguent la gaffeuse Rachel Green et l'accueillante Monica Geller. Grâce à ces deux rôles, Jennifer Aniston et Courteney Cox sont devenues des stars. Adulées, copiées, épiées, elles font la une des magazines, figurent parmi les actrices les mieux payées de la télévision, et se classent dans le cercle restreint des femmes préférées du public. Brillant sur tous les écrans, l'une et l'autre ont réussi avec brio leur passage au cinéma. Jennifer Aniston a apporté son charme et son humour dans des comédies romantiques (Trait pour trait, L'Objet de mon affection) tandis que Courteney Cox a hurlé de terreur dans trois œuvres cultes : la trilogie Scream. Deux destins parallèles, semés de doutes et d'embûches, qui les ont menées au sommet, c'est ce que raconte cet ouvrage. Il retrace étape par étape, film par film, le parcours étonnant de ces deux symboles de la jeune génération. Le livre présente également les autres comédiens de Friends, ainsi qu'un dossier complet avec tous les secrets des trois épisodes de Scream.

Gabin, Ventura, Delon... Les légendes du Polar

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